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ant que leurs auteurs croyaient s’abandonner à la
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liberté de leur imagination, —j’en donnerai plus loin quelques preuve
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dis pourtant mon amour sous le couvert d’un roman
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d’allusions et de symboles qu’elle comprendra. Et voici que l’on fait
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t cette disposition para-mystique dans un langage
plein
de correspondances avec celui de mes analyses du Mythe, et d’une préc
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était merveilleusement belle : brune, des lèvres
pleines
, de forts sourcils, un nez légèrement retroussé : une Polonaise noira
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: deux princes vraiment, deux êtres d’exception,
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de hardiesse et de fierté, mais inaptes à la vie commune, à cause d’u
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Ici, le parallèle semble parfait. Le bonheur, la
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participation à la vie, le signe de l’accession à la commune conditio
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immense et telle que je ne la pusse imaginer plus
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si de l’amour s’y fût mêlé. Comment eût-il été question d’amour ? Com
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erne est crevassée et divisée. Son œuvre, souvent
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de charme mais sans forme et sans but, peut bien nous stimuler, mais
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it un même acte : sinon le comme n’aurait pas son
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sens. Dans l’amour de soi-même, l’homme naturel s’ouvre à l’action du
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ent accompli d’un autre. Le dharma d’un autre est
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de dangers. (III, 35.) Et dans les upanishads : La vie n’a servi de
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ur comme fer à la réalité tangible, insuffisante,
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de mystères, des apparences actuelles, qu’elle s’évertue en conséquen