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prit. Elles informent notre univers dans tous les
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de sa réalité. Et c’est seulement quand nous avons saisi par intuitio
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y a plus de significations valables dans tous les
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simultanés de notre existence. La raison s’imagine à tort qu’elle per
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cessent aussitôt d’être valables si l’on passe au
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affectif, au plan moral, ou au plan spirituel. De même les lois écono
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’être valables si l’on passe au plan affectif, au
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moral, ou au plan spirituel. De même les lois économiques sont souven
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l’on passe au plan affectif, au plan moral, ou au
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spirituel. De même les lois économiques sont souvent en contradiction
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able de m’assurer qu’une intention quelconque, un
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ou une conscience, relient tous ces maux isolés. Le mythe seul, en pe
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ux de Dieu c’était le mal, c’était contrevenir au
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d’ensemble et aux ordonnances du Jardin ; en d’autres termes, c’était
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e désir, d’un bien que le réel condamne et que le
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divin ne prévoit pas. Satan, lorsqu’il tente le Christ, lui propose t
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ndra pour sottise. C’est que Dieu seul connaît le
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d’ensemble et l’intention dernière de toute sa Création. Et c’est seu
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sa Création. Et c’est seulement par rapport à ce
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et à cette intention — en partie révélés — que les actes des créature