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Marne, la mesure de ce qu’on pourrait appeler la
politique
des « laquais de forges ». On nous entendra. Six grandes pages de des
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rsonnalisme de l’éthique bourgeoise. 3° Les actes
politiques
déduits par accident des principes fondamentaux du régime sont en con
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devenues les officines d’un conformisme social et
politique
plus scandaleux encore que celui des églises catholiques, puisque il
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iste (Vitus Heller) nombreux sont les groupements
politiques
, résolus à la rupture, qui se réclament hautement de leur foi. Les él
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re », on est surpris de trouver dans le quotidien
politique
de combat ou dans les revues berlinoises les plus « avancées » des pr
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ésintéressement radical à l’endroit des problèmes
politiques
et sociaux. La parution coup sur coup, de trois livres importants de
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, de Brunner et de de Quervain sur la « théologie
politique
» fait justice de ce reproche et démontre une fois de plus que le par
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démontre une fois de plus que le paradoxe de la «
politique
du pessimisme actif » inspirera toujours les constructions les plus v
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riedrich Gogarten en particulier dans son Éthique
politique
pose tous les problèmes de l’heure avec une lucidité et un courage in
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ctuel qu’on rencontre rarement chez les écrivains
politiques
. Si certaines de ses conclusions sont nettement étatistes, il n’en re
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uère d’écho à l’effort critique de la « théologie
politique
» allemande que dans le mince bulletin du groupe Hic et Nunc , et da
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a rupture que nous voulons n’aura de conséquences
politiques
que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa d
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dans tout programme prétendu chrétien, dans toute
politique
humaine organisée — fût-ce à la gloire de Dieu ! — qui poursuivrait s
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alité ils rendaient à César. Entraînée dans cette
politique
, la théologie se fait servante de la chose publique. Et que voit-on d
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contre une force de même ordre. Assez de cette «
politique
chrétienne » où l’on embarque une prétendue foi dans les plus discuta
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je ne puis engager que moi-même, hic et nunc. La
politique
est affaire de systèmes ; mais l’ordre, pour le chrétien, sera toujou
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ait qu’elles sont de peu de poids dans la balance
politique
. Tout ce qui n’est pas déjà au service des hommes, est déjà au servic
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l, et non point au sens dévié de l’individualisme
politique
. « Dernière heure de l’État, première heure des hommes. » Nous dirons
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ous savez, tout y est, c’est attrapé, le curé, la
politique
et tout15 !… » Les éditeurs s’efforcent de répondre à la demande du p
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poraine de celle de l’homme abstrait dans l’ordre
politique
. Et l’extension de cette science mesure assez exactement l’ampleur de
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été au sens des sociologues. Il joue, sur le plan
politique
, le rôle que jouait l’atome aux yeux des physiciens du dernier siècle
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s yeux la règle d’or de toute doctrine sociale et
politique
. Est-ce à dire que le bien de tous doive être mis au service du bien
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en si elle n’est pas un acte de miséricorde. 18.
Politique
: l’État est l’expression fatale de notre double erreur matérialiste-
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finances prennent la parole au cours d’un banquet
politique
pour célébrer les droits de l’esprit. En effet, l’esprit dont ils par
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s. Que les clercs refusent d’épouser les passions
politiques
ou sociales qui selon eux mènent le monde à sa perte ; qu’ils refusen
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é ; vu le chômage des intellectuels et ses suites
politiques
inévitables et prochaines ; vu la panique nationaliste dont la cultur
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de l’avenir sera le triomphe de la morale sur la
politique
» (L’Avenir de la Science). L’évolution de Renan symbolise celle de n
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» allemand, et fonder sur cette condamnation une
politique
européenne, c’est à peu près aussi intelligent que de se déclarer l’a
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e. Et que ça n’a pas le moindre rapport avec la «
politique
» au sens habituel ; mais les plus grands rapports avec la religion a
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de haine : il s’agit d’amour. Il ne s’agit pas de
politique
, mais de religion, mais de cérémonies monumentales et sacrales en l’h
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es masses comme la force impulsive de l’évolution
politique
; on reconnut alors peu à peu que la révolution est au fond l’œuvre d
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commune de la vie, dont l’activité économique et
politique
ne constitue qu’une partie tout comme la production scientifique et a
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un art, mais une forme assez basse de propagande
politique
, et de publicité industrielle. La seule littérature digne du nom qu’a
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littératures bourgeoises, au hasard des tendances
politiques
affichées par leurs grands auteurs. C’était réintroduire l’anarchie c
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ritique générale, indépendamment de tout jugement
politique
, est aussi celui qui nous intéresse ici directement : les dictatures
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ouée aux seuls intérêts de l’État. (Des « soldats
politiques
» comme on dit en Allemagne.) Leur opinion publique est dictée par l’
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u réel, actif, nécessaire et relié. Tout jugement
politique
ou idéologique sur les réponses qu’ils ont tenté de donner — classe o
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gère, elles se réduisent à des poussées de fièvre
politique
ou idéologique. Mais si ces religions nouvelles ne constituent pas un
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forces, crise et destins qui sont tout à la fois
politiques
et culturels. L’Europe des religions nouvelles nous met au défi de ré
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plication. (Beau chapitre, tout de même, sur la «
politique
de clocher », où l’auteur s’efforce de sauver les restes d’un fédéral
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question de régime ? Est-ce d’abord une question
