1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 rt que le Roi et les barons, il pourrait, dans le plan féodal qu’il adopte, faire valoir le droit de la force… Étrange amour
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
2 omise en cherchant à la rendre trop claire sur un plan historique plutôt que spirituel. Pourtant, j’en connais peu qui se pr
3 amour dit platonique entraîne évidemment, dans le plan sexuel, des déviations dont il serait difficile de nier que certains
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
4 tendent à mettre l’humain et le divin sur le même plan , soit en contemplant le divin avec des yeux profanes, soit en considé
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
5  » L’aveu est complet cette fois-ci. Mais dans le plan purement psychologique où Corneille se place, le sens du mythe qui go
6 uit et de la Mort accède pour la première fois au plan de la conscience lyrique. Napoléon à peine vaincu, voici l’envahissem
7 s rien à raconter ou bien c’est le baiser en gros plan , bouchant l’écran et refermant la fenêtre de l’imagination. Toutefois
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
8 se ranger l’avant-garde conformément à ce nouveau plan . » Les exemples abondent de carnages inutiles provoqués par des vœux
9 bution188. » Cet art de guerre exprimait dans son plan — alors considéré comme inférieur — une culture admirablement humanis
10 que une femme sans avoir fait ce qu’on appelle un plan , sans avoir passé la nuit à se promener et à retourner la position… E
11 he », sinon un sentimentalisme national ? — et de plans commerciaux ou financiers. L’élément proprement guerrier n’y trouvait
6 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
12 même d’argent, sont en train de passer au second plan dans les pays démocratiques, et par suite les problèmes individuels d
7 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
13 duit une chance de faire œuvre, et de s’élever au plan de la personne. (À condition bien entendu que cette promesse ne soit