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controverses théologiques mêlées à des questions
politiques
. Exemples : La poésie des troubadours, née dans la seconde partie du
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ent donc relégués dans une opposition sans portée
politique
, spectateurs irrités de la vie américaine, disciples réticents de nos
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rire des textes d’information et des commentaires
politiques
, diffusés par ondes courtes vers la France et retransmis de Londres p
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, par conséquent, dont tiennent compte nos débats
politiques
. Ces derniers sont centrés sur des questions de partis et de partis p
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t parfaitement naturel que nous aimions parler de
politique
. Il est parfaitement naturel que nos discussions se passionnent dans
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vies : s’en occuper serait s’occuper vraiment de
politique
. Car il n’y a plus à proprement parler de politique pratique, sérieus
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litique. Car il n’y a plus à proprement parler de
politique
pratique, sérieuse et efficace, sinon dans le cadre planétaire. Hitle
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bases spirituelles aux États-Unis, manque d’ordre
politique
en Asie, manque de foi et d’espoir en Europe. Je dis bien que notre p
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ermés dans les cloisons étanches de leur autarcie
politique
; parce que l’Europe sans elle s’enfoncerait encore plus dans sa névr
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définitions. Il est vain de parler des problèmes
politiques
, si l’on ne s’est pas entendu d’abord sur une certaine idée de l’homm
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abord sur une certaine idée de l’homme. Car toute
politique
implique une certaine idée de l’homme, et contribue à promouvoir un c
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nsions avec Hitler que l’homme n’est qu’un soldat
politique
totalement absorbé par le service de la communauté. Car alors, nous i
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qui favorisent trois types différents de régimes
politiques
, et sont en retour favorisés par eux. À l’homme considéré comme pur i
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urs la tyrannie. À l’homme considéré comme soldat
politique
, totalement engagé mais non libre, correspond le régime totalitaire.
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entre l’individu sans responsabilité et le soldat
politique
sans liberté. Car la personne, c’est l’homme réel, et les deux autres
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n malentendu fondamental, que l’exemple de la vie
politique
suisse illustre très clairement. En effet, les mots fédération et féd
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évenait de rationaliser les principes de leur vie
politique
. Il est incontestable, en effet, que l’idée fédéraliste n’a pas cessé
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; elle était la vie du civisme et de la pratique
politique
des Suisses. C’est le défi que représente l’esprit totalitaire, qui l
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fédéraliste fut promptement détourné au profit de
politiques
d’hégémonie. Toutefois ce sentiment ne cessait pas de croître et de s
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nations, les régions économiques, les traditions
politiques
; et c’est les arranger selon leurs caractères particuliers, qu’il s’
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aucoup plus efficace, dans les coutumes de la vie
politique
et culturelle, où l’on voit la Suisse romande et la Suisse italienne
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formée d’une multitude de groupes et d’organismes
politiques
, administratifs, culturels, linguistiques, religieux, qui n’ont pas l
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ainsi, c’est la vitalité civique d’un peuple. Une
politique
fédéraliste soucieuse de se mouler sur la réalité toujours complexe,
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e gouverne. Elle exige beaucoup plus de vrai sens
politique
. Finalement, si l’on y réfléchit, on s’aperçoit que la politique fédé
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lement, si l’on y réfléchit, on s’aperçoit que la
politique
fédéraliste n’est rien d’autre que la politique tout court, la politi
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a politique fédéraliste n’est rien d’autre que la
politique
tout court, la politique par excellence — c’est-à-dire l’art d’organi
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’est rien d’autre que la politique tout court, la
politique
par excellence — c’est-à-dire l’art d’organiser la cité au bénéfice d
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ans le monde du xxe siècle, que deux camps, deux
politiques
, deux attitudes humaines possibles. Ce ne sont pas la gauche et la dr
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es par une fiche de mobilisation professionnelle,
politique
, et finalement militaire. Le totalitarisme est simple et rigide, comm
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prise de position générale, aussi bien en matière
politique
qu’en matière philosophique. Cette conception du fédéralisme intégral
