1
t une idée sinon de la pensée barthienne dans son
plein
développement, du moins de ses thèmes initiaux, de sa « problématique
2
négative et désespérée. « Ici le paradoxe joue à
plein
— écrivait-on à ce propos dans un récent article1 — la théologie dial
3
e qui leur fait perdre toute mesure. Le monde est
plein
de malins, de gens qui ont l’air d’avoir compris de quoi il s’agit. I
4
t attendre les deux autres parties pour saisir la
pleine
signification. On trouvera, d’ailleurs, une analyse détaillée des Sta
5
on anthologie tout un monde spirituel et poétique
plein
de dangers et de merveilles. Le choix des textes me paraît des plus h
6
à l’argent. Il ne fallait pas moins que le génie
plein
de malices d’une Lagerlöf pour renverser d’un coup cette apparente fa