1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
1 nt. Le cliché reste. Je vois bien quelles erreurs politiques l’on peut reprocher à Luther, avec 400 ans de recul. Je vois bien que
2 scisme italien. Peut-être aussi la mollesse de la politique franco-anglaise jusqu’à Munich, qui ménageait Hitler à titre de « rem
2 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
3 s autostrades américaines ne sont pas une réclame politique , ni même un expédient pour lutter contre le chômage. Elles sont le pr
3 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
4 t énormément d’avoir l’air impérialiste. Et cette politique pourrait avoir d’assez graves conséquences pour l’Europe…1 1. L’en
4 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
5 deux écrit pour la radio, hors de Suisse, sur la politique . Soit. Mais un avocat qui veut s’en tenir à la seule ressemblance des
5 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)
6 autour d’un livre ou d’un auteur, appuis sociaux, politiques ou financiers. Je ne sais trop s’il faut s’en plaindre. Tout cela se
6 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est encore un espoir (8 décembre 1949)
7 imprudente », la différence n’est pas de jugement politique , mais d’expérience humaine, et surtout de souffrance. Vous avez trop
8 u pessimisme actif. Un dernier mot sur les hommes politiques . Ils ont eu leur congrès ailleurs. À Lausanne, ce seront les savants,
7 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
9 orte en pleine actualité, et qu’elle entraîne une politique bien définie. ⁂ La première proposition n’entraîne pas de longs comme
10 e sont d’ailleurs pas dépourvus d’arrière-pensées politiques . ⁂ Même en admettant que l’unification économique puisse suffire à « 
11 ndes, et enfin qu’elle se subordonne à une grande politique commune, laquelle ne peut se développer qu’à l’échelle mondiale. Comm
12 L’union économique implique, par conséquent, une politique culturelle de grande envergure : éducation civique, démocratisation d
13 est dire que l’union économique appelle une union politique , qu’on ne peut souhaiter que fédérale. L’intégration totale et unifor
14 e ne saurait fournir les bases d’une organisation politique , mais seulement les moyens nécessaires d’une politique qu’il reste en
15 ique, mais seulement les moyens nécessaires d’une politique qu’il reste encore à définir et à réaliser. 3. Cette politique, appuy
16 il reste encore à définir et à réaliser. 3. Cette politique , appuyée sur une organisation fédérative de nos pays, aura pour missi
17 étuelle, la Suisse se trouve défendre en fait une politique très légitime, mais liée au passé du continent, aux rivalités nationa
8 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
18 ment peut-on faire cela, compte tenu des tensions politiques actuelles ? » « Comment la nécessité de l’action individuelle peut-el
19 s recourent aux maths pour évaluer les coalitions politiques , les luttes internes du régime soviétique, ou le pouvoir des dictateu
9 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’éloge, l’élan, l’amour, le monde ouvert à ceux qui s’ouvrent, cela existe… (2-3 février 1963)
20 sse romand ? Bénéficiant d’une structure sociale, politique et religieuse, exemplairement fédéraliste et pluraliste, qui lui perm
10 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
21 r les retourner contre l’Europe, de ses doctrines politiques et sociales, et de certaines de ses valeurs — en même temps se manife
22 lement celui de l’Université, mais celui de notre politique d’intégration européenne, dans sa forme fédéraliste, non unitaire, qu
23 eurs mesures sociales et la coordination de leurs politiques économiques. Ce qui nous manque encore, c’est une étude quasi ethnogr
11 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
24 libre ou professeur ; historien des grandes têtes politiques du passé, ou mêlé à l’histoire vivante comme dans le cyclone de Dantz
12 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
25 e ce qui doit nous opposer de front : nos options politiques , morales et religieuses. Et nous voici bientôt dans l’euphorie de la
13 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
26 ans humour), tantôt des personnages de l’histoire politique et littéraire d’un passé proche, nous font passer et repasser sans tr
14 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’écrivain et l’événement (7-8 septembre 1968)
