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’avion un trajet qui prenait deux ans du temps de
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Carpin et de Marco Polo), il devient urgent de corriger les aberratio
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e sur qui tirer. D’où fin des guerres. Ce nouveau
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de paix perpétuelle est fait pour éblouir par sa logique brutale cert
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e ses œuvres, qu’elle a propagée sans prudence ni
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d’ensemble, dont elle n’est plus propriétaire, mais dont elle garde e
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les s’épuisent : ce n’est pas le déroulement d’un
plan
, dont nul ne voit qui l’aurait calculé et imposé. Et ce n’est pas l’i
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us exacte de l’aventure occidentale, sur tous les
plans
. Les savants de l’Occident, de Kepler à Einstein, de Léonard — avec s
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s d’Europe, vous n’en trouverez pas deux dont les
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soient superposables. S’ils se ressemblent, c’est par leur complicati
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ait croire que l’ère technique, qui est celle des
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à grande échelle, allait lui porter le coup de grâce. Bien au contrai
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nales se prononce chaque année plus nettement. Au
plan
européen, le Conseil des communes d’Europe, l’Union des villes et des
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s, les Européens, en désordre, et sans le moindre
plan
d’ensemble, du xvie au xixe siècle fondent sur tous les continents
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ratiques ont été diffusés en désordre, sans aucun
plan
, sans nulle sagesse régulatrice. Il en résulte deux séries de conséq
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exactement de la fin de la dernière guerre, et au
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mondial. L’Europe se sentait écrasée entre deux colosses à venir. Ils