1
chercher des structures sociales, économiques et
politiques
, adaptées aux réalités et aux finalités européennes. En second lieu,
2
out, de s’occuper ; non plus seulement des moyens
politiques
, économiques ou culturels d’unir l’Europe ; et non plus seulement des
3
ir, et par là nous met en demeure de formuler une
politique
de l’homme et de l’humanité. J’insiste : ce succès même se traduit pa
4
sir librement son avenir veut dire : élaborer une
politique
, une conduite de gouvernement, ou de gérance de la cité, en vue et au
5
années… Comment, dans ces conditions, arrêter une
politique
du pétrole ? ou du cuivre ? Ce n’est pas tout. Une troisième sorte de
6
tifs techniques », on nous empêche d’élaborer une
politique
responsable, et d’agir sur nos gouvernants pour qu’ils l’appliquent.
7
t. De fait, les détenteurs des moyens de décision
politiques
et économiques s’inspirent tantôt des pessimistes tantôt des optimist
8
s irresponsables, quand il s’agit de formuler une
politique
. Or nous voyons que dans leur majorité, les futurologues calculent un
9
l s’agit de déterminer un optimum, de définir une
politique
, d’évaluer ses répercussions… Car le même processus se répète dans to
10
seront faites dans ce temps, et les conséquences
politiques
qu’elles entraîneront. Sans vouloir entreprendre ici la critique d’un
11
ent et parfois se veulent, d’indiquer des remèdes
politiques
aux maux qu’ils ont calculés, et de se référer à des finalités humain
12
vons subir, ils demeurent incapables de fonder la
politique
de notre avenir prochain, soit parce qu’ils ne veulent pas choisir se
13
e est détenu à 80 % par les pays arabes, voilà la
politique
mondiale et l’existence même d’Israël, par exemple, subordonnées en f
14
ue aux ressources de pétrole, qui dépendent de la
politique
des Arabes, laquelle est déterminée par l’existence d’Israël, qui a é
15
éfinir par nos frontières, et qu’aucune frontière
politique
ou économique n’a jamais arrêté ni tempête, ni virus, ni pollution de
16
s sérieux ? Attention, j’ai dit cela dans un sens
politique
uniquement. Parce que l’on ne peut pas faire une région sur une seule
17
ent totalement impuissant sur tous les mécanismes
politiques
, économiques, militaires, techniques, et à tous les degrés de sa vie.
18
nir notre affaire. Alors, cela c’est la situation
politique
la plus grave que la civilisation puisse affronter, car cela mène à l
19
faire pression sur eux et finalement diriger leur
politique
. Ou bien, si la politique d’un État à un moment donné paraît contrair
20
finalement diriger leur politique. Ou bien, si la
politique
d’un État à un moment donné paraît contraire à leurs intérêts, [elles
21
les produits annexes n’a aucune espèce d’intérêt
politique
dans les pays où elle opère ; elle s’intègre à la coutume agricole, e
22
est pas une mesure humaine qui puisse diriger une
politique
, il faut absolument abandonner ça, et nous nous apercevons très vite
23
ne minorité de Genevois. Chose étrange, les mœurs
politiques
sont restées les mêmes à Genève à travers les siècles. La composition
24
es de l’architecture expriment certaines réalités
politiques
et sociales et en interdisent d’autres. Si l’on prenait la ville comm
25
s l’architecture d’une ville, quel est le système
politique
qu’elle représente. Dans le développement de quel système politique
26
eprésente. Dans le développement de quel système
politique
voyez-vous ? Eh bien c’est la caserne, comme tout le monde l’a dit, e
27
éro. Cela ne correspond peut-être pas à un régime
politique
déterminé. Cela correspond à une manière de juger la vie où l’homme e
28
s domaines, elle doit surtout s’exercer au niveau
politique
, au niveau de l’administration de la commune. J’appelle « politique »
29
au de l’administration de la commune. J’appelle «
politique
» l’aménagement des rapports humains, dans une communauté donnée, l’é
30
re entre la hiérarchie des besoins… c’est cela la
politique
véritable, ce n’est pas de savoir si l’on est de gauche ou de droite.
