1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 res notées, ou bien le jour où l’on a esquissé un plan  ? Faut-il remonter à cette note écrite sur les genoux dans un train,
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
2 et la pensée religieuse de l’Asie1. Sur d’autres plans , pourtant, les différences éclatent. Ce serait faire tort à l’homme
3 certaines options fondamentales qu’il a prises au plan religieux. Au nom même du désir d’union de l’humanité qui anime de pa
4 Incarnation et Excarnation. — Si nous passons au plan des réalités vécues, métaphysiques et religieuses, l’opposition de l’
5 d’éléments mesurables, comme ce serait le cas au plan de l’économie ou de l’état social par exemple ? Je cherchais à cerner
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
6 e-ci réclame un cadre et des institutions. Or, au plan politique et social, c’est le monde romain qui existe seul. L’Église
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
7 radoxe vécu en vertu de la foi reproduit, dans le plan de l’existence concrète, la forme même des grandes définitions antith
8 C’est ainsi que la personne du chrétien imite au plan humain la Personne du Christ. (Cette analyse sociologique est homolog
9 e contradictions peut-être insurmontables dans le plan où l’histoire en lit les témoignages, il était condamné au progrès, c
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
10 n Monnet créait à Luxembourg la Haute Autorité du plan Schuman, et l’Europe tentait de s’unir. Mais nos deux écrivains, ferm
11 uste des utopies toujours trop pauvres, ou de ces plans qui prévoient tout sauf l’essentiel humain, parce qu’on les a conçus
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
12 peu de foi se rassure par un système, ou fait un Plan . Mais projeter devant soi l’utopie calculée, c’est refermer l’avenir
13 re les possibles qui ne seraient pas déjà dans le plan qu’on projette, c’est ainsi condamner le futur à n’être rien de plus
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
14 ous les degrés, de proche en proche, sur tous les plans de notre pensée occidentale, le « scandale » des réalités contradicto
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
15 s : énergie nucléaire, photosynthèse, automation, plans à l’échelle mondiale. D’ici 20 ou 30 ans, selon certains experts, il
9 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
16 politique de l’Occident ? Et si l’on se tient au plan des religions : le christianisme n’a pas conquis le monde entier, il
17 sse des années de guerre froide a passé au second plan , ou bien est oubliée. La situation de l’URSS (aidée par l’Occident ?)
10 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
18 agupta, le grand empereur du Gange. La mission de Plan Carpin a échoué. Jean de Montecorvino est arrivé trop tard au rendez-
19 ’avion un trajet qui prenait deux ans du temps de Plan Carpin et de Marco Polo) il devient urgent de corriger les aberration
20 dent se doit, au nom de ses croyances et dans son plan , de venir en aide aux Orientaux. Je ne tranche pas la question, mais
21 tal. Mais on ne résout jamais un conflit dans son plan  : il faut passer au-delà, soit dans le temps et l’espace, soit dans l