1 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
1 urs prononcé à l’Académie des sciences morales et politiques , en 1914, a posé le problème en termes fort nets. (Cités par M. Bruns
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
2 aucune compensation : « l’art, la philosophie, la politique étant absents, faute d’emploi, il n’y avait aucune correction à faire
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
3 e les résultats considérables de l’œuvre sociale, politique et religieuse suscitée par Kagawa. Nous savions que ce pasteur d’une
4 moment où Kagawa débouche dans la vie publique et politique . Espérons qu’une biographie complète suivra cette « genèse » à vrai d
5 nte que celle qu’impose n’importe quelle attitude politique . Aux yeux d’un incroyant, ceci peut sembler vague. Mais le sens chrét
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
6 iques. Mais d’autre part certaines « célébrités » politiques ou intellectuelles plus récentes et discutables, dont nos apologètes
7 i sont souvent les plus éclatants. Car un système politique , une doctrine, une éthique, s’ils s’abandonnent de tout leur poids à
5 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
8 suite, ne comportent nulle allusion à la position politique de ce journal. Le titre : La Crise est dans l’homme 38, s’oppose d’em
9 rtout que M. Thierry Maulnier révèle ses origines politiques , et peut-être aussi sa jeunesse. Il critique des erreurs au nom d’une
10 t suffisamment justifiée. Pour le reste, c’est la politique , et dans un sens plus vaste, la religion, que cela regarde. M. Nizan
6 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
11 térature qui tient à la fois de l’histoire, de la politique , de la morale et de la religion. Des livres comme l’Essai sur la Fran
7 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
12 e inconciliables et contradictoires ! Sur le plan politique tout au moins, ils paraissent s’opposer avec une certaine violence, m
13 comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiques seraient sans force, les luttes sociales perdraient beaucoup de leur
14 pourrais encore vous montrer quelles conséquences politiques commande une telle attitude et quelles révolutions, enfin réelles, el
8 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
15 ré les trahisons du sort. Mais la guerre, mais la politique surtout, sont en train d’ébranler leur prestige. L’empire anglais se
16 n. L’Espagne est morte, et le spectacle de la vie politique en Amérique du Sud fait mesurer la déchéance d’une race qui n’a pas s
17 telle espérance, si l’on veut juger sainement la politique étrange de cette nation. Mais j’ai dit que cette œuvre pourrait s’int
9 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
18 trois rubriques : le philosophe, le moraliste, le politique . Je ne vois pas de meilleur moyen de donner aux lecteurs de Foi et V
10 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
19 de répondre avec force et autorité aux questions politiques de notre temps. Qu’il le pressente, qu’il ait au moins une sorte de c
20 efficacité des messages œcuméniques, dans le plan politique , provient sans doute du fait qu’ils sont des compromis, des accords m
21 été d’essayer de choisir prudemment une attitude politique plus ou moins juste d’une part, plus ou moins acceptable de l’autre.
22 ction. En d’autres termes, il faut que son action politique parte de lui-même, de ce qu’il a, de ce qu’il est, et de sa foi const
23 mesures désirables, mais au contraire sa position politique doit exprimer d’une façon nécessaire sa nature même. Ses déclarations
24 e. Résumons-nous : il ne s’agit pas d’adopter une politique accidentellement ou indirectement « chrétienne », mais il s’agit d’ac
25 nt « chrétienne », mais il s’agit d’actualiser la politique impliquée dès le début dans la volonté et l’espérance œcuménique. Le
26 nfinies de nos difficultés économiques, sociales, politiques et religieuses, ils se dégagent avec d’autant plus de simplicité qu’i
27 ils ont atteint un climat presque mortel. Conflit politique et économique entre l’État totalitaire et les droits de l’homme. Conf
28 ouvée en faisant une somme d’hérésies. Du conflit politique et économique, résultent pratiquement la guerre et la révolution. Du
29 tout d’abord, il faut se la représenter. La santé politique et économique s’appelle fédéralisme. La santé morale et civique s’app
30 osophie de la personne dont l’application est une politique du fédéralisme. 1. Théologie de l’œcuménisme Écartons d’abord le
31 e n’est plus qu’une fonction sociale, un « soldat politique  », dirait-on de nos jours. Et l’esprit périclite, faute de liberté. L
32 terme entre l’individu trop flottant et le soldat politique trop esclave. Elle est l’homme intégral, dont les deux autres ne sont
33 us reste à développer maintenant les implications politiques de cette théologie et de cette philosophie. 3. Politique du fédéra
34 de cette théologie et de cette philosophie. 3. Politique du fédéralisme Nous en avons assez dit pour qu’il soit désormais f
35 ut correspondre que l’organisation fédéraliste en politique . Quant à la philosophie de la personne, elle sera normalement celle d
36 ligieux, l’autre social, le troisième culturel ou politique , ou professionnel. Cette pluralité d’appartenances — qui trouverait s
37 ter l’œcuménisme, ce serait priver l’organisation politique de ses fondements spirituels. Mais accepter l’œcuménisme sans vouloir
38 nt souvent précédé et prédéterminé les structures politiques d’une nation. J’indiquerai trois groupes d’exemples de cette précéden
39 s été mis au-dessus des devoirs envers le Pouvoir politique . Lors donc que la foi s’est affaiblie dans ces pays, cette carence ne
40 s dans ces mêmes pays, cette fois-ci dans l’ordre politique et social. Les cadres traditionnels subsistent — royauté, hiérarchies
41 ions ecclésiastiques devait trouver sa traduction politique dans un fédéralisme plus ou moins accentué selon les nations : Conféd
42 dans un pays donné fournit une clé des processus politiques qui s’y manifesteront tôt ou tard ; 2° que l’action, que le mouvement
43 s religieux, préparera le terrain pour une action politique réaliste, c’est-à-dire tenant compte des données empiriques et des di
44 ait assez que les Internationales idéologiques et politiques se sont désintégrées au cours des deux dernières décades. (Les partis
45 l’œcuménisme, la philosophie de la personne et la politique du fédéralisme sont seules en mesure, aujourd’hui, de synthétiser les
46 unissant cet arrière-plan aux réalités morales et politiques (personnalisme). Point d’action constructive sans idéologie. Mais poi
11 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
47 s qu’elle a répandues, et peut élaborer un modèle politique qui soit tentant pour le tiers-monde. Quant à savoir si le tiers-mon
48 re temps. Et voilà bien pourquoi plusieurs hommes politiques , dont quatre ou cinq du premier rang, en Amérique du Nord comme en Eu
49 s par le club de Rome ? Et qu’ont fait les partis politiques  ? Ils sont encore « nationaux » avant tout, donc pas plus régionaux q
50 ovations attendues et des rénovations sociales et politiques proposées au long de ces pages, et qui vont des petites communautés à
51 ont fourni à la révolution régionaliste le levier politique qui avait fait défaut aux mouvements personnalistes des années 1930,
52 e j’annonçais dans ma jeunesse sous le titre de «  politique du pessimisme actif »76, prenant ma devise au Taciturne. Si l’on me s
53 Il y a quelques années, ayant écrit que l’action politique par excellence allait consister désormais à prendre des mesures conse
54 la ville », Preuves , Paris, n° 8, 1971. 76. Politique de la personne , Paris, 1934. y. « Pédagogie des catastrophes », Foi