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it tant M. Staline… Alors on me dit : Vous parlez
politique
, quand il s’agit de sauver l’Église. À quoi je réponds : Croyez-vous,
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ire est donc devenu la principale force morale et
politique
de toute la Confédération. Deux faits surtout méritent de nous reteni
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réformateurs insistèrent à bon droit sur son rôle
politique
, tandis que les catholiques préféraient s’en tenir à l’éloge de son j
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aient avec reconnaissance le souvenir de l’action
politique
de Nicolas, Pacificateur des cantons et adversaire du régime des pens
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r la plupart étrangers, tentent d’éluder l’action
politique
du frère Claus. Ils ne signalent pas l’événement de la Diète de Stans
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cob Gretser, fut jouée à Lucerne en 1586. Le rôle
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de Nicolas n’y est même pas mentionné !) N’y a-t-il pas là une grande
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de la vie de Nicolas réside dans son intervention
politique
. Or c’est précisément ce trait que les premiers réformés ont souligné
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en soi les germes indestructibles de la tyrannie
politique
(malgré la « résistance » qu’auraient représentée tous ces catholique
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ux, comme elle les prépare au rôle de fédérateurs
politiques
. J’aime évoquer, en terminant, cette espérance d’une réunion de toute
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e la vision qu’ils auront. Il n’est point d’ordre
politique
qui serve l’homme, s’il n’est orienté dès le départ par une vision li
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l ce modèle, je ne m’étais pas beaucoup occupé de
politique
pendant mes études en Suisse, et je me considérais, étant à Paris, éc