1 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
1 e, et d’autre part, il se trouve que sa tradition politique est la plus proche du personnalisme. C’est donc à propos de la Suisse
2 peuple avec ce qui doit le faire mourir. C’est la politique de Gribouille : pour éviter la pluie, on se jette à l’eau. Autre dan
3 « La discipline militaire implique la discipline politique  ». Qu’est-ce que cela signifie pratiquement ? Cela signifie que pour
4 seront contraintes d’adopter peu à peu un régime politique qui les transformera automatiquement en puissances totalitaires. Avec
5 is religions nouvelles, qui sous divers prétextes politiques , apparemment contradictoires, ont pour but véritable — et souvent inc
2 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
6 Ou résultat d’une combinaison particulièrement «  politique  » dont l’ermite eût donné l’idée ? Il me paraît probable que l’autori
7 s bergers. Puis en 1524, il rappelle les conseils politiques de l’ermite, ses mises en garde répétées contre le service mercenaire
8 s protestants au cours des disputes concernant la politique et le régime des pensions. — Vous autres réformés, dit en substance l
9 ls de Nicolas, qui se trouvent condamner toute la politique des cantons catholiques. On sait d’autre part que l’archiduc Ferdinan
10 e Claus y est mise en valeur, tandis que son rôle politique n’est même pas mentionné. (Cela gênait l’Église, remarque Dürrer.) Il
11 valeur de symbole, et non seulement pour l’ordre politique , mais aussi sur le plan religieux. Nicolas pauvre et se privant de pa
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
12 e dont je vais vous parler n’est pas une bataille politique . Les adversaires ne sont nullement les actuels belligérants, et il n’
13 à l’agonie. Mais en même temps, la vie sociale et politique devient pratiquement impossible. Les masses le sentent aussi bien que
14 est la seule règle de toute activité, culturelle, politique , ou même religieuse. » C’était un coup de génie, si le génie consiste
15 publicité des grandes firmes et des grands partis politiques . À ce moment se produit fatalement ce que j’appellerai un sentiment d
16 rmulés dès maintenant comme un programme de parti politique . Ils doivent mûrir, et lentement se dégager de l’ensemble de mille ef
17 oici conduit, comme malgré moi, à des conclusions politiques — oserais-je dire patriotiques ? — ou plutôt à des conclusions qui pa
18 nous avons à défendre : la réalité fédéraliste en politique et dans tous les domaines de la culture, le seul avenir possible de l
4 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
19 le Gothard est le grand symbole de notre mission politique et de notre sécurité. Et s’il fallait qu’un jour la Suisse fût envahi
20 s une Église patriotique ou une puissance d’ordre politique . 2° Le service que l’État suisse doit en retour, à l’Église, c’est de
21 otre prédication chrétienne abandonne aux tribuns politiques le privilège de savoir parler à la foule, de savoir la toucher par de
22 ait pas le droit d’aborder l’actualité sociale ou politique . Pour être missionnaire, l’Église doit d’abord être convaincue de la
23 enseignement ? Pourquoi ne parlerait-elle pas de politique , si elle le fait sur la seule base de la Bible ? On ne lui demande pa
5 1941, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Autocritique de la Suisse (février 1941)
24 langage ! — Puisque le fédéralisme est une forme politique qui suppose l’équilibre vivant entre les droits de chaque région et s
25 tres, est à la base de la plupart de nos conflits politiques , économiques, parlementaires. f. « Autocritique de la Suisse », Les
6 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
26 er, pour l’orienter, un seul principe de jugement politique . Le voici : Tant que la neutralité de la Suisse se révèle utile à l’E
7 1951, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Réplique à M. Lasserre (mars-avril 1951)
27 intérêt soit seul en cause dans le jeu des forces politiques de notre temps ! Où donc ai-je soutenu « sans réserve » que la Suisse
28 ns réserve » que la Suisse devrait subordonner sa politique à « l’intérêt des principaux États de l’Europe » ? J’ai dit seulement
8 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
29 rocessus d’adaptation, d’ajustement social, voire politique , selon les pays. Recettes, régimes, remèdes, relaxation, action sur l