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nui, cette incapacité à jouir de mes victoires, à
pleurer
sur mes déboires, ce malaise seul liait les personnages auxquels je m
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galeries, les cafés, les musiques, Donizetti qui
pleure
délicieusement jusque dans les gestes des passantes. Sous cette agita
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es cheveux dans les mains. Et je voudrais pouvoir
pleurer
sur ma lâcheté. Et je t’apostrophe, soudain plein de mépris et de dés
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sais pas où tu m’attends mais je sais comment tu
pleurais
. Au carrefour des cris perdus j’écoute encore une voix nue qui vient
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les mains de l’absence se ferment sur le vide tu
pleurerais
mais la grâce est facile comme un matin d’été la grâce tendrement dén