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terne est crevassée et divisée. Son œuvre souvent
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de charme mais sans forme et sans but, peut bien nous stimuler, mais
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« grande Magie » que Faust enfin rejoint dans la
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possession de ses forces et l’assurance du regard. L’âme, purifiée de
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par l’emploi d’un style poli, nombreux, toujours
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d’onction, parfois même de pompe. Tel est le premier succès de cet ou
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ture, les bêtes, les choses. Envers elles, il est
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d’une espèce de charité patiente et ingénieuse. D’où son amour des tr
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on anthologie tout un monde spirituel et poétique
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de dangereuses merveilles. Le choix des textes me paraît des plus heu
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nd bouquin, c’est l’œuvre d’un vieux médecin tout
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de verve et de gaillarde érudition, comme il s’en trouve un peu parto
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d même ? Janvier (à T…) Ce séjour, par ailleurs
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d’agrément, ne m’a permis de faire jusqu’ici qu’une seule expérience
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n peut vivre de très peu sans cesser de vivre son
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. Voici un an bientôt que j’ai quitté Paris. Voici un an que je dors b
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colantes et gracieuses, réalistes et romanesques,
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de malices et de profondes audaces. Des histoires que l’on croit inté
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it un même acte : sinon le comme n’aurait pas son
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sens. Dans l’amour de soi-même, l’homme naturel s’ouvre à l’action du
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ent accompli d’un autre. Le dharma d’un autre est
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de dangers. (III, 35) Et dans les upanishads : La vie n’a servi de r
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ur comme fer à la réalité tangible, insuffisante,
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de mystères, des apparences actuelles, qu’elle s’évertue en conséquen