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due presque vaine par ses excès, avec la pauvreté
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de sens et de grandeur qu’imposait la Loi d’Israël. Ce que l’on perd
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du temps ? C. M. — Mais mon temps est vivant, et
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de nouveauté, de création ! Ton éternité immobile, c’est l’image même
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e, encore que peut-être l’acte de penser, au sens
plein
et cartésien du mot, soit infiniment plus difficile et plus rare qu’o
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Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison
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de guéridons et d’aquarelles, de telle sorte qu’on puisse y travaille
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ame », ou plutôt un peu mieux, avec une politesse
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de réserve et d’attentions. On parle du domaine. Les deux femmes le d
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s d’ombres. Je me souviens de ces nuits de Paris,
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d’appels fugitifs, assourdis ; de ces veillées fiévreuses, assiégées.
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ialement adroits de leurs mains, débrouillards et
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de ressources mystérieuses. Mais ils seraient moins dignes aussi. Leu
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ventées. Les rues sont étroites et caillouteuses,
pleines
d’odeurs dès que le vent cesse de les balayer. Nous sommes installés
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t le moins croyable, étant superstitieux sur tout
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d’objets. » Malchance affreuse du peuple français : il n’échappe aux
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oir perdu son ombre. Le second romantisme bat son
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. On a vu bien des fous Chez Tieck et chez Fouqué. Celui-ci pourtant m
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esprit offensif et joyeux, le corps qui se sent «
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dans sa peau », partagent les richesses du désir. Et l’homme a retrou
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, je sais maintenant pourquoi notre chambre était
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de puces. Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme un symbole. L
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tout près. Nuit des villes, rouge et circulante,
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de rumeurs, comparable à la fièvre. Plus lucide souvent que les jours