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erre Dubois présente à Philippe le Bel le premier
plan
connu d’une union de l’Europe en vue de renouveler les croisades, il
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dit parfois très difficile l’établissement de nos
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de défense (p. 27, p. ex.). 43. Edgar Bonjour, op. cit., 7 et 19.
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s lequel nous allons le voir intervenir. C’est au
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de l’économie que les insuffisances du lien « confédéral » (alliance
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: et un peu partout, on affecta de considérer ce
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d’union comme un brandon de discorde entre les confédérés. (Tels sont
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nt d’abord à leur souveraineté : c’est logique au
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du discours, mais impossible en réalité. Les chefs d’État nationalist
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l’application de mesures générales (telles que le
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de production agricole, dit plan Wahlen) n’a pu se réaliser qu’à la f
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s (telles que le plan de production agricole, dit
plan
Wahlen) n’a pu se réaliser qu’à la faveur d’initiatives locales, appu
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itutionnelle est garanti par tous les cantons. Au
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fédéral, le droit d’initiative ne s’applique qu’aux révisions totales
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ef de l’état-major helvétique, vient d’exposer un
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que l’on aurait tort de négliger, car ce colonel est aujourd’hui de b
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nts les plus nombreux et les mieux armés.69 Les
plans
de l’état-major suisse ne sont en principe que défensifs, à cause de
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calcul différentiel et intégral, et il trace les
plans
de la première turbine. À la même époque (xviiie siècle), les Bernou
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giner qu’une grève puisse s’étendre rapidement au
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national. Le patronat, constitué tout d’abord en associations profess
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te, connue sous le nom de Vorort, agit surtout au
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national et même international. Mais là encore, le nombre élevé des m
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et la vie de Gottlieb Duttweiler méritent un gros
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. Il élevait les lapins pour ses parents, dans un quartier populaire
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on des coopérateurs Migros sont organisées sur un
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national, parfois régional, non cantonal. La première est liée aux mi
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Qu’en est-il de l’autre dilemme qui se posait au
plan
national entre l’économisme niveleur et nos structures fédéralistes ?
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gées par l’augmentation du trafic. Solution : les
plans
sont établis par la Confédération, après consultations répétées des c
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thèmes constants de notre littérature.) Les gros
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tout d’un coup, aux approches de la gare, anéantissent l’exaltant pan
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sons neuves, qui poussent partout sans le moindre
plan
, ou de beaucoup de grands ensembles à bon marché qui détruisent le pl
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u xixe siècle. Les voix suisses qui s’élèvent au
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européen ne cessent de dénoncer ces démences collectives. C’est comme
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es d’État le sentent, et le reste va s’ensuivre :
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Schuman, Communauté du charbon et de l’acier, tentative avortée d’une
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moindre initiative visant à l’union européenne au
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politique. Elle ne pourrait qu’y perdre son prestige international, e
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tout ce que d’autres entreprennent, mais c’est un
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d’union qui nous convienne enfin, et auquel nous puissions adhérer «
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sans réserve et de plein droit ». Mais énoncer un
plan
suppose une politique. Et c’est à quoi le gouvernement de notre fédér
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otre régime fédéraliste en le faisant accepter au
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européen. Voici l’impasse digne des éléates, le problème insoluble en
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d’être confirmés, — et sans doute de s’étendre du
plan
moral, civique et politique, aux domaines de l’administration, de l’é
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ibéralisme là où il existait, et l’on baptisait «
plan
» l’ensemble de ces décrets, ce qui entraînait une confusion (qui dur