1 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
1 jet est plus grave. Non pas du point de vue de la politique , car les partis de gauche ne prennent guère au sérieux leur intellige
2 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
2 us réelle, le pouvoir même.   VII. — Tout pouvoir politique , militaire, juridique dans la mesure où il est efficace et valable, s
3 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Pourquoi ils sont socialistes (juillet 1933)
3 œur à gauche et qui croient y voir une indication politique  : c’est une espèce de fétichisme sentimental. (Voir Lévy-Brühl : La M
4 rmi les camarades : quand on s’avance dans la vie politique sans autre intention claire que de prendre toujours à gauche, on arri
4 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
5 cte. 6° Ces institutions sont : — dans le domaine politique  : la petite patrie décentralisatrice et le centre de contrôle doctrin
5 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
6 ns d’égalité furent néanmoins d’ordre strictement politique . On voulait un système fondé sur l’homme-en-général. On se battit pou
7 citoyens eurent compris que leur égalité purement politique était fictive7 qu’ils commencèrent à soupçonner la duperie. Il leur r
8 étuelle. À qui fallait-il être égal ? Sur le plan politique , la réponse était facile ; mais elle ne satisfaisait pas le besoin qu
9 créatrices, sur le plan économique et sur le plan politique . (Tension organique entre la corporation et le syndicat d’une part, l
10 pes qui sont à la base de l’économie et de la vie politique ON sont identiques à ceux qui seront à la base de la vie sociale quot
11 it que l’égalité ne soit possible que sur le plan politique , bien qu’elle soit prêchée à l’école comme une valeur morale, crée un
6 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
12 s déterminismes historiques tient lieu de méthode politique . N’a-t-il pas été l’un des premiers à dénoncer la décadence bureaucra
7 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
13 ression à rebours est normale, dans le plan de la politique actuelle. Mais il y a certainement quelque chose de plus que le verbi
14 comme dans les entreprises privées ». Difficultés politiques ensuite. Les auteurs du plan commencent par condamner le Parlement, «
15 nctionnement exclut par définition une rénovation politique profonde ». Puis ils donnent un projet de constitution aux termes duq
16 uvoir législatif sera exercé par deux assemblées, politiques , la Chambre des députés et le Sénat ». Ils précisent : « La Chambre s
17 i elles cesseront de s’opposer à une « rénovation politique profonde ») on adjoindra un Conseil national économique, « composé de
18 viendront les circonscriptions administratives et politiques essentielles du pays, en même temps que des centres économiques et in
19 ions pris soin d’éviter16, entre l’économique, le politique et le spirituel, confusion inconsciente ou voulue, mais trop grave po
20 les choses, il n’y a plus pour le moment d’autre politique possible que l’opportunisme. » Politique à la remorque, — démission d
21 d’autre politique possible que l’opportunisme. » Politique à la remorque, — démission de la France. Ce n’est pas avec cela qu’on
22 ne telle atmosphère on pourra envisager une large politique (sic) de dégrèvements fiscaux » ; ou « … un cours moyen qu’aurait fix
23 pas sonner leur mandat, leur habitude des travaux politiques … » N’est-ce pas touchant ? Mais je m’en voudrais de chercher les poux
24 es propres moyens. Le plan Doumergue est purement politique , administratif si l’on veut. Au point de vue économique, il se réduit
8 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
25 ur conviction qu’on peut développer la conscience politique des ouvriers à l’intérieur de leur lutte économique, en se basant uni
26 gelle notre régime et principalement notre régime politique , dans la mesure où il heurte les intérêts des catégories les plus div
27 st pas d’abord une prise de pouvoir économique et politique , après quoi l’on verrait à vivre ; mais elle est d’abord une manière
9 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
28 raient, d’autre part, que le régime économique et politique se recréerait parallèlement en vertu du même principe. Ils travailler
29 mesure commune avec l’économique, le social et le politique , la création intellectuelle ne sera plus séparée des « masses ». Une
30 ure se trouve isolée de la vie populaire et de la politique qui l’exploite. Mais un monde personnaliste est un monde où la « mass
10 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
31 ret destiné avant tout à raffermir le centralisme politique  ? 2. La doctrine qui préside à la révocation de l’édit est-elle vraim
32 mulgation ? I On sait par quel coup de force politique Henri IV prétendit mettre fin à la lutte des ligueurs et de l’Union c
