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nt. Le cliché reste. Je vois bien quelles erreurs
politiques
l’on peut reprocher à Luther, avec 400 ans de recul. Je vois bien que
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scisme italien. Peut-être aussi la mollesse de la
politique
franco-anglaise jusqu’à Munich, qui ménageait Hitler à titre de « rem
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s autostrades américaines ne sont pas une réclame
politique
, ni même un expédient pour lutter contre le chômage. Elles sont le pr
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t énormément d’avoir l’air impérialiste. Et cette
politique
pourrait avoir d’assez graves conséquences pour l’Europe…1 1. L’en
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deux écrit pour la radio, hors de Suisse, sur la
politique
. Soit. Mais un avocat qui veut s’en tenir à la seule ressemblance des
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autour d’un livre ou d’un auteur, appuis sociaux,
politiques
ou financiers. Je ne sais trop s’il faut s’en plaindre. Tout cela se
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imprudente », la différence n’est pas de jugement
politique
, mais d’expérience humaine, et surtout de souffrance. Vous avez trop
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u pessimisme actif. Un dernier mot sur les hommes
politiques
. Ils ont eu leur congrès ailleurs. À Lausanne, ce seront les savants,
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orte en pleine actualité, et qu’elle entraîne une
politique
bien définie. ⁂ La première proposition n’entraîne pas de longs comme
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e sont d’ailleurs pas dépourvus d’arrière-pensées
politiques
. ⁂ Même en admettant que l’unification économique puisse suffire à «
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ndes, et enfin qu’elle se subordonne à une grande
politique
commune, laquelle ne peut se développer qu’à l’échelle mondiale. Comm
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L’union économique implique, par conséquent, une
politique
culturelle de grande envergure : éducation civique, démocratisation d
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est dire que l’union économique appelle une union
politique
, qu’on ne peut souhaiter que fédérale. L’intégration totale et unifor
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e ne saurait fournir les bases d’une organisation
politique
, mais seulement les moyens nécessaires d’une politique qu’il reste en
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ique, mais seulement les moyens nécessaires d’une
politique
qu’il reste encore à définir et à réaliser. 3. Cette politique, appuy
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il reste encore à définir et à réaliser. 3. Cette
politique
, appuyée sur une organisation fédérative de nos pays, aura pour missi
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étuelle, la Suisse se trouve défendre en fait une
politique
très légitime, mais liée au passé du continent, aux rivalités nationa
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ment peut-on faire cela, compte tenu des tensions
politiques
actuelles ? » « Comment la nécessité de l’action individuelle peut-el
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s recourent aux maths pour évaluer les coalitions
politiques
, les luttes internes du régime soviétique, ou le pouvoir des dictateu
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sse romand ? Bénéficiant d’une structure sociale,
politique
et religieuse, exemplairement fédéraliste et pluraliste, qui lui perm
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r les retourner contre l’Europe, de ses doctrines
politiques
et sociales, et de certaines de ses valeurs — en même temps se manife
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lement celui de l’Université, mais celui de notre
politique
d’intégration européenne, dans sa forme fédéraliste, non unitaire, qu
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eurs mesures sociales et la coordination de leurs
politiques
économiques. Ce qui nous manque encore, c’est une étude quasi ethnogr
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libre ou professeur ; historien des grandes têtes
politiques
du passé, ou mêlé à l’histoire vivante comme dans le cyclone de Dantz
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e ce qui doit nous opposer de front : nos options
politiques
, morales et religieuses. Et nous voici bientôt dans l’euphorie de la
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ans humour), tantôt des personnages de l’histoire
politique
et littéraire d’un passé proche, nous font passer et repasser sans tr
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elui qui s’en est remis une fois pour toutes à la
politique
d’un parti, quand il s’agit de prendre une position publique. L’engag
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ou rapprocher à volonté. Nul événement social ou
politique
n’existe en soi sans qu’on l’ait exprimé, nommé, écrit, avant ou aprè
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condition sine qua non d’une union économique et
politique
. J’ai donc créé le Centre européen de la culture que je dirige depuis
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de rapprochement n’ont abouti à rien sur le plan
politique
. Cette situation tient au fait que les États veulent garder leur souv
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cles à toute union ! Notre espoir réside dans une
politique
des régions. Par exemple l’Italie est déjà divisée en dix régions par
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s’agit de transposer sur les plans économique et
politique
les conséquences des options philosophiques et religieuses que l’on c
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nt traités par d’éminents spécialistes en matière
politique
et culturelle. »
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comment on peut traduire en termes de structures
politiques
cette unité de culture non unitaire et si hautement diversifiée, je r
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rte un nom bien connu dans l’histoire des régimes
politiques
, c’est de toute évidence : fédéralisme.ah ag. « La cité européenne
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vancé d’un centimètre en direction de notre union
politique
. Entre l’union de l’Europe et les États-nations sacralisés, entre une
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ous, point de choix économiques ni même peut-être
politiques
longuement délibérés, concertés à long terme : il fallait se battre p
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du PNB — cette tour de Babel du xxe siècle ! Une
politique
européenne de ce type, simple transposition de la formule d’État-nati
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admettre la pluralité des allégeances, civiques,
politiques
, culturelles, idéologiques et religieuses, contre la prétention de l’
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e ou liberté : ces deux finalités commandent deux
politiques
d’union, dont je crains bien qu’on ne puisse pas impunément continuer
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ne manquera pas de m’objecter en ce point que la
politique
a toujours eu pour fin réelle la puissance ; et je crois bien que tou
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a puissance comme seul but réaliste de la société
politique
; le reste — la justice, la paix, la liberté — étant manières de parl
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ation des grandes tâches d’intérêt public, tâches
politiques
au sens originel du mot : l’économie, l’écologie et l’habitat, les tr
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’est un mot qu’il nous faut bannir du vocabulaire
politique
dans une Europe fédérale, au seuil de l’ère du monde uni. Voilà donc
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qu’il pose une hiérarchie nouvelle des finalités
politiques
. Donner comme but de la Cité européenne la liberté non la puissance,
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e relève pas de l’économie, et encore moins de la
politique
au sens étroit et partisan du terme. Elle exige la recréation de comm
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je réponds que c’est au contraire la grande tâche
politique
de notre temps. Précisons : des vingt ans qui viennent. Car à ce prix
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tout ailleurs, touristes, convalescents, réfugiés
politiques
attirés par nos paysages, notre air, nos libertés. Mais le problème a
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oups sociologiques et hygiéniques, écologiques et
politiques
, si elle n’établit pas ses plans en conséquence et ne s’engage pas à
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gue, de romantique et non d’opportuniste. L’homme
politique
opportuniste et joueur, toujours prêt à saisir ou à brusquer l’occasi
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et à quoi il choisit de lier son sort. Un suicide
politique
, dirent les observateurs. Mais ici le personnage prend ses vraies dim
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et aux situations qu’aux systèmes, d’où son sens
politique
intuitif et ses vues parfois prophétiques : — Carl-J. Burckhardt ajou
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de nouveaux subsides, ce n’est pas concevoir une
politique
, c’est administrer. Quand l’homme en place invoque les « réalités »,
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. Cité par André Gorz-Michel Bosquet, Écologie et
Politique
, Éditions du Seuil, 1978. aq. « Philosophie et énergie nucléaire : u