1 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
1 prit. Elles informent notre univers dans tous les plans de sa réalité. Et c’est seulement quand nous avons saisi par intuitio
2 y a plus de significations valables dans tous les plans simultanés de notre existence. La raison s’imagine à tort qu’elle per
3 cessent aussitôt d’être valables si l’on passe au plan affectif, au plan moral, ou au plan spirituel. De même, les lois écon
4 ’être valables si l’on passe au plan affectif, au plan moral, ou au plan spirituel. De même, les lois économiques sont souve
5 l’on passe au plan affectif, au plan moral, ou au plan spirituel. De même, les lois économiques sont souvent en contradictio
6 able de m’assurer qu’une intention quelconque, un plan ou une conscience, relient tous ces maux isolés. Le mythe seul, en pe
7 out est forme, intention, mouvement, finalité, et plan . Tout prend figure et nom, tout est personnifié. Ainsi, parler du di
8 ux de Dieu c’était le mal, c’était contrevenir au plan d’ensemble et aux ordonnances du Jardin ; en d’autres termes, c’était
9 e désir, d’un bien que le réel condamne et que le plan divin ne prévoit pas. Satan, lorsqu’il tente le Christ, lui propose t
10 pour une sottise. C’est que Dieu seul connaît le plan d’ensemble et l’intention dernière de toute sa Création. Et c’est seu
11 sa Création. Et c’est seulement par rapport à ce plan et à cette intention — en partie révélés — que les actes des créature
2 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
12 i, si Dieu garde l’éternité. Quel sera le nouveau plan stratégique du Malin ? Comment va-t-il tirer de sa défaite les avanta
13 aîtres de la politique mondiale ont sans doute un plan dans la tête : ils prescriront d’abord les régimes que j’ai dit, puis
3 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
14 e. J’y viendrai donc. Ce qui est en cause dans ce plan , ce n’est point la liberté réelle des hommes, qu’aucun tyran jamais n
15 isé d’en développer les conséquences sur tous les plans , pour l’économie, la morale, le civisme et la religion. Le beau trava
4 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
16 au diable, il m’a l’air terriblement bon ! Et ses plans sont irréprochables, paraît-il : intelligents et généreux, idéalistes
17 e du bonhomme ! dit-il entre ses dents. Voici son plan qu’il a laissé tomber en donnant un quarter au mendiant. Il est parfa
18 onnant un quarter au mendiant. Il est parfait, ce plan , comme tu le craignais. Mais moi je vais l’organiser ! » 42. Le d
19 nfin l’évolution générale du temps, favorisent ce Plan de mille manières. Tout concourt, dans le cadre de nos vies, à nous p
20 derne. Même histoire, mêmes conflits sur tous les plans , aujourd’hui que la crise mondiale s’identifie, parce qu’elle a les m
5 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
21 perte, et sans le savoir, que je contribuerai au plan providentiel. Mais si je réponds à l’appel de mon nom, si j’assume la
22 . Le sens des mots Mais l’offensive suppose un plan . Un plan commun, clairement déterminé et compris de la même manière p
23 des mots Mais l’offensive suppose un plan. Un plan commun, clairement déterminé et compris de la même manière par tous c
24 manière par tous ceux qui devront l’exécuter. Un plan qui s’exprime par des mots, et par des mots qui mettent de l’ordre da