1 nt, ils s’y préparent. Ce qui domine en fait leur politique , c’est la vision de la guerre, non pas celle de la paix. Ils agissent

2 plan d’une trilogie sur les trois grands régimes politiques de ce siècle. Je vais les caractériser par leurs armes ou leurs métho

3 e prétexte cousu de fil blanc ou de fil rouge aux politiques les plus contradictoires, et parfois les plus tyranniques. Moi. — Je

4 de l’esclavage d’une mode à celui d’une tactique politique . Ce n’est pas du tout devenir esclave d’une doctrine, mais au contrai

5 lle se met « au service » d’une doctrine de lutte politique . Faire la révolution, cela demande un effort un peu plus grand, et d’

6 pour un temps dans les voies de « l’engagement » politique , et faisant amende honorable. Ils étaient en rupture de bercail. Main

7 ux — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique  ! 2. Je fais exception pour deux ou trois d’entre eux, tels que Bern

8 u chapeau suivant : « La notion de l’“engagement” politique connaît depuis quelques mois une extrême faveur dans les milieux inte

9 lut. Sans doute, cette initiative ne saurait être politique  : la France n’est plus à la taille de ces géants qui s’affrontent. El

10 lement elle ne l’a pas davantage que l’initiative politique , il faut ajouter aussitôt que personne ne l’a reprise à sa place. Cet

11 ssociés à nos destinées, la plus grande formation politique et le plus vaste ensemble économique de notre temps. Jamais l’histoir

12 ion, ainsi que le libre exercice d’une opposition politique . 3° Nous voulons une Cour de justice capable d’appliquer les sanction

13 ue j’ai plus d’une raison de nommer le daltonisme politique . Messieurs les députés, n’oubliez pas la Suisse : elle existe en dépi

14 une pour les chômeurs. Et ce n’est pas une secte politique , une doctrine partisane ou une autre, qui résoudra le problème du chô