1 it l’auteur de ne décrire que les effets sociaux, politiques et culturels de la Réforme, sans les rapporter à l’évolution parallèl

2 ervents de Louis XIV et certains défenseurs de la politique romaine. La persécution des protestants ne fut pas l’œuvre du parti c

3 pris de bon, sous Henri IV, dans le domaine de la politique européenne, fut l’œuvre personnelle des réformés. Le « grand dessein 

4 e plus marquant il est vrai, de toute l’évolution politique de la royauté absolue vers « l’État totalitaire ». Il faut ici risque

5 mmanuel Mounier, il est surtout le philosophe de Politique de la personne . Pour quelques autres, il est l’écrivain qui a le mie

6 e mot « moraliste ». … illustrée par son livre : Politique de la personne . Politique de la personne était un manifeste qui d

7 rée par son livre : Politique de la personne . Politique de la personne était un manifeste qui déclencha une polémique à laqu

8 , Denis de Rougemont s’engage alors dans l’action politique en militant pour la cause du fédéralisme européen. Fondateur et prési

9 ais au contraire osmose complète entre mon action politique et mes livres. Je suis passé tout naturellement et sans rupture de ma

10 terne, va précipiter l’écroulement de l’hégémonie politique de l’Europe, et même le rendre, à vues humaines, définitif. Au surplu

11 mentaire prudence historique. Primo, l’hégémonie politique n’est pas toujours et nécessairement liée à la vitalité d’une civilis

12 ans l’adoption bien trop rapide des formes de vie politique , sociale et économique, élaborées par l’Europe moderne. Résumons cela

13 de coup d’État, a décidé de porter à la frontière politique sa ligne de douaniers et il en a résulté que dans la région que j’hab

14 arge du monde pourront y puiser tout un programme politique inspiré par l’idée d’union fédérale. Denis de Rougemont s’est fait l’

15 De l’unité de culture à l’union politique (17-23 avril 1972)x L’unité de l’Europe ne se fera ni uniquement

16 illusoire, sauf qu’elle bloque tout. Cet obstacle politique , en retour, est fomenté par la culture. Car ce sont bien des faits de

17 ie, de littérature et de doctrine sociologique ou politique , ont été paneuropéennes, et non pas nationales. Les grands courants e

18 inexistant. Si maintenant je transpose en termes politiques mon équation : Europe de la culture : foyers de création initiant de

19 s courants continentaux. cela va donner : Europe politique  : régions autonomes composant une fédération continentale. Voici donc

20 culture. x. « De l’unité de culture à l’union politique  », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 2325, 17-23 avril 1972, p. 13