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pas Truman qui s’occupe d’autre chose, et dont la
politique
a autant de rapports avec les vomissements décrits par un Miller, que
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e fait de la volonté du peuple américain et de la
politique
de ses chefs. p. « La balance n’est pas égale entre les États-Unis
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imaginons pour le réaliser — religions, éthiques,
politiques
, puis sciences — se confondent un beau jour avec une tyrannie. De mêm
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de vivre à leur guise, jouissent des mêmes droits
politiques
et économiques que les autres. D’une manière générale, les sanctions
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l’armée, la fraude fiscale, ou certaines opinions
politiques
même non déclarées publiquement. Nous sommes loin des sociétés qui la
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eufs de ce siècle, les uns techniques, les autres
politiques
. Si tout le monde ne le voit pas d’un coup d’œil, c’est que « l’homme
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ces faits matériels vient s’ajouter le grand fait
politique
des deux empires, qui ont un air de vouloir se partager le monde. En
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s libertés américaines. Un régime qui traduise en
politique
, dans l’économie et les mœurs, l’idée de l’homme commune aux peuples
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’Europe : ni l’individu sans devoirs ni le soldat
politique
sans droits, mais la personne à la fois libre et engagée, l’homme qui
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ocratique. Le refus sur deux fronts n’est pas une
politique
. Quand il est autre chose que l’effet naturel d’une grande affirmatio
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ger sans les tuer, les diversités de tous ordres (
politiques
aussi bien qu’économiques) dans un corps, non dans un carcan. Ce qui
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dans un corps, non dans un carcan. Ce qui est la
politique
par excellence, n’en déplaise aux sectaires de tous bords. La véritab
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combattaient, passée dans notre siècle à l’action
politique
au lendemain de la révolution russe, puis sous le régime hitlérien, e
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n parti. Tout ce qu’a perdu la religion, c’est la
politique
qui le gagne. Admirable libération ! Insistons fortement sur ce trait
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anatisme d’aujourd’hui n’est plus religieux, mais
politique
. L’idée que « la fin justifie les moyens » n’est plus jésuite, mais l
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x de l’avant-garde ou qui se donnent pour tels en
politique
. Ce qui est nouveau, c’est de le voir défendu par ceux-là mêmes dont
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rtant le capitalisme industriel et le libéralisme
politique
, qui ont fait fortune en Amérique, venaient d’Europe ; comme en venai
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s la vie de la culture, comme dans les structures
politiques
, les mêmes tensions fondamentales, je les nommerai : fédéralistes. Ic
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isins soviétiques leur sens aigu des implications
politiques
de toute pensée, même gratuite d’apparence. Demandons-nous ce que nou
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s autrement sur le plan de la communauté et de la
politique
des nations. Ici, l’équilibre vivant doit s’établir entre les groupes
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notre second office est l’invention de structures
politiques
du type fédéraliste, seules créatrices de paix et seules capables de
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ns une certaine mesure, qui est celle du réalisme
politique
, et il fallait tout de même que ce fût dit ici, la question de l’aven
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entée. Il s’agit que nos théologiens adoptent une
politique
d’intervention, et non de vertueuse indignation, à l’égard des écoles
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Que l’Église affirme avec force, dans le domaine
politique
, la Transcendance de son chef, contre tous les absolutismes nationaux
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de ce qui transcende nos attachements nationaux,
politiques
et raciaux. Et c’est pourquoi le mouvement œcuménique revêt une impor
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quoi le mouvement œcuménique revêt une importance
politique
capitale dans notre siècle : il peut offrir le modèle même d’une unio
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ts, elle a ses troupes disciplinées, elle fait sa
politique
jusque dans nos communes : tandis que les USA n’ont que des sympathie
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s’est penché, dès sa maturité, sur les problèmes
politiques
de notre temps. Auteur de plusieurs ouvrages politico-philosophiques
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de plusieurs ouvrages politico-philosophiques :
Politique
de la personne , Penser avec les mains (1933), L’Amour et l’Occide
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ersonne humaine ; ne voulut-il pas instaurer une
Politique
de la personne ? Et, pour mieux préciser encore sa position, ne nous