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peuple à ne pouvoir se libérer des charlataneries
politiques
autrement que par des violences maladroites, dont il ne sera pas le d
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-il ? D’ailleurs, on n’en a jamais vu. Quant à la
politique
, c’est tout à fait autre chose. C’est un certain nombre de phrases qu
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qui ne m’a pas empêché jusqu’ici de m’occuper de
politique
, par exemple… Mais déjà, je me sens moins assuré dans ma bonne consci
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) tiennent presque toute la place. Abîme entre la
politique
des amis du peuple et la réalité du peuple : rien ne le rend plus sen
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ur les noms des notables et sur le jeu des partis
politiques
. Et que dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une résurrection d
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u des revues à l’essai, mais c’est toujours de la
politique
. Quand j’étais jeune, j’ai beaucoup lu Anatole France, c’est à cause
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éressant à lire ? — Ne lisez-vous pas de journaux
politiques
? — Ce n’est pas ce qu’on cherche. Il faudrait en lire deux au moins
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qu’il n’y aurait pas moyen de faire un mouvement
politique
en dehors des partis, et de voir une fois ce qu’il y aurait à changer
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s libérer de l’ancien ; — et l’alibi d’une action
politique
à laquelle ils n’entendent goutte. 1. Deux petits journaux paraisse
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e des paysans en général et sur leurs aspirations
politiques
en particulier. Ces aspirations, à la vérité, sont extrêmement impréc
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alités humaines et la terminologie et la doctrine
politiques
. Les pages qu’on va lire, nourries d’observations précises, en apport
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vertiges spirituels d’où sont nés des mouvements
politiques
tels que le national-socialisme. Peu à peu, elle dévoile à nos yeux u
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ême l’abus, du terme de « mystique » dans l’ordre
politique
; voici enfin qu’un grand empire réalise au milieu de l’Europe la plu
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e la plus inquiétante synthèse de religiosité, de
politique
, de rêve et de mystique élémentaire. Or, ces faits ne sont pas seulem
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ns et agissons. Que signifie cette invasion de la
politique
et de la vie sociale par ce qu’on nomme les « mystiques » collectives
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dans son essence, m’apparaît comme un romantisme
politique
. Et je ne dis pas du tout que les écrits d’un Novalis ou d’un Jean-Pa
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raité qui nous accusent, toutes ces règles du jeu
politique
inventées par des rationalistes, alors que nous voulons une passion n
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lui présente une opinion juste… D’ailleurs, notre
politique
est une politique d’artistes. Le Führer est un artiste de la politiqu
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pinion juste… D’ailleurs, notre politique est une
politique
d’artistes. Le Führer est un artiste de la politique. Les autres homm
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itique d’artistes. Le Führer est un artiste de la
politique
. Les autres hommes d’État sont seulement des manœuvres. Son État à lu
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est le produit d’une imagination géniale9. » Une
politique
d’artistes, une politique de romantisme collectif, voilà le cauchemar
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ination géniale9. » Une politique d’artistes, une
politique
de romantisme collectif, voilà le cauchemar que rêve à côté de nous l
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s autostrades américaines ne sont pas une réclame
politique
, ni même un expédient pour lutter contre le chômage. Elles sont le pr
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tions qui la composent se voit menacée d’annexion
politique
ou de colonisation économique. Voici le fait fondamental qu’énonçait
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tain, au milieu du xixe siècle, quand la réalité
politique
de l’Europe était l’essor des grands nationalismes. Il y eut enfin, a
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t d’autre part à l’homme collectiviste, au soldat
politique
sans droits. Mais puisqu’il s’agissait de s’engager, on s’appliquait
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ppliquait à tirer de la doctrine ses conséquences
politiques
et sociales, et c’est ainsi que l’on aboutissait à un programme commu
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fédéralistes. On y retrouvait toutes les nuances
politiques
, nationales et religieuses qui font la richesse de l’Europe, et qui l
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es. Trois résolutions furent votées : économique,
politique
et culturelle. La résolution politique prévoyait, comme prochaine éta
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conomique, politique et culturelle. La résolution
politique
prévoyait, comme prochaine étape, la convocation d’une Assemblée euro
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que possible non seulement des parlements (partis
politiques
), mais aussi des « forces vives » de chaque nation (syndicats, religi
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resteront insolubles en fait, tant que nos plans
politiques
n’auront pas abouti. La sagesse des experts, dans chacun de nos pays,
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araît clair que toutes les mesures économiques et
politiques
que pourrait proposer le Mouvement européen resteraient lettre morte,
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sible sans une volonté préalable de mise en ordre
politique
. Il n’est point d’ordre politique qui serve l’homme, s’il n’est orien
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e mise en ordre politique. Il n’est point d’ordre
politique
qui serve l’homme, s’il n’est orienté dès le départ par une vision li
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ans le moindre délai, dans l’étude des structures
politiques
nécessaires à l’union de l’Europe. C’est dire que la question central
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pour étudier l’instauration rapide d’une autorité
politique
supranationale, d’un Conseil économique et social, d’un passeport eur
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s le centre du monde, sur le plan de la puissance
politique
. Elle se sent « mise à pied » par l’Histoire, au profit de deux empir
