1 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
1 renciée (service civil) ; privé de toute autorité politique , celle-ci appartenant au gouvernement proprement dit, émanation des c
2 plus forte, plus riche et plus noble que l’action politique au sens présent du terme. » d. Ce mot a été ajouté à la main dans l’
2 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
3 égoïstes. Mais ce n’est pas non plus le « soldat politique  » qui n’a plus en lui-même de principe d’existence, et qui n’est rien
3 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
4 il parle des méthodes nazies d’usage interne, en politique et en économie. M. Rivaud ne cache pas l’admiration que lui inspirent
5 iculièrement gênant dans le chapitre final sur la politique extérieure. Le résumé des événements de l’après-guerre tel que le don
4 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
6 ncier communiste doit se préoccuper des résultats politiques de son œuvre : servitude pour l’artiste. Mais un romancier chrétien n
7 hentiques essais de construction de notre temps. Politique de la personne , Penser avec les mains , le Journal d’un intellectu
5 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
8 s à un meeting de masses, à quelque manifestation politique . Mais c’est leur culte que ces Allemands célébraient. C’était une lit
9 par le sentiment religieux dans l’hitlérisme. La politique , l’économie, jouent leur rôle aussi. Évidemment, il sera toujours pos
10 rtis et des classes avant 1933, les circonstances politiques de l’Europe, le traité de Versailles, etc. Mais tout cela retrace le
11 . Et ce n’est pas la soif d’une tyrannie, au sens politique et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du Führer. Mais c’est l
6 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
12 ue le phénomène Hitler est d’ordre religieux, non politique d’abord. Si ce petit individu sans qualités ni défauts bien marqués a
7 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
13 age moderne par le terme de milicien ou de soldat politique . Nous allons le voir se transformer substantiellement dans le vocabul
14 à-dire que la collusion de l’Église et du pouvoir politique tendait à opprimer la liberté de la personne, en absorbant celle-ci d
15 qu’elle a consisté accidentellement, sur le plan politique , à combattre sur deux fronts : d’une part contre l’absolutisme du pou
16 bat les deux tendances non point pour des raisons politiques , mais pour sauver l’Église véritable, car, écrit-il, « si personne n’
17 lations humaines, et en particulier les relations politiques . Toute l’histoire de l’Europe serait à refaire à partir de cette cons
18 quelque sorte contaminé les formes et structures politiques . Nous en verrons quelques exemples. Quelle fut donc la traduction pol
19 quelques exemples. Quelle fut donc la traduction politique de la doctrine calvinienne de l’Église et des vocations personnelles 
20 alistes. L’absolutisme, la confusion des pouvoirs politiques et spirituels, nous les trouvons chez un Charles-Quint, chez un Phili
21 la tête, en tous pays, nous le voyons adopter une politique toute différente. Il ne tombe jamais dans le piège d’opposer à l’abso
22 s protestants revendiquer et appliquer un système politique souple et vivant, respectueux des diversités, c’est-à-dire fédéralist
23 les historiens attribuent à ces faits des causes politiques précises. Ils disent que la Réforme a triomphé surtout dans les petit
24 i explique à la fois le respect des diversités en politique , et le respect des personnes dans la vie privée. L’un entraîne l’autr
25 ut-il comprendre mieux que tout autre le paradoxe politique du fédéralisme : la liberté de chacun dans une action commune, l’équi
26 indre l’Espagne. Laissons de côté les différences politiques que l’on pourrait marquer entre ces trois États : d’abord parce que c
27 mme le césaropapisme. D’autre part, ses décisions politiques étaient fortement influencées par le clergé : c’est ce qu’on nomme la
28 es ? Cette première question est capitale. Car la politique d’un régime est toujours étroitement dépendante de l’attitude qu’il p
29 irituelle. Il se transforme alors en une religion politique , ou encore en une politique d’allure religieuse. Et d’autant plus que
30 alors en une religion politique, ou encore en une politique d’allure religieuse. Et d’autant plus que la religion qu’il adopte es
31 rrestres ne divergent plus du tout des buts de la politique , et même se confondent avec eux. Alors il n’y a plus de recours, plus
32 es que nous définissions en débutant. La religion politique , ou la politique religieuse du fascisme, a créé le type même d’une co
33 issions en débutant. La religion politique, ou la politique religieuse du fascisme, a créé le type même d’une communauté régressi
34 atique, à l’utilisation de l’Église pour des fins politiques , c’est-à-dire au césaropapisme. Si le mot d’ordre « Suisse chrétienne
35 t, pour l’avenir immédiat ! Et enfin, sur le plan politique , essayons de comprendre une bonne fois le sens profond de notre fédér
36 sens profond de notre fédéralisme, seule doctrine politique existante qui soit radicalement contraire à la doctrine totalitaire.
