1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
1  ; et le voyant partir, je ne puis me défendre de pleurer … » Dès ce moment, ajoute le poète, « dura toujours l’amour de Girard
2 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
2 u IIe Acte, et je ne l’entendrai plus jamais sans pleurer — je me ferais honte. Tôt après la publication, au printemps de 1939,