27 elui qui s’en est remis une fois pour toutes à la politique d’un parti, quand il s’agit de prendre une position publique. L’engag
28 ou rapprocher à volonté. Nul événement social ou politique n’existe en soi sans qu’on l’ait exprimé, nommé, écrit, avant ou aprè
15 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Vers l’Europe des régions [Entretien]
29 condition sine qua non d’une union économique et politique . J’ai donc créé le Centre européen de la culture que je dirige depuis
30 de rapprochement n’ont abouti à rien sur le plan politique . Cette situation tient au fait que les États veulent garder leur souv
31 cles à toute union ! Notre espoir réside dans une politique des régions. Par exemple l’Italie est déjà divisée en dix régions par
32 s’agit de transposer sur les plans économique et politique les conséquences des options philosophiques et religieuses que l’on c
33 nt traités par d’éminents spécialistes en matière politique et culturelle. »
16 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
34 comment on peut traduire en termes de structures politiques cette unité de culture non unitaire et si hautement diversifiée, je r
35 rte un nom bien connu dans l’histoire des régimes politiques , c’est de toute évidence : fédéralisme.ah ag. « La cité européenne
17 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
36 vancé d’un centimètre en direction de notre union politique . Entre l’union de l’Europe et les États-nations sacralisés, entre une
37 ous, point de choix économiques ni même peut-être politiques longuement délibérés, concertés à long terme : il fallait se battre p
38 du PNB — cette tour de Babel du xxe siècle ! Une politique européenne de ce type, simple transposition de la formule d’État-nati
39 admettre la pluralité des allégeances, civiques, politiques , culturelles, idéologiques et religieuses, contre la prétention de l’
40 e ou liberté : ces deux finalités commandent deux politiques d’union, dont je crains bien qu’on ne puisse pas impunément continuer
41 ne manquera pas de m’objecter en ce point que la politique a toujours eu pour fin réelle la puissance ; et je crois bien que tou
42 a puissance comme seul but réaliste de la société politique  ; le reste — la justice, la paix, la liberté — étant manières de parl
43 ation des grandes tâches d’intérêt public, tâches politiques au sens originel du mot : l’économie, l’écologie et l’habitat, les tr
44 ’est un mot qu’il nous faut bannir du vocabulaire politique dans une Europe fédérale, au seuil de l’ère du monde uni. Voilà donc
45 qu’il pose une hiérarchie nouvelle des finalités politiques . Donner comme but de la Cité européenne la liberté non la puissance,
46 e relève pas de l’économie, et encore moins de la politique au sens étroit et partisan du terme. Elle exige la recréation de comm
47 je réponds que c’est au contraire la grande tâche politique de notre temps. Précisons : des vingt ans qui viennent. Car à ce prix
18 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une réflexion sur le mode de vie plutôt que sur le niveau de vie (2 juin 1970)
48 tout ailleurs, touristes, convalescents, réfugiés politiques attirés par nos paysages, notre air, nos libertés. Mais le problème a
49 oups sociologiques et hygiéniques, écologiques et politiques , si elle n’établit pas ses plans en conséquence et ne s’engage pas à
19 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
50 gue, de romantique et non d’opportuniste. L’homme politique opportuniste et joueur, toujours prêt à saisir ou à brusquer l’occasi
51 et à quoi il choisit de lier son sort. Un suicide politique , dirent les observateurs. Mais ici le personnage prend ses vraies dim
20 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une dimension nouvelle (11-12 septembre 1971)
52 et aux situations qu’aux systèmes, d’où son sens politique intuitif et ses vues parfois prophétiques : — Carl-J. Burckhardt ajou
21 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
53 de nouveaux subsides, ce n’est pas concevoir une politique , c’est administrer. Quand l’homme en place invoque les « réalités »,
22 1984, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Philosophie et énergie nucléaire : une mise au point (28 juin 1984)
54 . Cité par André Gorz-Michel Bosquet, Écologie et Politique , Éditions du Seuil, 1978. aq. « Philosophie et énergie nucléaire : u