37 urs, volontairement durcis, de ces jeunes soldats politiques dressés à l’héroïsme en masse, à l’héroïsme collectif — le plus facil
38 me de la sûre doctrine de résistance au paganisme politique . Ceci nous charge d’une responsabilité devant l’Histoire. Que devons-
8 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
39 s domaines, dans la culture non moins que dans la politique . Les complexes individuels font place aux mythes collectivistes, et l
40 ; le théâtre collectiviste symbolise les conflits politiques au sein des foules des grandes nations. Or, nous n’avons pas de grand
9 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
41 ces propagandistes ? Ils proclament une doctrine politique tout à fait nouvelle en Europe. Ils prétendent que les nations « n’on
10 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
42 te perpétuelle. Elle est sans doute un héritage «  politique  ». Mais rien ne se déprécie plus rapidement que les privilèges politi
43 ne se déprécie plus rapidement que les privilèges politiques , si le peuple qui en jouit ne sait pas les mériter par ses manières d
44 olérance réelle que par prudence. Les adversaires politiques ou religieux, chez nous, ne se fréquentent pas, ne se parlent pas, et
45 e mois de mars 1940, sont avant tout nos libertés poli­tiques . Je répondrai que nos libertés politiques ne sauraient subsister et g
46 bertés poli­tiques. Je répondrai que nos libertés politiques ne sauraient subsister et garder leur valeur concrète que si nous con
47 utres, et toute notre histoire en témoigne. « Une politique de liberté ne peut être faite que par des esprits libres. » Les deux
48 des manières de penser et de vivre, nos libertés politiques ne pourront subsister longtemps, et alors c’en sera fait de noire lib
49 édéralisme, dans la vie quotidienne comme dans la politique . Un mot encore, pendant que j’en suis à ronchonner. (La prochaine foi
11 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
50 nce étrangère, sont dans les vrais intérêts de la politique de l’Europe entière. » Et j’en arrive, ici, au centre même de tout ce
12 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
51 et la soutient. Je laisserai de côté ici l’aspect politique — au sens étroit — du problème. J’estime que le fédéralisme est tout
13 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
52 assister à un débat, dans un cercle privé, sur la politique commerciale de la France. Tandis que des experts échangent leurs vues
53 vre. Mais je découvre qu’aujourd’hui, dans la vie politique ou intellectuelle, plus personne n’est vraiment d’aplomb. Nervosité,
54 est promis ! 9 juin 1939 « Notre Führer fait une politique d’artiste ! », a proclamé M. Goebbels. Voilà qui définit l’idée de l’
14 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
55 ues, elles nous avertissent clairement : discorde politique , routine, recul de l’esprit de liberté, défaut de solidarité entre le
15 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
56 t moins ne sont pas dans les partis, parce que la politique leur a paru jusqu’à présent un jeu déplaisant… ; cela équivaut à dire
57 s responsabilités… ou qu’on l’éloigne de la scène politique . Au surplus, il a bien voulu nous faire les déclarations qui suivent.
16 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
58 langage ! — Puisque le fédéralisme est une forme politique qui suppose l’équilibre vivant entre les droits de chaque région et s
59 tres, est à la base de la plupart de nos conflits politiques , économiques, parlementaires. 2. Ni gauche ni droite. — Les centralis
60 récente, et plus ou moins contaminé par les mœurs politiques françaises. L’idée même de parti, d’ailleurs, est antisuisse, dans ce
61 s ce sens qu’elle est antifédéraliste. Tout parti politique est en puissance un petit État totalitaire et unifié, qui voudrait bi
62 naires qui s’y incrustent, et dont l’intelligence politique s’atténue dans le confort et la prudence. Ne dites donc plus : « Nous
63 tait 10 fr. par an. Je vois enfin que toute notre politique est alourdie et comme paralysée par des soucis budgétaires de cet ord
64 ette « éternité » est la base officielle de notre politique . Dans ce cas, notre politique reposerait sur une faute de français, j
65 officielle de notre politique. Dans ce cas, notre politique reposerait sur une faute de français, j’en suis fâché. Ce n’est pas é
66 rait désigner l’attitude adoptée par la Suisse en politique . De plus, la Suisse n’est devenue neutre qu’à partir d’un certain mom
67 pas accomplie. (L’Empire fédératif ?) Mais toute politique digne de ce nom consiste à prévoir même le pire, et même la réalisati
68 rquoi est-ce comique ? Parce que l’histoire et la politique ne cessent pas de modifier ces positions toutes relatives que sont la
69 . — Les traités nous reconnaissent une neutralité politique et militaire. Ils nous obligent aussi à la défendre intégralement. Ma
70 confondre le réalisme avec la médiocrité des vues politiques . Les petits pays ne sont pas dispensés d’imaginer et de voir grand. B
71 bien typique du siècle dernier, où, en effet, la politique n’était plus guère qu’une annexe des affaires. Rien de plus dangereus
72 sme d’hier). Notre époque est celle des religions politiques , sociales, nationales. Le commerce, l’industrie, l’économie en généra
73 le fait, que la Technique ne saurait inspirer une politique , mais qu’elle peut au contraire servir à tout lorsqu’on l’y force — e
74 saurait plus servir d’excuse à l’absence de vues politiques . On demande à un gouvernement de « gouverner14 », de piloter l’État e
75 rciaux. On demande des diplomates qui fassent une politique , et qui aient plus d’idées générales que de compétences économiques.
76 qu’on vient de lire, que je n’ai pas d’ambitions politiques  ! 11. Intéressante précision du langage ! Un « drôle », c’est à la f
17 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
77 cole de l’amitié ! Et quand une même appartenance politique vient à s’épanouir dans l’amitié commune, alors un peuple atteint ce