1 e désir, d’un bien que le réel condamne et que le plan divin ne prévoit pas. Satan, lorsqu’il tente le Christ, lui propose t

2 au diable, il m’a l’air terriblement bon ! Et ses plans sont irréprochables, paraît-il : intelligents et généreux, idéalistes

3 e du bonhomme ! dit-il entre ses dents. Voici son plan qu’il a laissé tomber en donnant un quarter au mendiant. Il est parfa

4 onnant un quarter au mendiant. Il est parfait, ce plan , comme tu le craignais. Mais moi je vais l’organiser ! » 29. Le di

5 nfin l’évolution générale du temps, favorisent ce Plan de mille manières. Tout concourt, dans le cadre de nos vies, à nous p

6 derne. Même histoire, mêmes conflits sur tous les plans , aujourd’hui que la crise mondiale s’identifie, parce qu’elle a les m

7 e œuvre qui le trompe : Hitler déjoue lui-même le plan de Satan en nous forçant à voir ce que nous sommes. Nous voici délivr

8 perte, et sans le savoir, que je contribuerai au plan providentiel. Mais si je réponds à l’appel de mon nom, si j’assume la

9 . Le sens des mots Mais l’offensive suppose un plan . Un plan commun, clairement déterminé et compris de la même manière p

10 des mots Mais l’offensive suppose un plan. Un plan commun, clairement déterminé et compris de la même manière par tous c

11 manière par tous ceux qui devront l’exécuter. Un plan qui s’exprime par des mots, et par des mots qui mettent de l’ordre da