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t ciel. Mais sa foulée, bondissante et posée, est
pleine
du désir de l’air. Danse-t-il sur une musique que je n’entends pas ?
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s, et non plus à Sainte-Croix, mais à Aubonne. Un
plein
succès a répondu à cette innovation. Le sujet de la première partie d
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ce passage du réalisme le plus hardi à un lyrisme
plein
de simple grandeur. Voici la mort du taureau dit « le Mauvais Ange »
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dès l’aube, j’irai tenter la misère aux yeux las
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de rêves, la misère qui fait des soirs si doux aux amants quand ils n
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bien que je devrais tenter quelque chose. Je suis
plein
de rêves, certains soirs. Il faut pourtant rentrer chez moi, et ma fe
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eurer sur ma lâcheté. Et je t’apostrophe, soudain
plein
de mépris et de désespoir, ô vie sans faute, vie sans joie… Ah ! plus