1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 propagande et de pression morale tels que radio, police et presse, introduisent dans le monde actuel des possibilités plus ra
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
2 des, je vais donc m’annoncer auprès du chef de la police qui a demandé quelques volontaires. Il nous expose notre tâche : pren
3 ux étrangers de déposer leurs armes aux postes de police a permis d’observer le phénomène suivant : au jour fixé, tous les emp
3 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
4 en effet, nous dit-on, qu’à la dernière minute la police retienne certaines personnes désignées par certaines autorités étrang
5 dix jours durant lesquels on peut imaginer que la police renoncera au viol de notre vie privée. Pourtant, certains des passage
6 pellent sans doute ce Polonais, tiré, jeté par la police franquiste hors du train qui sifflait déjà pour le départ vers la fro
7 raversé sept contrôles différents de douane et de police . Secondés par la chance, nous n’y avons passé, si je compte bien, guè
8 il se reconnaît dans le portrait simplifié que la police en compose à toutes fins menaçantes. Songeons aussi que ces procédés
4 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
9 pénètre par un porche médiéval, où des agents de police arrêtent votre voiture, vous prient de dire où vous allez, et télépho
10 C’est pour cela qu’il faut combattre Hitler et la police . Je suis prêt à me battre pour le droit de pleurer devant la beauté.
5 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
11 t défavorable. Ils m’emmènent dans une baraque de police où l’on appose des scellés sur ma valise. Ils m’annoncent qu’elle est
12 ir. Je suis sans doute le premier écrivain que la police ait jamais inquiété pour existentialisme déclaré.
6 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
13 itler plus que jamais tyrannise les Européens, la police politique traque les hommes libres sans que personne ose dire pour qu