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’abord aux rythmes saisonniers, puis sur un autre
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aux traditions reçues, aux secrets d’usage transmis, et aux héritages
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’addition au hasard de « grands ensembles », sans
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ni perspectives, ni centre ni raison. À cette consternante absence de
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e, sont ceux qui refusent en vérité de changer de
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et de présupposés, et de se tourner vers une société qui serve d’autr
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mal, on dira que c’est la faute du pouvoir, ou du
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, ou du grand capital. S’en remettre à la technique, à ses « impératif
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et d’armements, seuls comparables et valables au
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mondial, seuls indicateurs d’une croissance qui ne saurait sévir déso
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mass médias. Alors, on y va ? — Et comment ! Les
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de quelques dizaines de centrales sont acceptés et mis en œuvre aux U
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s « dans une trentaine d’années48 ». D’ici là, le
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ORSECRAD a prévu en cas d’accident, des « contrôles et décontaminatio
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ment constitutives au changement d’attitude et de
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qui leur permettrait d’un seul coup, de découvrir les problèmes réels
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renoncer à sa présence dans le Pacifique. » « VIe
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: enrichir la France sans que les Français en souffrent. » L’État-nat
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ute régulation exercée par des citoyens, celle du
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stalinien, mais aussi celle des ordinateurs du Pentagone, programmés
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scurs, non moins précis. L’un des responsables du
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français se déclarait, il y a peu, incapable de dire « si nous verron
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ent ridicules, voire grotesques, si l’on passe au
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politique national et international. « Les grandes compagnies pétroli
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itaires nous met au défi de résoudre sur tous les
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le grand dilemme que voici : — ou bien nous perdrons notre temps et n
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entant Thouret, principal auteur, avec Sieyès, du
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de centralisation de la France via sa départementalisation, avait for
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d’un Toynbee sur la cité universelle, ou que les
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pour un Grand Paris de vingt millions d’habitants se réalisent jamais
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t jusqu’à discuter les permis de construire et le
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directeur d’urbanisme, qui sont les secrets les mieux gardés (ou, au
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du xxe siècle — trop petit pour jouer un rôle au
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mondial, trop grand pour animer chacune de ses régions. Désormais, le
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l’Europe, celle de la culture, la plus vraie. Au
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de la politique générale, existerait-il une juste « taille européenne
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erses de celles de la durée de l’État-nation.) Au
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de l’économie enfin : que Rhône-Alpes soit « compétitif » avec Rhein-
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forgé par Thomas More, qui en fit le titre de son
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d’une société bonne et heureuse, signifie « le pays de nulle part » o
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tre la nécessité d’un organisme qui assumerait au
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continental la concertation politique, l’arbitrage entre les régions,
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e les données les plus disparates et élaborer les
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d’ensemble. » José Bidegain, industriel, dans L’Express du 5 avril 19
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période des organisations intergouvernementales :
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Marshall, OECE, Communautés de Luxembourg et de Bruxelles. La lenteur
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en effet, que les maisons que nous bâtissons, les
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d’urbanisme que nous décidons ou négligeons de décider, les centaines
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tion aux décisions de l’entreprise, fixées par le
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à Moscou. Mais au fait, pourquoi tenez-vous tant à la lutte des class
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ne image de l’avenir, je produirai maintenant mon
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d’action, la condition première de son succès étant qu’il soit posé d
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uniront périodiquement en assemblées générales au
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européen, débattront de leurs problèmes communs, et arrêteront d’un c
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les plus divers, et de les charger d’élaborer des
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d’ensemble, d’animer et de coordonner les échanges interrégionaux. Et
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es ressources régionales. — Bien entendu, votre
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n’est qu’un rêve ? — La différence entre un rêve de ce genre et la ré
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oir. Ils voudraient bien agir dans le sens de mon
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, mais s’ils en montraient l’intention, ils perdraient aussitôt et à c
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se de me poser. Vous demandez qui va réaliser mon
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. À vrai dire, il y a toutes raisons de redouter que personne ne s’en