1 . Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir plein . Si la liberté n’est pas à l’origine d’un système, elle ne s’introdui

2 te tension créatrice qui seule définit un « temps plein  ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie n’est au vrai qu

3 réer un risque nouveau. Le temps de cet homme est plein , et nul n’y pourrait distinguer des heures « creuses » ou des efforts

4 e. Or, nous nous connaissons complexes et impurs, pleins de problèmes, peuplés de fantômes et séparés par eux de nous-mêmes et

5 n : cet appel à la vie communautaire, ce réalisme plein , ce sens du concret spirituel, cette amitié des hommes et du pays, qu

6 ment ce qui s’est fait, et un temps pour saisir à pleines mains les instruments de construction, qui sont aussi ceux des démoli

7 ne éducation de son langage. Un tribunal muni des pleins pouvoirs, institué pour juger des cas de langage délictueux, inactuel

8 st incertaine, facilement énervée puis indolente, pleine de contradictions en apparence mais dans le fond et dans l’ensemble c

9 gagner le monde ou gagner contre lui. Livre trop plein , trop scrupuleux, trop grave, nourriture trop complexe pour être épui

10 antifascisme digne de ce nom. « La seule société pleine de vie et de force, écrit G. Bataille, la seule société libre est la

11 e que c’est « important » ou « intéressant » ou «  plein de talent ». (La discontinuité de notre chronique des Lettres ne trad

12 t de même, ou par là même, une existence, au sens plein de ce terme ; avec tout ce que cela comporte d’autonomie, de nécessit

13 our la connaître, et que la vie ne saurait être à plein vécue que par ceux qui « ont passé par là ». Or la passion et le mari

14 our chrétien, qui est Agapè, paraît enfin dans sa pleine stature : il est l’affirmation de l’être. Et c’est Éros, l’amour-pass