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ésignent-ils la notion de personne ! — aux forces
politiques
et historiques qui selon eux déterminent entièrement le devenir révol
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, le fascisme, leurs mystiques et leurs créations
politiques
(nationalisme, SDN, etc.), condamnation de l’individu, de la « pensée
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ut faire que les tyrannies sociales, mondaines ou
politiques
, trahissent par leur raffinement, par leur perfection même, une anarc
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le complexe de mots adultérés qui encombre la vie
politique
et qui empêche, à gauche comme à droite, de nommer les vrais adversai
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sophie. Réaliser, c’est s’engager dans l’aventure
politique
ou religieuse. Au grand Hegel qui philosophe « au dimanche de la vie
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à la plupart des entretiens d’aujourd’hui sur la
politique
, à l’article du Temps, à un cerveau d’homme de gauche ou d’homme de d
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listes qu’il attaque ont jamais prétendu que leur
politique
fût une « incarnation » de l’esprit ; 2° au cas où ils l’auraient fai
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on esprit pur contre esprit asservi (aux intérêts
politiques
) évoque précisément pour un chrétien l’opposition de Pilate et des do
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ir une sorte de pont aux ânes de nos philosophies
politiques
(Berdiaev, Maritain, Dandieu, Mounier, préface de Malraux à son derni
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« indifférenciées », et non pas au sens purement
politique
de tyrannie exercée par un seul homme dans tous les domaines. 37. Pa
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l’usure des mots aggravés par la presse et par la
politique
, ont peu à peu fait passer pour communes des significations qui à vra
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de personne, que nous jetions alors dans le débat
politique
et culturel, et qu’on nous reprochait non sans aigreur, quand il ne f
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s leur sens. Il n’y a que cela de sérieux dans la
politique
moderne. Et le Manifeste de Mounier peut y contribuer largement. Faut
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leurs lectures, les journaux qu’ils achètent, la
politique
, ou la religion qu’ils suivent, ils se taisent bien vite, ou se remet
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u’ils n’ont pas à se mêler aux luttes sociales et
politiques
où leur raison a tout à perdre mais que s’ils s’y trouvent mêlés, com
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ois, hommes et femmes, jouissent des mêmes droits
politiques
. » 47. On n’en connaissait jusqu’ici qu’une adaptation abrégée, sel
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ies. Peut-être ai-je trop insisté sur l’actualité
politique
de cette méditation personnaliste. Car après tout, c’est une histoire
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ise des minorités en 1938. 1. Caractérisez l’état
politique
de l’Europe en 1938. — Les démocraties de l’Ouest avaient fondé leur
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en furent les premiers à s’apercevoir du paradoxe
politique
que nous venons de définir. Ils eurent l’habileté de baser leurs reve
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celui qui déclare ses valeurs, — en dehors de la
politique
, bien entendu. ao. « Propos sur la religion, par Alain (Rieder) », L
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e Histoire « maîtresse de la vie humaine et de la
politique
». Il s’agit de préparer le Dauphin, son élève, à sa future tâche de
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aux yeux des pouvoirs. En présence d’une doctrine
politique
ou sociale, de l’action d’un pays ou de l’option d’un homme, il n’est
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oire, et l’Histoire au César du moment, la police
politique
du César détient seule le vrai sens de nos vies. Nul scrupule de cons
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s dans tous les domaines du réel, du spirituel au
politique
; mais dans quelle mesure est-ce vrai ? Quel est le moi qui s’affirme
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des réalités humaines : sociales, économiques et
politiques
, ou même morales. D’une part (en tant que religions), elles expriment
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s sciences, mais aussi nos structures sociales et
politiques
, les droits de l’homme et une extraordinaire avidité. Le sens réel de