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ontières intérieures ; épuisant sa vieille astuce
politique
en rivalités locales, l’Europe n’offre plus aux empires américain et
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rmer une véritable culture censoriale. Le critère
politique
est seul admis. Et l’on s’y réfère avec une rigueur telle que le styl
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res de l’État et qualifié de sabotage. La censure
politique
est si parfaitement préventive qu’elle peut s’offrir le luxe de dispa
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subordonner entièrement le savant à des exigences
politiques
et militaires. Cet exemple des recherches atomiques nous donne un inq
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vèle « pratiquement utilisable » au service de la
politique
, comme c’est le cas de la physique nucléaire, ceux qui s’y livrent so
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bordonne ses intérêts à ceux de l’économie, de la
politique
, ou de la défense nationale ? Et que personne ne s’avise de soutenir
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se laisse subordonner aux intérêts économiques ou
politiques
, soit qu’elle se contente d’une liberté honoraire, sans responsabilit
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mmunauté. Si l’Europe est réduite à l’impuissance
politique
, si elle est colonisée par l’Amérique — ce qu’elle désire parfois — o
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’avons-nous fait pour nous unir ? Dans le domaine
politique
, nous avons Strasbourg. Ce n’est pas beaucoup plus qu’une promesse, m
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a morale publique, de même que seule une Autorité
politique
supranationale sera capable de traiter au nom de trois-cents-millions
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eux, cela veut dire dictature. Pour nous, liberté
politique
. Nous ne sommes donc point en situation de neutralité. Nous savons où
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octobre, et qui peut devenir l’École des sciences
politiques
du continent. f. « L’Europe et sa culture », La Revue de Paris, Pari
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de des États-Unis, on critique en même temps leur
politique
, on les rend hésitants et l’on se plaint de leur retard, mais si l’UR
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ient être des Staline ou des Einstein, des Nehrus
politiques
ou des Nehrus pandits15…) Au café, je lui dis mon étonnement à découv
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-il fonder le double refus qui paraît inspirer sa
politique
? Au nom de quelle fidélité profonde, ou de quel idéal nouveau repous
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oin de s’accrocher aux recettes du passé (sauf en
politique
étrangère) ou de se battre pour une utopie. Rien de moins révolutionn
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accepte sa condition comme il approuve son régime
politique
et acclame son niveau de vie neuf fois sur dix, qu’il n’est pas révol
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ues intervenant pour sauver la cité, réformateurs
politiques
ou religieux, négociateurs de grandes affaires publiques à l’échelle
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nt la guerre, ce contempteur de toute espèce de «
politique
chrétienne » s’engage comme simple soldat dans l’armée suisse : il fa
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onialisme. Il est certain que la prétention à une
politique
indépendante, au plein sens du terme, ne saurait être soutenue à la r
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s de l’ère scientifico-technique. Cet échec de la
politique
centralisatrice et unitaire, secrètement obsédée par un rêve d’autarc
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omies régionales et les diversités religieuses et
politiques
qui sont opprimées par l’État central dont un Parti unique s’est empa
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de sa formule. Or je ne vois pas terme du langage
politique
qui prête à pires malentendus ! Un Français cultivé qui demande à son
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Quant à « fédération », c’est simplement « union
politique
d’États » (mais on a soin de préciser qu’en vers, cela fait cinq syll
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strent : 1) « Le fédéralisme était une des formes
politiques
les plus communes employées par les sauvages. » Chateaubriand, Amériq
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es dans les domaines les plus variés et les moins
politiques
au sens étroit du mot. ⁂ Tout d’abord, trois définitions. Je propose
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ons ainsi définis constitue ce que je nommerai la
politique
fédéraliste, au sens le plus large du terme. Avant de chercher à quel
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chercher à quel type d’homme correspond une telle
politique
, et quel type d’homme elle entend préparer ou éduquer, constatons qu’
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alités métaphysiques ou physiques, esthétiques ou
politiques
. Ce qui s’oppose coopère, et de la lutte des contraires procède la pl
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type de relations, posent donc une société et une
politique
. De même que le modèle trinitaire des conciles sera utilisé par Keple
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al, Kierkegaard ou Nietzsche, et aux doctrinaires
politiques
comme Rousseau, Tocqueville et Proudhon, mais aussi aux écoles récent
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vec les autres. 3. Au niveau de la vie civique et
politique
, tout le problème revient à concilier les besoins contraires mais vit
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municipale. C’est au niveau de la vie civique et
politique
— c’est le même mot, selon l’étymologie — que nous allons enfin retro
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les que la défense, les affaires étrangères et la
politique
économique, ou certaines recherches scientifiques) sans léser les dro
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e siècle. On s’aperçoit alors que le fédéralisme
politique
(intra- ou interétatique), seul pris en considération par les auteurs
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st autre chose qu’une simple recette juridique ou
politique
: il est un des grands types d’aménagement du rapport politique et pe
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est un des grands types d’aménagement du rapport
politique
et peut-être plus encore, un des grands styles de vie et de civilisat
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tance historique.27 » Nous voici loin de la forme
politique
bonne pour les sauvages dont parlait Littré. Mais loin aussi des défi