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e, et d’autre part, il se trouve que sa tradition
politique
est la plus proche du personnalisme. C’est donc à propos de la Suisse
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peuple avec ce qui doit le faire mourir. C’est la
politique
de Gribouille : pour éviter la pluie, on se jette à l’eau. Autre dan
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« La discipline militaire implique la discipline
politique
». Qu’est-ce que cela signifie pratiquement ? Cela signifie que pour
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seront contraintes d’adopter peu à peu un régime
politique
qui les transformera automatiquement en puissances totalitaires. Avec
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is religions nouvelles, qui sous divers prétextes
politiques
, apparemment contradictoires, ont pour but véritable — et souvent inc
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Ou résultat d’une combinaison particulièrement «
politique
» dont l’ermite eût donné l’idée ? Il me paraît probable que l’autori
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s bergers. Puis en 1524, il rappelle les conseils
politiques
de l’ermite, ses mises en garde répétées contre le service mercenaire
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s protestants au cours des disputes concernant la
politique
et le régime des pensions. — Vous autres réformés, dit en substance l
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ls de Nicolas, qui se trouvent condamner toute la
politique
des cantons catholiques. On sait d’autre part que l’archiduc Ferdinan
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e Claus y est mise en valeur, tandis que son rôle
politique
n’est même pas mentionné. (Cela gênait l’Église, remarque Dürrer.) Il
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valeur de symbole, et non seulement pour l’ordre
politique
, mais aussi sur le plan religieux. Nicolas pauvre et se privant de pa
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e dont je vais vous parler n’est pas une bataille
politique
. Les adversaires ne sont nullement les actuels belligérants, et il n’
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à l’agonie. Mais en même temps, la vie sociale et
politique
devient pratiquement impossible. Les masses le sentent aussi bien que
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est la seule règle de toute activité, culturelle,
politique
, ou même religieuse. » C’était un coup de génie, si le génie consiste
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publicité des grandes firmes et des grands partis
politiques
. À ce moment se produit fatalement ce que j’appellerai un sentiment d
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rmulés dès maintenant comme un programme de parti
politique
. Ils doivent mûrir, et lentement se dégager de l’ensemble de mille ef
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oici conduit, comme malgré moi, à des conclusions
politiques
— oserais-je dire patriotiques ? — ou plutôt à des conclusions qui pa
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nous avons à défendre : la réalité fédéraliste en
politique
et dans tous les domaines de la culture, le seul avenir possible de l
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le Gothard est le grand symbole de notre mission
politique
et de notre sécurité. Et s’il fallait qu’un jour la Suisse fût envahi
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s une Église patriotique ou une puissance d’ordre
politique
. 2° Le service que l’État suisse doit en retour, à l’Église, c’est de
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otre prédication chrétienne abandonne aux tribuns
politiques
le privilège de savoir parler à la foule, de savoir la toucher par de
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ait pas le droit d’aborder l’actualité sociale ou
politique
. Pour être missionnaire, l’Église doit d’abord être convaincue de la
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enseignement ? Pourquoi ne parlerait-elle pas de
politique
, si elle le fait sur la seule base de la Bible ? On ne lui demande pa
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langage ! — Puisque le fédéralisme est une forme
politique
qui suppose l’équilibre vivant entre les droits de chaque région et s
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tres, est à la base de la plupart de nos conflits
politiques
, économiques, parlementaires. f. « Autocritique de la Suisse », Les
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er, pour l’orienter, un seul principe de jugement
politique
. Le voici : Tant que la neutralité de la Suisse se révèle utile à l’E
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intérêt soit seul en cause dans le jeu des forces
politiques
de notre temps ! Où donc ai-je soutenu « sans réserve » que la Suisse
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ns réserve » que la Suisse devrait subordonner sa
politique
à « l’intérêt des principaux États de l’Europe » ? J’ai dit seulement
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rocessus d’adaptation, d’ajustement social, voire
politique
, selon les pays. Recettes, régimes, remèdes, relaxation, action sur l