33 t les ligueurs ? L’anéantissement de la puissance politique de la Réforme. Et que voulaient les calvinistes ? Le libre exercice d
34 ge les églises réformées à se constituer en parti politique . D’autre part, limitant l’exercice du culte (qui ne peut être célébré
35 n, sans détriment, bien au contraire, pour la vie politique et économique du pays. b) Le conflit spirituel étouffé par la force,
36 ans des domaines qui ne sont pas du ressort de la politique . L’explosion révolutionnaire, dans ce qu’elle a de destructeur, est l
37 uement de leurs délibérés calculs et des desseins politiques les plus clairs. Notre intention, dans cette brève note, n’est pas év
38 ar quels moyens Henri IV eût pu donner au conflit politique et religieux de son époque une tournure moins fatale pour l’avenir du
39 . Mais le système capitaliste vient donner à leur politique les puissantes sanctions que leur énervement n’aurait pas osé déclenc
40 rançaise, par John Viénot, t. II, chap. ii. 26. Politique tirée de l’Écriture sainte, t. I, p. 6, article ier . m. « L’édit d
11 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
41 La situation politique en France (octobre 1935)o 1. — Les partis bougent Nous n’avon
42 partis bougent Nous n’avons guère parlé de la politique des partis, dans cette revue : c’est le sujet le plus vain, le plus s
43 ennent vraiment les deux pôles de la nouvelle vie politique . La carte des partis parlementaires tend à recouvrir de plus en plus
44 t un Front national, où se confondent mystique et politique , et entre deux la débandade des radicaux, en tout cas leur mauvaise c
45 is nous sommes payés pour savoir que la confusion politique , en temps de crise, travaille pour la future dictature étatiste ; qu’
46 détruire cette superstition ? o. « La situation politique en France », L’Ordre nouveau, Paris, n° 24, octobre 1935, p. 1-7.
12 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
47 les articles de journaux, dans tous les discours politiques , à tout propos. J’admire votre « Œuvre du secours d’hiver »32 mais je
48 nomique et culturel, contre une masse de préjugés politiques antédiluviens qui encombrent la vie publique et qui empoisonnent la p
13 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
49 e est charabia. L’ON, par exemple, qui « parle de politique  », et même d’économie, brouille absolument « le jeu ». M. Léon Pierre
50 mbaud et allaient au Vieux-Colombier. Faire de la politique , c’était porter une canne ferrée et louer la « rigueur » de Maurras.
14 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
51 ndant un aspect précis et significatif de cette «  politique  ». Outre le courtage habituel aux commissionnaires (40 ou 45 %, suiva
15 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
52 tés. Le vote revenait donc à dire oui ou non à la politique nationale-socialiste, c’est-à-dire au Führer en personne. En fait, il
53 égime en créant l’unanimité nationale sur un acte politique défini et isolé, acte qui d’ailleurs a toutes les chances d’être très
16 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
54 Qu’est-ce que la politique  ? (juin 1936)u 1. La politique est en principe ce qui intéresse la
55 u’est-ce que la politique ? (juin 1936)u 1. La politique est en principe ce qui intéresse la cité. Aucun des habitants de la c
56 nt le besoin de « justifier » leurs interventions politiques , — comme si cela n’allait pas de soi ! (Exemple : les Pages de journa
57 en tout comme les autres, s’il doit « faire de la politique  », — ce malaise irritant révèle une profonde incertitude : non seulem
58 rofonde incertitude : non seulement c’est le sens politique qui fait défaut, mais c’est le sens même de la politique en général q
59 ue qui fait défaut, mais c’est le sens même de la politique en général qui n’est plus clairement aperçu, dans l’élite de la natio
60 er à la chose civique ; mais on sent aussi que la politique , telle qu’elle est conçue et pratiquée de nos jours, est une menace s
61 ulte de ce malaise : « faut-il ou non faire de la politique  ? », on ne peut répondre avec sécurité que si l’on a d’abord répondu
62 répondu à cette autre question : qu’est-ce que la politique  ? Car si la politique est ce que l’on pense ordinairement, c’est une
63 question : qu’est-ce que la politique ? Car si la politique est ce que l’on pense ordinairement, c’est une peste, et tous les rai
64 engager sont de misérables sophismes. Mais si la politique devient ce que nous voulons qu’elle soit, la question d’en faire ou d
65 ou de n’en pas faire ne se pose même plus. 3. La politique , en France, revêt des formes beaucoup plus variées et complexes que c
66 er tous les partis41. Et que dans la mesure où la politique se confond avec le jeu et la lutte des partis, il doit se déclarer de
67 ses forces antipolitique. b) On appelle aussi «  politique  » la rumeur confuse des idéologies que les partis prétendent servir.
