1 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
1 êts, les jambes nues sous la pluie. L’herbe était pleine de limaces et de petits escargots, et les framboises humides avaient
2 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
2 sont pas deux réalités opposables, et qu’au sens plein de ces deux mots, on les peut employer l’un pour l’autre. Dans l’un e
3 1947, Doctrine fabuleuse. Troisième dialogue sur la carte postale. L’homme sans ressemblance
3 ne servira pas moins votre publicité que la photo pleine page et en couleurs que nous prendrons une autre fois. (Il va pour so
4 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
4  ! Aller du simple au compliqué ! Que cela paraît plein de bon sens ! Le beau cliché, la belle absurdité, la magnifique carte
5 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
5 oir perdu son ombre. Le second romantisme bat son plein . On a vu bien des fous chez Tieck et chez Fouqué. Celui-ci pourtant m
6 esprit offensif et joyeux, le corps qui se sent «  plein dans sa peau » partagent les richesses du désir. Et l’homme a retrouv
6 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
7 sse outre, et très peu d’entre eux possédaient la pleine assurance de l’être. L’Institut de l’opinion planétaire publia les pr
7 1947, Doctrine fabuleuse. Le feu
8 uffrir et qui rend seul. À l’Occident qui veut le plein mais crée le vide, nourrissant malgré lui les monstres et le feu. Et