31
de savoir si l’on est de gauche ou de droite. La
politique
qui doit être à la base de la région, doit être la politique d’autoge
32
ui doit être à la base de la région, doit être la
politique
d’autogestion de la commune — ce qui n’existe pas non plus (pas de re
33
uelles bases d’unité culturelle édifier son union
politique
? La deuxième table ronde, que nous inaugurons, se demande plutôt : o
34
u’elle devait entraîner nécessairement des effets
politiques
(mais c’est l’inverse qui s’est produit). Celle d’aujourd’hui veut af
35
la carence totale de réalisations de notre union
politique
. Or, la cause de cette carence est en interaction précise avec les ca
36
sance illimitée. La crise mondiale, et la carence
politique
des Européens s’originent l’une et l’autre dans nos attitudes devant
37
éens qui ont sans doute orienté l’action d’hommes
politiques
tels que De Gasperi, Robert Schuman, Paul-Henri Spaak, pour ne citer
38
rope a fait un acte qui mérite d’être qualifié de
politique
, au sens du terme le plus éminent, le plus large et aussi le plus pré
39
en de moins, dans cette affaire, que de fonder la
politique
européenne, et de la fonder, comme il se doit, beaucoup moins sur les
40
re de notre crise : l’équivalent moral, social et
politique
du célèbre Rapport sur Les Limites à la croissance (matérielle) reste
41
hématiques. Et c’est aussi, au plan de la théorie
politique
, le modèle du fédéralisme, c’est-à-dire de la coexistence en perpétue
42
oyons maintenant se constituer les éléments d’une
politique
communautaire. Morale et politique, soulignons-le, qui se déduisent i
43
éléments d’une politique communautaire. Morale et
politique
, soulignons-le, qui se déduisent immédiatement de la structure bipola
44
responsabilité. Or, il se trouve que toute vraie
politique
de la personne appelle la création de petites communautés qui, pour d
45
ndra seule possible cette union. Tout le problème
politique
, social, culturel, économique, écologique de l’Europe — et de l’Occid
46
uvre d’art ? En termes d’organisation pratique et
politique
, cela signifie : créer des régions et les fédérer, avec tout ce que c
47
andre Marc fut pour moi l’initiateur à la réalité
politique
. (Avant cela, mes options politiques s’étaient bornées à d’acerbes di
48
à la réalité politique. (Avant cela, mes options
politiques
s’étaient bornées à d’acerbes discussions avec les maurrassiens de Su
49
ues. Au demeurant, des mieux armé pour les luttes
politiques
et intellectuelles où notre génération se voyait jetée. Formé par l’U
50
cussions religieuses et une section de recherches
politiques
. Je n’ai souvenir que de la première. Nous étions une trentaine dans
51
un article de L’ON cette phrase de moi : « Une
politique
à hauteur d’homme », et en 1948 paraît son livre intitulé À hauteur d
52
constate que la plupart des thèmes juridiques et
politiques
de la pensée personnaliste ont été proposés, formulés et souvent déve
53
oque). Il n’est pas « la Société », ni « la forme
politique
que tend à revêtit toute nation civilisée » (Esmein). Il n’est pas la
54
pas fait à l’échelle de ces immenses conglomérats
politiques
que l’on essaie de lui faire prendre pour « sa patrie » : ils sont be
55
lieu, et par le fédéralisme intégral, expression
politique
de « l’élan des personnes considérées comme supérieures à tout ». On
56
rine détient probablement l’avenir de l’Occident,
politique
et social. 5 mai 1941 J’étais allé passer le week-end à Long Island,
57
rire des textes d’information et des commentaires
politiques
destinés à la France, diffusés par ondes courtes et retransmis de Lon
58
spectables. Elle consiste à juger d’une situation
politique
ou économique en termes de morale courante, j’entends de modestie ou
59
ise ou d’orgueil. Or il s’agit ici de choisir une
politique
, il s’agit donc de rigueur : penser juste devient plus important que
60
e déduirai maintenant deux séries de conséquences
politiques
. A) Nous avons à réformer de toute urgence, en Suisse, nos conceptio
61
onaux qui ne tiennent aucun compte des frontières
politiques
. Il en va de même pour les réalités écologiques : la pollution indust
62
européen. Enfin, pour assurer la cohérence d’une
