1
six pays européens, elle jeta les bases mêmes du
plan
actuellement en cours d’exécution, allant jusqu’à préciser les critèr
2
nementaux pour étudier avec eux le financement du
plan
et les conventions internationales à établir. Le rôle de l’Unesco a d
3
nce des efforts est plus facile à réaliser sur ce
plan
que sur d’autres, parce que les intérêts matériels ou nationaux y jou
4
ns tous les domaines du savoir : établissement de
plans
de coopération européens (et non pas seulement de relations surveillé
5
européaniser » nos moyens, nos outillages et nos
plans
, si nous ne voulons pas condamner nos savants à l’inefficacité et, pe
6
esco, d’un Bureau d’études chargé de préparer les
plans
de construction, le futur programme de travail et l’organisation tech
7
ec M. Dautry, un Bureau d’études qui étudiera les
plans
de construction du Laboratoire et préparera son programme de travail.
8
1951 à l’Unesco. Cette réunion, après examen des
plans
préparés par le Bureau d’études, adopterait un projet de construction
9
semaine de mars 1951, pour examiner les premiers
plans
élaborés par le Bureau d’études et entendre le directeur de ce Bureau
10
s bonnes volontés pour poursuivre l’action sur un
plan
à la fois authentiquement scientifique et international. Le souvenir
11
ointe d’émerveillement de pouvoir faire ainsi des
plans
grandioses avec une chance sérieuse de réussite, ce qui était absolum
12
absolument nouveau. Et il s’agissait en effet de
plans
grandioses pour l’époque : construire le plus puissant accélérateur d