1 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
1 six pays européens, elle jeta les bases mêmes du plan actuellement en cours d’exécution, allant jusqu’à préciser les critèr
2 nementaux pour étudier avec eux le financement du plan et les conventions internationales à établir. Le rôle de l’Unesco a d
3 nce des efforts est plus facile à réaliser sur ce plan que sur d’autres, parce que les intérêts matériels ou nationaux y jou
4 ns tous les domaines du savoir : établissement de plans de coopération européens (et non pas seulement de relations surveillé
5  européaniser » nos moyens, nos outillages et nos plans , si nous ne voulons pas condamner nos savants à l’inefficacité et, pe
6 esco, d’un Bureau d’études chargé de préparer les plans de construction, le futur programme de travail et l’organisation tech
7 ec M. Dautry, un Bureau d’études qui étudiera les plans de construction du Laboratoire et préparera son programme de travail.
8 1951 à l’Unesco. Cette réunion, après examen des plans préparés par le Bureau d’études, adopterait un projet de construction
9 semaine de mars 1951, pour examiner les premiers plans élaborés par le Bureau d’études et entendre le directeur de ce Bureau
10 s bonnes volontés pour poursuivre l’action sur un plan à la fois authentiquement scientifique et international. Le souvenir
11 ointe d’émerveillement de pouvoir faire ainsi des plans grandioses avec une chance sérieuse de réussite, ce qui était absolum
12 absolument nouveau. Et il s’agissait en effet de plans grandioses pour l’époque : construire le plus puissant accélérateur d
2 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
13 de travail qui fonctionnent dès maintenant sur un plan supranational, comme si déjà l’Europe était unie. Fort de ces premièr
14 changer leurs vues constructives, de discuter des plans d’action. Le Centre bénéficiera des suggestions et de l’appui collect
15 xperts, discute le projet de statuts, ainsi qu’un plan d’activités culturelles. Le siège social de la Fondation est fixé à G
16 — réellement se rendre utile pour l’Europe, où un plan d’ensemble était urgent si on ne voulait pas être dominé par toutes s
17 éunir les meilleurs cerveaux d’Europe autour d’un plan réaliste, pratique et réalisable. Idéalistes, nous aurions voulu tout
18 t par nos efforts, ont conduit à la conception du Plan Europe 2000, où quatre grands problèmes étaient posés : l’éducation,
19 . Je ne veux pas ici donner l’argumentation de ce plan et de ses composantes, ni pourquoi nous attachons une grande importan
20 ptent plus ? Dans son esprit et dans ses buts, le Plan Europe 2000 s’attaque à tout cela. Non pour détruire, mais pour const
21 tés à lancer à travers l’Europe — et au-delà — ce Plan « Europe 2000 » et qui nous a fourni l’énergie et l’enthousiasme pour
22 une immixtion des financiers dans les travaux. Le Plan Europe 2000 maintient jalousement une liberté académique totale. Un m
23 nnel, bien qu’il doive faire partie intégrante du Plan . Plus nous avançons, plus nous voyons que la coordination de ces gran