1 ctuel que le phénomène du rêve, je dirais même en politique . Rien n’est plus important que de savoir la qualité, et la nature, de

2 s confus, comme il arrive souvent dans les luttes politiques . Roosevelt représente le New Deal, c’est-à-dire un ensemble assez peu

3 plus « rouge » des États-Unis. Relativement à la politique extérieure, l’opposition des deux candidats n’est guère plus claire.

4 nde quelques explications. En Europe, la violence politique s’exprime par des bagarres et des injures, par une fanatique intoléra

5 ations somme toute peu dangereuses, de la passion politique , sont considérées comme des tricheries regrettables, dénotant un manq

6 conclusion claire qui se dégage de ces paradoxes politiques me paraît être la suivante : Quoi qu’il arrive le 5 novembre, l’unani

7 que sa circulation est bonne. Si les oppositions politiques les plus violentes laissent peu ou point de rancune et se résolvent s

8 est résulté parfois certains flottements dans la politique du New Deal, mais ces défauts techniques sont compensés par un avanta

9 les scléroses et les vieilles rancunes de la vie politique européenne : ce secret réside peut-être dans le fait très simple que

10 cains ni les démocrates ne possèdent une doctrine politique totale, fixée pour tous les cas et automatiquement par une longue tra

11 caractère religieux de leur civisme. La structure politique des États-Unis traduit aujourd’hui encore le jeu complexe de ces appo

12 r, mais aussi des journalistes, des personnalités politiques , des écrivains d’« avant-garde »… Et ces professeurs de théologie n’h

13 éologie n’hésitent pas à collaborer aux magazines politiques à gros tirages qui forment l’opinion moyenne du pays. Ce qui est éton

14 ner tout leur sens à certains incidents de la vie politique américaine. Imaginez, par exemple, le gouverneur d’un des grands État

15 de savoir que les grandes cérémonies civiques et politiques de ce pays, aussi impressionnantes que les cérémonies totalitaires, s

16 ue j’ai plus d’une raison de nommer le daltonisme politique . Messieurs les députés, n’oubliez pas la Suisse ; elle existe en dépi

17 e pas. Il n’y a pour lui qu’un seul problème : la politique du plein emploi ; une seule méthode : étatiser les industries ; un se

18 sociales et nos institutions, notre point de vue politique et nos intérêts économiques »… Je ne sais ce que les Hindous, les Boe

19 pensent de ces origines communes… Le point de vue politique des Dominions n’est pas celui de l’auteur sur la question de l’Europe

20 é européenne », — d’où le refus de toute autorité politique super-nationale. Cet ami de l’unité siège parmi vous. Il va trouver s

21 il est doté de pouvoirs législatifs, à l’Autorité politique , s’il faut qu’elle ait vraiment de l’autorité et ne souffre donc poin

22 une pour les chômeurs. Et ce n’est pas une secte politique , une doctrine partisane ou une autre, qui résoudra le problème du chô

23 viction qu’il n’est pas un des responsables de la politique mondiale des États-Unis qui souhaite nous réduire à l’état de satelli

24 t, je dirais que d’une part il a créé l’animation politique nécessaire à la vie de la Constitution, tandis que d’autre part il fi

25 les mêmes effets, cette page dicte à l’Europe une politique . s. « Aller et retour », Journal de Genève, Genève, n° 117, 21 mai

26 toute entente sérieuse dans les autres domaines, politiques ou économiques. Car ce sont elles seules qui permettent l’élaboration

27 ler pour franchir le Rideau — ce mur du son de la politique contemporaine. Précisons notre image : quand un pilote passe le mur d

28 ent la faute de croire à ses fondements moraux et politiques . Des jeunes gens comme René Bugnot, moralement exigeants, civiquement

29 État policier régnant sur des êtres sans âmes. La politique de neutralité donne aux responsabilités du citoyen-soldat une garanti

30 les nationalistes, à la guerre de 1914. Un homme politique français a déclaré : « Le pouvoir personnel finit toujours mal. » Bon

31 celle de l’engagement de l’écrivain), c’était la politique du pessimisme actif. Qu’est-ce que cela veut dire ? C’est en somme un

32 par Gallimard en un volume, et tous mes ouvrages politiques et polémiques, où il n’est, hélas, nullement question d’amour… Je sai

33 dans mon premier livre, publié à Paris en 1934, Politique de la personne et qui est exactement le contraire du sens actuel, qu

34 premier chapitre était intitulé : « L’engagement politique  », le second : « Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage ». Le

35 e faire, consiste à déplacer le centre du système politique , non seulement de la nation vers l’Europe, mais encore vers l’humanit

36 mettre en cause très sérieusement la valeur de la politique menée par son gouvernement. Pour les mêmes raisons, j’approuve totale

37 us engagé dans les divers mouvements pour l’unité politique et culturelle de l’Europe. À travers ses nombreux livres parmi lesque