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vait pas encore trouvé, à cette époque, une forme
politique
adéquate. Cette « civilisation quantitative » telle que M. Guglielmo
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étendu à tous les ordres de l’activité humaine :
politique
, économique et culturel. Telle est la base de notre ordre. Cet ordre
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sous son vrai jour, comme le conservatoire de la
politique
bourgeoise, avec ses monarchistes et ses communistes, figurants indis
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deux indications très générales : Dans le domaine
politique
, nous revendiquons une organisation régionaliste de l’Europe. Cela su
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rontières douanières, et du centre administratif,
politique
, financier et policier où viennent se congestionner les énergies du p
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. Ce que nous voulons, c’est rétablir sur le plan
politique
la tension nécessaire et créatrice entre la petite patrie décentralis
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e de répartition, tout à fait distinct du pouvoir
politique
. Ainsi se trouve sauvegardée la tension nécessaire, et assuré, en fon
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cte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine
politique
: la petite patrie décentralisatrice et le centre de contrôle doctrin
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tions philosophiques et leurs conclusions d’ordre
politique
et social. Ces conclusions ne manqueront pas d’impressionner certain
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thèse, qui justifie en philosophie le monisme, en
politique
les tyrannies abstraites, Dandieu reprend l’argumentation que Proudho
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s l’identité, à vrai dire surprenante, des thèses
politiques
de Proudhon, et de celles, philosophiques, de Kierkegaard, vis-à-vis
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Remarques sur le protestantisme et les doctrines
politiques
(juillet-août 1934)l Y a-t-il des jeunes protestants ? Cette enquê
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rable aux nombreux groupements catholiques à fins
politiques
ou sociales15. Si les faits sont pauvres, profitons-en pour porter un
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’est la conception réactionnaire, ou statique, la
politique
de la contrainte armée, de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarc
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ciale imposée. C’est une doctrine pessimiste, une
politique
de la camisole de force. Tel qu’il devrait être : c’est la conceptio
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t la conception révolutionnaire, ou dynamique, la
politique
du devenir et de l’évolution fatale. C’est une doctrine optimiste, do
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e présent injuste, mais dans le futur libérateur.
Politique
millénariste. À droite, on dit que l’homme est une bête, que c’est là
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xe essentiel, et non ailleurs, peut se fonder une
politique
qui mérite le nom de chrétienne. Je la vois caractérisée par deux tra
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ici le malentendu qui s’institue partout entre la
politique
et notre foi : la politique s’occupe des moyens, et néglige bientôt l
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itue partout entre la politique et notre foi : la
politique
s’occupe des moyens, et néglige bientôt les fins, ou prend les moyens
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ent à dévaloriser les moyens. Ou encore : pour le
politique
pur, il s’agit toujours d’un ordre établi ou d’un ordre à établir. Po
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s l’instant, hic et nunc ; l’ordre imposé par une
politique
est dans l’histoire, dans la durée. Mais il faut que l’ordre reçu s’i
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e chrétien prenne position en présence des partis
politiques
. S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau
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la promesse d’être sauvés de son empire. L’action
politique
nous est nécessaire, comme manger, travailler et penser, mais jamais
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ger, travailler et penser, mais jamais un système
politique
ni aucune synthèse humaine n’aura de droit sur nous en tant que perso
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en tant que vocations. Surtout, jamais un succès
politique
ne pourra, pour nous, se confondre avec un progrès de salut. Principe
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onfondre avec un progrès de salut. Principe d’une
politique
du pessimisme actif. Une phrase de Kierkegaard résume, à mon sens, le
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fondement et la seule direction possible de toute
politique
chrétienne : « L’homme seul (devant Dieu) est au-dessus de la collect
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et devra collaborer avec tous les « mouvements »
politiques
qui revendiquent les droits supérieurs de la personne par rapport à l
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voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en
politique
: une révolution sans illusions. II. Qu’avons-nous fait ? Le le
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émoignent avec évidence. Mais, d’autre part, le «
politique
d’abord » de Maurras, l’insistance mise sur la forme de l’État, parai
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réalisme ? La plupart des tentatives sociales ou
politiques
que je vois s’esquisser parmi nous me paraissent pécher par une visio
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vocation particulière, elle tend à échapper à la
politique
et sort du domaine de cette enquête. Dans la mesure où elle devient l
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ici : elle marque le pôle du refus, dans notre «
politique
du pessimisme actif ». Je voudrais décrire maintenant une attitude co
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i contre le préjugé le plus nocif de la mentalité
politique
française. C’est un volume entier qu’il faudrait consacrer à la criti
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de base : Spirituel d’abord, Économique ensuite,
Politique
à leur service. Il est facile d’indiquer rapidement le principe de co
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t d’autre part à une conception de l’organisation
politique
radicalement antiétatiste, fédéraliste, ou mieux communaliste. L’assi
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uer un rôle de plus en plus important dans la vie
politique
et intellectuelle de la France et, par là même, à influencer toutes n
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ves, et ce n’est pas l’affirmation d’une position
politique
qui permettra de « faire la France protestante ». Je croirais davanta
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organe La Revue du siècle, etc. 16. Illustration
politique
: à tout système qui tend à l’anarchie par excès de confiance dans l’
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Remarques sur le protestantisme et les doctrines
politiques
», Le christianisme social, Paris, n° 6, juillet-août 1934, p. 49-58.
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re vous sauriez : 1° que je combats violemment la
politique
de l’Église (chap. 7) ; 2° que je suis protestant. (Pour vos « curés
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, p. 1059. Publiée en réponse à une recension de
Politique
de la personne parue dans la livraison de mars 1935 de la même revue