politique
européenne, l’établissement des priorités qui l’expriment et la juste
63
étences sectorielles subordonnées à la compétence
politique
, qui s’exprime dans la collégialité. Je demeure convaincu que l’expér
64
ner eux-mêmes. C’est là le but dernier du progrès
politique
et sa mesure la moins trompeuse. 10. Richard Feller, Rektoratsrede,
65
en aux dimensions territoriales ni à la puissance
politique
des grands États-nations modernes. En revanche la langue, qui est l’â
66
e de toute culture, ne connaît pas les frontières
politiques
nées du hasard des guerres et des traités : la langue française moins
67
ilà qui fait sentir à quel point la culture et la
politique
des États vivent dans des mondes sans commune mesure. Mais si la poli
68
t dans des mondes sans commune mesure. Mais si la
politique
, l’économie, les langues n’ont de toute évidence aucune frontière com
69
Mais ces gens représentaient peut-être un danger
politique
pour Staline. Ils connaissaient les rouages de l’État. Ils avaient ap
70
crivains emprisonnés ne représentent aucun danger
politique
. Ils représentent un danger différent : celui de changer les mœurs pa
71
ur la simple raison que la langue, les frontières
politiques
et l’économie ont des rythmes de fluctuation non comparables : d’ordr
72
ocrates, des grands marchés, des grands ensembles
politiques
en formation, est-ce que nos libertés, et la Suisse elle-même, en tan
73
ts hongrois sur l’attitude du croyant dans la vie
politique
, a cette réponse courageuse mais en même temps révélatrice de la mani
74
agesse. Ce sont, par nature, des pharisiens de la
politique
, qui remercient Dieu de ce qu’ils ne sont pas comme les autres. Le Su
75
extrême, et par suite, aucun parti extrémiste. La
politique
suisse vit de compromis. Le Suisse est un bourgeois qui place au prem
76
t une vertu, mais pas en soi. Elle est une mesure
politique
— expédient rendu nécessaire par l’absence de pouvoir unifié dans les
77
toutes ses dimensions non seulement morales mais
politiques
, et non seulement économiques mais spirituelles. Fédéralisme, seul ré
78
lques émirs de droit divin, avec des conséquences
politiques
qui relèvent du carambolage non calculé et peuvent à tout instant dev
79
le conseiller fédéral Max Petitpierre définit la
politique
suisse dès 1946 : Neutralité et solidarité. Où l’on voit bien que la
80
d’adhérer à l’ONU, alors simple instrument de la
politique
des puissances victorieuses, en attendant de devenir le champ clos de
81
n’est plus par les dimensions, mais par le régime
politique
, c’est-à-dire par le fédéralisme, dont le corollaire est la neutralit
82
e part, et selon la taille des groupes sociaux et
politiques
qui peuvent s’en charger, d’autre part. À la commune, les chemins vic
83
ime traditionnel résultent certaines conséquences
politiques
des plus nouvelles et virtuellement novatrices, quant aux relations e
84
siècle l’article principal du catéchisme de notre
politique
étrangère. Dans les années 1960 déjà, et dans la présente décennie bi
85
er neutre entre le microbe et le malade. Toute la
politique
étrangère — et d’abord européenne — de la Suisse, de 1945 à 1975, s’e
86
. Mais cela ne saurait la dispenser de choisir sa
politique
mondiale, et ce choix se pose entre la solidarité et l’égoïsme. Un ég
87
n des peuples de l’Europe ; parce que cette union
politique
serait seule capable de faire face aux problèmes qui se posent à l’éc
88
it-elle pas de perdre son originalité, sa formule
politique
spécifique, et sans nul doute, les bénéfices moraux de sa neutralité
89
nne encore trop souvent en fonction de catégories
politiques
sclérosées, comme celles de la gauche et de la droite. Or, je trouve
90
ion d’attitude, de mentalité, et non pas de choix
politique
traditionnel, parce que cela correspond à des réalités du xxe siècle
91
ouve, chez les partisans de l’autogestion au sens
politique
, juridique et administratif — et non limité au cadre de l’entreprise,
92
s ne sont plus objets d’adoration. Elles ont leur
politique
, leur stratégie subtile. « Les femmes de ce temps n’aiment pas avec l
93
de cap (novembre 1976)v Ce que l’on appelle «
politique
» n’est en général qu’une tactique partisane, mais ce qui m’intéresse
