1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
1 Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)b …que nous faisons du paradoxe
2 , nous ne sommes pas du monde. Toute construction politique qui ne prend pas au sérieux ce qu’impliquent les deux termes de l’ant
3 pe. Ainsi se trouvent définies les trois hérésies politiques que nous avons à dénoncer. 1° L’hérésie pessimiste abandonne à lui-mê
4 nnent au sérieux leur foi, participer à un effort politique quelconque ? Ayons le courage de l’affirmer ; il n’est pas de réponse
5 es exigences absolues), tandis qu’au contraire la politique est l’art d’accommoder les relations dans le sens de la plus grande f
6 ens de la plus grande facilité de réalisation. La politique est un art de synthèses pratiques ; son office est de résoudre dans l
7 ales. Doit-on conclure au refus de toute activité politique  ? Ce serait admettre que les deux termes de l’antinomie s’équivalent
8 ls qu’ils sont, — des hommes qui ont besoin d’une politique pour suppléer à leur faiblesse, qui ont besoin tout autant qu’on leur
9 . Telle est, dans son principe, la seule attitude politique que puisse adopter le protestant : la politique du pessimisme actif,
10 e politique que puisse adopter le protestant : la politique du pessimisme actif, — ou si l’on veut de l’activisme sans illusions.
11 est peut-être vis-à-vis d’eux seulement que notre politique pourra se fixer un programme : la devise de Guillaume d’Orange est l’
12 .) Je ne veux parler ici que du principe de notre politique  ; il est bien clair qu’elle condamne, dans la mesure où ces idolâtrie
13 ’abri des touches fulgurantes du Saint-Esprit. La politique romaine est la recherche d’une harmonie statique des relations humain
14 que parce qu’il y a la foi. b. « Principe d’une politique du pessimisme actif », Hic et Nunc, Paris, n° 1, novembre 1932, p. 23
2 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
15 itif » ! Comme si le christianisme n’était qu’une politique possible, entre autres ! Comme si les situations humaines comportaien
3 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
16 et quelles conséquences il entraîne dans l’ordre politique , par exemple, que notre temps croit devoir considérer comme plus réel
17 is déjà trouvé. » 4. Dans les travaux du groupe politique et philosophique de L’Ordre nouveau. 5. Qu’on nomme en France « path
4 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
18 r 1934)f L’individu, tel que les libéraux — en politique — et les idéalistes — en philosophie — nous l’ont légué, c’est l’homm
19 l’Évangile ; d’autre part, certaines conséquences politiques de l’erreur individualiste, et surtout, de ses plus récents succédané
20 istes. Cette opération magistrale porte un nom en politique . C’est le fascisme. Le nous, c’est le groupe, le faisceau. On l’oppos
5 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
21 elles. La conversation qui s’était égarée vers la politique , au dessert, revint à la théologie avec les premières tasses de café.
6 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
22 isme qui nous apparaîtra toujours excessivement «  politique  »… Le second terme, vrai en soi, et que nous croyons de toute notre f