68 qu’il n’y a plus en France de véritable idéologie politique . Ce qu’on nous offre sous ce nom n’est qu’un lamentable ramassis de p
69 qu’elle entraîne la ruine de la famille42. Si la politique , c’est cela, je dis qu’un honnête homme, et au surplus intelligent, s
70 « idéologues », beaucoup en viennent à définir la politique comme une simple technique de gouvernement. Il serait souhaitable en
71 pas une affaire de calcul. Ils réduisent toute la politique au jeu subalterne des fonctions étatiques. En somme, ils donnent à la
72 aux « physiocrates », nous voyons, depuis peu, la politique prendre l’aspect d’un mysticisme, et cela surtout chez les intellectu
73 re » ou simplement communiste. Je dis que cette «  politique  » sentimentale, cet ersatz de religion, cette renaissance des mythes
74 e autrement impressionnant ; 3° correspondent, en politique , à l’étatisme le plus tyrannique. Si donc « faire de la politique » c
75 tatisme le plus tyrannique. Si donc « faire de la politique  » consiste à recouvrir de fleurs de rhétorique rationalo-sentimentale
76 ophie et de la théologie pures. En résumé : si la politique n’est que ce qu’elle est actuellement en France, je dis qu’un homme h
77 attitude radicalement antipolitique. 4. Mais — la politique est à nos yeux toute autre chose que ce que l’on a coutume d’appeler
78 e. Ailleurs, peut-être, et traditionnellement, la politique est d’une part la science des rapports de l’individu et de l’État — p
79 science des rapports de l’individu et de l’État — politique intérieure —, d’autre part la science des rapports de la nation et de
80 des rapports de la nation et des autres nations — politique extérieure. Dans le cas de la France, si un homme se sent poussé à l’
81 aient conservé la conception traditionnelle de la politique , l’homme se voit entraîné dans la vie civique par devoir, au nom des
82 État, ou au nom des « intérêts » de la nation. La politique reste quelque chose d’extérieur à son être véritable. D’où la distinc
83 u’il existe deux morales, l’une privée et l’autre politique , la plupart du temps contradictoires, ou en tous cas, sans commune me
84 ersonnalistes, c’est tout le contraire : la vraie politique ne saurait être qu’une expression de la personne même. Elle s’enracin
85 la création. Il résulte de cette définition de la politique que tout homme, dans la mesure où il agit personnellement, se trouve
86 ement, se trouve engagé par là même dans la vraie politique . Car d’une part il a besoin de la base matérielle assurée par l’État,
87 s le domaine national45. Les grandes lignes de la politique de l’Ordre nouveau se trouvent ainsi déterminées. C’est en vertu de n
88 p ont tant de peine à comprendre — est la méthode politique par excellence, au sens que nous venons de donner du politique. Elle
89 excellence, au sens que nous venons de donner du politique . Elle consiste à faire la part, dans l’activité des personnes aussi b
90 re la morale privée et la morale publique. Car la politique ne fait que reproduire à une vaste échelle le mouvement même de la pe
91 et d’élan vers des buts que l’esprit imagine. La politique véritable, de même que toute conduite personnelle, supposera toujours
92 l est le peuple qui ait jamais pratiqué une telle politique , dans l’histoire du monde ? La politique, voyez-vous, c’est un jeu be
93 ne telle politique, dans l’histoire du monde ? La politique , voyez-vous, c’est un jeu beaucoup plus impur, c’est la bataille des
94 de la morale ? Est-ce une raison, parce que les «  politiques  » pratiquées jusqu’ici avec le succès que l’on sait, voir la crise pr
95 se ? Oui ou non, cette crise couronne-t-elle la «  politique  » des « réalistes » ? Nous nous adressons à ceux qui veulent en sorti
96 compris, meurtriers, où s’excite et se débat la «  politique  » des « réalistes » à la petite semaine. Nous sommes « intellectuels 
97 lement, à ceux qui nous reprochent de vouloir une politique vraie, et même intelligente : — Continuez donc ! Militez dans le Fron
98 t populaire ou le Front national ! Faites de la «  politique  » en dépit de toute dignité humaine et de toute réalité européenne et
99 ui veulent la liberté de l’esprit. 8. Les grandes politiques naissent de grandes visions, d’utopies créatrices, d’idéaux jaillis d
100 pratiquent dans le monde d’aujourd’hui de grandes politiques et même des politiques démesurées. Il y a le Japon qui veut dominer s
101 e d’aujourd’hui de grandes politiques et même des politiques démesurées. Il y a le Japon qui veut dominer sur l’Asie ; il y a l’UR
102 sa raison de subsister et de créer ? A-t-elle une politique intérieure qui corresponde au rôle que les autres puissances la mette
103 base et une perspective et un avenir communs à la politique , à la culture, à toutes forces créatrices de ce pays. 41. Prétendre
104 la France (Fustier, 1936). u. « Qu’est-ce que la Politique  ? », L’Ordre nouveau, Paris, n° 32, juin 1936, p. 1-10.