94
ui, loin d’être marginale par rapport à son œuvre
politique
, pourrait bien en être la source. Personnellement, je vois la preuve
95
e Bernhard des Pays-Bas. Dans quel esprit l’homme
politique
de premier plan qu’était devenu Robert Schuman jugeait-il la fonction
96
avant d’être une alliance militaire ou une entité
politique
, doit être une communauté culturelle. Et dans ce même chapitre, je s
97
n’aidera pas à résoudre les problèmes de l’union
politique
de nos peuples, mais elle atteste mieux que la science — autre produi
98
s domaines les plus variés de notre existence, le
politique
et l’institutionnel, l’économique et l’artistique, nous retrouverons
99
e aux gouvernements — pour les parties proprement
politiques
de mon enseignement, cours et travaux de séminaires, tout ce qui touc
100
tesquieu, Locke et Rousseau, ou l’idée de liberté
politique
; Bach et Mozart, les deux Faust, Kepler et Galilée, Bacon, Descartes
101
ulement en histoire, mais en économie, en science
politique
, en anthropologie philosophique, sur les problèmes de l’Europe, est-c
102
l’économie libérale ou marxiste, ou de la science
politique
en soi, soit à mille lieues de soupçonner le caractère spécifiquement
103
ent à des considérations d’utilité, d’opportunité
politique
, au sens large du mot, bien entendu. Que faites-vous du savoir désint
104
l’exerce « librement ». Mais le choix proprement
politique
au sens le plus large du mot, est le choix d’une finalité. Il désigne
105
lations humaines dans la communauté (polis, donne
politique
, civitas donne civisme), d’autre part l’art de piloter, c’est-à-dire
106
s après une libre discussion. Le choix proprement
politique
n’exclut pas telle partie du réel, mais déclare une priorité, une fin
107
rtance virtuelle, non seulement quantitative mais
politique
, non seulement mesurées en gigawatts mais en conséquences pratiques a
108
la société et de l’État. Ce sont les implications
politiques
de ce qu’il nomme « le Choix du siècle » que l’auteur de L’Avenir es
109
la Suisse fédérale, en 1848 (phénomène proprement
politique
) qui a créé la Suisse romande, bien plutôt que la géographie (point d
110
des siècles), ou encore que l’analogie de régime
politique
(une Principauté héréditaire, une principauté épiscopale31, un pays s
111
se confédérale, donc en fonction d’un libre choix
politique
, d’un choix d’avenir. Elle va constituer en quelques décennies son id
112
sance à un complexe de philosophie et de doctrine
politique
qu’illustreront au cœur même de l’Europe, successivement, Jean-Jacque
113
tion sur la TVA. « L’esprit romand » implique une
politique
, je veux dire une certaine approche des problèmes de la cité. Il impl
114
e but général de la civilisation et de la société
politique
n’est pas la puissance des collectivités, mais la liberté des personn
115
milité en ce sens. Il se trouve que des manœuvres
politiques
ont empêché ce vaste mouvement d’aboutir. Ce fut un rendez-vous manqu
116
de l’Europe, ce fut pour des raisons strictement
politiques
ou culturelles. On a alors pu constater combien celles-ci étaient eff
117
l’Europe, ils invoqueraient, d’abord, des raisons
politiques
et culturelles. À partir de là, l’intendance suivrait… L’économie, c’
118
celle-ci ne pourrait voir le jour que si l’Europe
politique
devenait une réalité. J’étais ravi. Or, peu de temps après, Sartre de
119
it. Au fond, vous ne cessiez pas de jouer avec la
politique
sans jamais choisir votre camp. C’était une position délicate, inconf
120
ie de vous engager plus directement dans l’action
politique
? Étant suisse, je ne pouvais pas prétendre à une carrière politique
121
uisse, je ne pouvais pas prétendre à une carrière
politique
en France. De plus, j’ai toujours eu horreur des partis. Ce qui ne m’
122
où l’ambiguïté fondamentale de votre rapport à la
politique
… Pourquoi parler d’ambiguïté ? Fidèle à mes premières intuitions, je
123
, et de toute mon énergie, à la possibilité d’une
politique
de la personne et de l’individu qui sont les seuls pôles de résistanc
124
re que l’État-nation accomplit dans l’ordre de la
politique
des ravages comparables à ceux de la passion dans l’ordre de l’amour.
