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; et le voyant partir, je ne puis me défendre de
pleurer
… » Dès ce moment, ajoute le poète, « dura toujours l’amour de Girard
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u IIe Acte, et je ne l’entendrai plus jamais sans
pleurer
— je me ferais honte. Tôt après la publication, au printemps de 1939,