17 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
105 48. Révolution nécessaire, p. 39, et passim. Politique de la personne , p. 220-225, et Dictature de la liberté, passim. 49.
18 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
106 llemagne, si vous voulez amuser le monde. Mais la politique étrangère ne suppose pas, en France, la connaissance de nos voisins :
19 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
107 ils qui menacent l’Allemagne apparaissent d’ordre politique  : c’est d’une part la dislocation en petits États autonomes, dont cer
20 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
108 prises, à une désintégration générale, à la forme politique monstrueuse que nous appelons aujourd’hui l’État totalitaire, et à la
109 alais urbains. Ces rentiers du sol pratiquent une politique d’égoïsme social et d’impérialisme. L’immense prolétariat des villes
110 ins d’une classe restreinte commande toute la vie politique . Il suffira de rappeler les batailles que livrèrent sénateurs et chev
111 cour impériale sert de substitut à toute activité politique , sociale, humaine. Substitut à la mesure de cette société moribonde,
112 omine le développement économique, social et même politique . Les marchands de laine flamands introduisent dès lors les méthodes c
113 utions » corporatives restent d’ordre strictement politique , tandis que les revendications prolétariennes sont avant tout sociale
114 istes qu’elles viennent d’ébranler sur le terrain politique , et, avec eux et les princes, écrasent dans le sang les révoltes du p
115 e de la cellule artisanale. On peut penser qu’une politique hardie de hausse des salaires et d’abaissement des redevances eût pu
116 inauguré une longue prospérité, aux conséquences politiques incommensurables… On chercha au contraire le salut dans le protection
117 isme, sociétés anonymes70, trusts. La libération politique de la bourgeoisie, à la suite de la Révolution, eut pour première con
21 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
118 notre art bien bas. Et ce n’est pas seulement une politique qui se trouve jugée par l’aventure d’Espagne, mais toute une civilisa
22 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
119 hommage que le vice rend à la vertu, le verbiage politique d’aujourd’hui est un hommage que les partis rendent à la liberté. Il
120 qui se révèle dès l’abord sous forme d’un malaise politique , dont on peut prédire que l’accentuation prendra la forme d’une angoi
121 ue l’accentuation prendra la forme d’une angoisse politique , c’est-à-dire d’une situation révolutionnaire. C’est à la faveur de c
122 dogmes sociaux… considérés comme normes de la vie politique . Toute déclaration écrite doit à nos yeux jouer le rôle non pas d’une
123 les tables des valeurs. Toute création sociale et politique n’est possible que par la surrection d’un groupe d’hommes en lesquels
124 est chez quelques hommes seulement que l’angoisse politique prend tout d’abord son caractère le plus virulent et le plus créateur
125 nseil d’État manque de toute espèce d’orientation politique (au bon sens du mot). Cette carence le subordonne finalement à la pol
126 mot). Cette carence le subordonne finalement à la politique de l’État. Tout au contraire, le Conseil suprême sera orienté vers la
23 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
127 de l’esclavage d’une mode à celui d’une tactique politique . Ce n’est pas du tout devenir esclave d’une doctrine, mais au contrai
128 lle se met « au service » d’une doctrine de lutte politique . Faire la révolution, cela demande un effort un peu plus grand, et d’
129 pour un temps dans les voies de « l’engagement » politique , et faisant amende honorable. Ils étaient en rupture de bercail. Main
130 ux — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique  ! 79. Je fais exception pour deux ou trois d’entre eux, tels que Ber