125
dont il faudra bien un jour s’aviser : le pouvoir
politique
n’existe plus, le pouvoir n’est pas à prendre, comme le croient les r
126
endre leurs désirs pour nos fatalités ». La vraie
politique
de l’énergie n’est pas celle qui se calculera en fonction du produit
127
blèmes ne sont pas du tout abordés par les hommes
politiques
. Regardez la France : les positions de la droite et de la gauche en m
128
litaires un dérivatif aux tensions intérieures…
Politique
de la personne (1934), Penser avec les mains (1936), Lettre ouver
129
e communauté véritable conduirait à des désastres
politiques
. Nous avons pris le parti de l’homme, multiple et libre, face aux « s
130
d’eux-mêmes les réalités sociales, culturelles et
politiques
, d’où résulteraient tôt ou tard de grands événements. Hitler et l’
131
me pour les ressources naturelles ? Et les hommes
politiques
le savent bien qui l’avouent en privé et qui, en public, prêchent la
132
système de Rougemont est fondé sur l’autogestion
politique
à partir des régions, nécessaires pour l’aménagement du territoire et
133
e — dérivée de l’agora et du forum, a été le lieu
politique
par excellence — le sénat et le parlement n’étaient que délégations d
134
opéenne des fédéralistes ; Un ensemble de projets
politiques
plus ou moins pragmatiques, dont Churchill sera le porte-parole le pl
135
s revenir. Mais on imagine bien que les positions
politiques
, sociales et économiques, définies à Montreux, et qui marquent une ét
136
atholiques) et trois groupements de personnalités
politiques
ou économiques, auxquels vint s’ajouter le mouvement paneuropéen de C
137
t au long des débats dans les trois commissions —
politique
, économique, culturelle — et durant les séances plénières tenues dans
138
européen, ou de ses organisations membres, hommes
politiques
et intellectuels, hauts fonctionnaires et députés de seize parlements
139
créateurs sur les domaines que les souverainetés
politiques
stato-nationales et les compétences économiques de l’OECE lui ménagea
140
unissait à Bruxelles, en février 1949, un congrès
politique
qui ne marqua pas de grands progrès sur La Haye, mais lui valut l’adh
141
ux mis en place et honnêtement pratiqués, l’union
politique
de l’Europe. Le choc produit sur l’opinion par les images de trains e
142
conomie d’abord, sur un plan supranational, et la
politique
suivra. L’efficacité de la méthode apparut très vite évidente, et d’a
143
nseil de l’Europe, dont les capacités de décision
politiques
autant qu’économiques étaient sinon nulles, du moins annulables en to
144
sidait dans l’hypothèse de base selon laquelle le
politique
suivrait l’économique, comme les superstructures reflètent l’infrastr
145
raînerait nécessairement l’avènement d’un pouvoir
politique
, en vertu de la méthode qui veut que « la création d’une situation dé
146
t l’objectif de leur action dans le domaine de la
politique
économique ». Les négociations vont bon train — Bruxelles, La Haye, P
147
inq ans après la formation de la CECA nul progrès
politique
n’ait été accompli, paraît de nature à confirmer le diagnostic des fé
148
nté dans l’art de la tactique et de l’opportunité
politique
. Jusqu’à la guerre de 1939, constamment réélu à la Chambre, il s’y c
149
c’est le parti qui affirme le plus clairement une
politique
extérieure certes « résolument française » mais opposée aux prétentio
150
’un des premiers à proposer, à la Libération, une
politique
de réconciliation franco-allemande dont même la démence hitlérienne n
151
sont les étapes d’une brillante carrière d’homme
politique
français, mais vingt autres l’auront aussi bien parcourue sans avoir
152
tienne = Région / Fédération continentale Car la
politique
qu’exprime le second membre ne résulte nullement de l’évaluation plus
153
re » et en engageant sur lui le sort de sa propre
politique
européenne, Robert Schuman a transformé un texte en acte et une épure
154
iner quatre ou cinq cas célèbres de coopération «
politique
» plus ou moins comparables dans leurs différences et dans leurs ress
155
preuve expérimentale, le problème de la paternité
politique
de ce qui allait devenir l’Europe des Six, puis des Neuf, en attendan
156
transférée à Amsterdam. Dans quel esprit l’homme
politique
de premier plan qu’était devenu Robert Schuman jugeait-il la fonction
157
avant d’être une alliance militaire ou une entité
politique
, doit être une Communauté culturelle. Et dans ce même chapitre, je s
158
olice à la nation dans tous ses ordres, mythique,
politique
, quotidien, triomphaient en Russie soviétique, en Italie fasciste, en
159
ntériorité mystique mais non l’éthique sociale ou
politique
, le catholicisme tridentin (comme aujourd’hui le communisme « orthodo
160
uteur le pensait ainsi — des leçons de modération
politique
, leçon dont un des éléments importants était la notion de limite deve
161
omme, Jeanne Hersch a fait un peu comme cet homme
politique
français qui, quand on lui demandait, un jour : « Que faites-vous dev
162
marquer beaucoup plus fermement les conséquences
politiques
de ces vues justes. À un État-nation centralisé, né de la guerre, pré