politique
? Culture à gauche, brutalité stupide à droite, — ou inversement ? Il
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aux. Alors ? Alors on voit que les rapports de la
politique
, de l’économie de la nation et de la culture sont un peu moins simple
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France : elles précèdent toujours des événements
politiques
et sociaux plus profonds que le jeu apparent et confus des partis ou
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s la culture d’avant-garde, avant de descendre au
politique
. La sensibilité de l’intelligence étant, à l’époque présente, et en F
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une prudence qui est le fondement même de toute «
politique
». Et si j’avoue et légitime la réalité de mes superstitions, il faut
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tre aussi les droits du général. Qu’est-ce que la
politique
, sinon le général en tant qu’il s’oppose au réel, lequel est fait de
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la société dans l’anarchie la plus sanglante. La
politique
ne doit jamais partir de la réalité irrationnelle de l’homme : d’aill
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à leur bien le plus précieux !) Au contraire, la
politique
doit aller à l’encontre de la réalité individuelle, et c’est pour ell
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lentendu en soutenant à plusieurs reprises que la
politique
idéale devrait partir de la personne. Elle doit tenir compte de la pe
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: pédagogique. Il est de l’essence de toute saine
politique
de s’opposer à la personne, de limiter son expansion, de combattre en
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e en définitive le réel que nous incarnons. Toute
politique
est normative, mais seulement de l’extérieur. Une politique saine ne
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est normative, mais seulement de l’extérieur. Une
politique
saine ne saurait donc partir de la personne, mais au contraire de l’i
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sciplines.) Ainsi le but final, le télos de toute
politique
, c’est la suppression de l’État, la libération des personnes au momen
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elle sort du domaine personnel et déborde dans la
politique
. On devine peut-être pourquoi. C’est qu’elle forme la composante prop
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e perversion, elle se met à jouer au profit de la
politique
et des doctrines d’État qui doivent justement la combattre, le désord
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e connaît pas le grand conférencier littéraire ou
politique
« en tournée ». ag. « Journal d’un intellectuel en chômage (fragment
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ue les anciens, les heureux, méprisaient l’action
politique
, — cultivaient la vérité désintéressée, — respectaient les principes
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dis que les jeunes, les malheureux, respectent la
politique
, ne veulent la vérité qu’au service de l’action, vénèrent la force, e
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prétentions de son auteur, purement polémique et
politique
. Ce sophisme consiste à enfermer les intellectuels dans le dilemme :
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e neutralité caractérise non seulement notre rôle
politique
en Europe, mais encore notre mentalité par rapport aux pays voisins.
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se permet de prendre parti, dans les questions de
politique
étrangère, ou de politique intérieure du voisin, avec d’autant plus d
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dans les questions de politique étrangère, ou de
politique
intérieure du voisin, avec d’autant plus de violence qu’elle y court
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fascismes étrangers alors qu’ils sont les formes
politiques
les plus violemment centralistes, les plus contraires à nos statuts !
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ez nous à l’école de la droite française et de sa
politique
particulière conditionnée par le nationalisme unitaire et antialleman
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is, les écrivains n’ont moins d’action sur la vie
politique
.) Il est clair, et on le dit assez pour que je n’aie pas à insister,
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r où il existera, l’on pourra dire que nos hommes
politiques
, si réellement représentatifs, dans ce pays, de l’opinion moyenne des
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, dans ce pays, d’un certain nombre de structures
politiques
et morales, et d’une tradition fédéraliste, qui se trouvent réaliser,
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listes. Nous n’avons donc pas à renverser l’ordre
politique
existant — comme c’est le cas en France par exemple — mais à donner o
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la tentation de copier nos voisins dans les mœurs
politiques
et dans la presse, tout cela menace et compromet non seulement nos ch
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non seulement nos chances à venir, mais les bases
politiques
et morales sur lesquelles nous pouvions compter, et la mission même d
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ons, et l’on avait par trop souffert de la grande
politique
des voisins. 82. Dans toutes les classes sociales, bien entendu ! a
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loppée par tous les moyens techniques, et bientôt
politiques
, en sorte que le choix d’un type de femme échappe de plus en plus au
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ps francs dans les pays baltes, les crimes dits «
politiques
» exécutés par des ligues de jeunes gens, certaines formes de naturis
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pourra de nouveau mimer des intrigues épiques ou
politiques
. Et l’aventure reprendra son départ dans une tension incalculablement
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pas à l’échelle démesurée de l’action des partis
politiques
. 9. L’action des groupes personnalistes, en tant que tels, ne saurait
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problème d’ajustement économique devient aussitôt
politique
, c’est-à-dire qu’il provoque des discours plus ou moins littéraires,
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vidange des responsabilités — et repart dans une
politique
nécessairement improvisée, puisqu’il a reçu ses pouvoirs au moment mê
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resse d’âme, d’appauvrissement de la vitalité. En
politique
, c’est le respect des complexités organiques qui peut seul ménager de
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ger sans les tuer, les diversités de tous ordres (
politiques
aussi bien qu’économiques) dans un corps, non dans un carcan. Ce qui
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dans un corps, non dans un carcan. Ce qui est la
politique
par excellence, n’en déplaise aux sectaires de tous bords. […] À l’ho
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urs la tyrannie. À l’homme considéré comme soldat
politique
, totalement engagé mais non libre, correspond le régime totalitaire.