1 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
1 iste, qui ne connaît plus d’autre autorité que la police , plus d’autre unité que l’État, et plus d’autres réalités que celles
2 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
2 , ou bien encore, une administration, dotée d’une police minime. Une autre conséquence politique du personnalisme, qui marque
3 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
3 nombre et de la matière, pour ne rien dire de la police et de la délation organisée. Atmosphère peu favorable à l’instauratio
4 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
4 s qu’une précieuse auxiliaire de la préfecture de police . Qu’on n’attende donc pas de nous un appel aux Églises en tant que co
5 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
5 les libertés, et détruit la fraternité. Capital, police , lutte de classes, guerre. Primauté du paraître sur l’être. La Per
6 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
6 ndera des siècles de travail, de sacrifices et de police . Nous connaissons une jeunesse d’Europe qui n’a pas attendu pour vivr
7 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
7 e. On s’imagine volontiers que la force, c’est la police , l’armée et la colère des masses. Mais qui dirige la police, qui rass
8 armée et la colère des masses. Mais qui dirige la police , qui rassemble une armée, qui la paye ? Qui excite et ordonne la révo