1 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
1 1.L’engagement politique J’ai, pour la politique, une espèce d’aversion naturelle. L’aveu pa
2 1.L’engagement politique J’ai, pour la politique , une espèce d’aversion naturelle. L’aveu paraîtra maladroit au seuil
3 d’adresse au jour le jour qui tient lieu de vertu politique à ce siècle débile et fiévreux ? On se demande alors de quoi je me mê
4 logique dans l’application du système. L’État, sa politique , ses décrets, ses brimades, représentent dans notre siècle un monstru
5 n me fait sur le territoire ennemi. Je fais de la politique pour qu’on n’en fasse plus, ou plutôt pour qu’un jour des hommes comm
6 ence. Ou plus exactement encore, si je fais de la politique , c’est bien moins pour sauver le monde que pour accomplir les devoirs
7 oncret, — et découvre bientôt qu’il est social ou politique . Ce n’était pas ce qu’elle cherchait, elle avait cru voir autre chose
8 sque de s’y dégrader. J’ai préféré ce risque à la politique de l’autruche. L’issue fût-elle désespérée. Et peut-être ne l’est-ell
2 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
9 bourgeoise aboutit à la conception brutale d’une politique stalinienne ou fasciste, qui ne connaît plus d’autre autorité que la
3 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
10 ls qu’il appartient de l’exercer dans le désordre politique . Pratiquement et spirituellement, il n’y a pas pour nous de tâche plu
11 ses destins. Ils constatent que, dans la réalité politique , ce sont encore des hommes qui agissent, et non pas du tout ces faux
12 du niveau proprement humain. Cela éclate dans sa politique  : elle affirme la Paix, le Droit, l’Humanité ; elle ne respecte en fa
4 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
13 4.Pour une politique à hauteur d’homme Toute la question est de savoir à quel niveau l’o
14 le définition de l’homme est impliquée dans telle politique qu’on défend. C’est cette question qu’on a cessé de poser dans le mon
15 sé de poser dans le monde des politiciens ! Si la Politique est l’art de gouverner les hommes, il ne saurait être indifférent à c
16 our respecter en lui sa raison d’être. Les partis politiques ne possèdent, il est vrai, ni à gauche ni à droite, aucune définition
17 des « milieux » dirigeants, pour toute cette vie politique sans rapports organiques avec la vie réelle du pays. Elle affirme la
18 gauches. Changeons de plan ! Reposons la question politique dans une perspective humaine, et non plus dans « l’optique parlementa
19 et non plus dans « l’optique parlementaire ». Une politique à hauteur d’homme, c’est une politique dont le principe de cohérence
20 ire ». Une politique à hauteur d’homme, c’est une politique dont le principe de cohérence s’appelle la responsabilité de la perso
21 a personne humaine. En d’autres termes, c’est une politique dont chaque temps et chaque but se trouvent subordonnés à la défense
22 odule universel de toutes les institutions. Cette politique s’oppose au gigantisme américain, soviétique et capitaliste ; elle s’
23 la personne. On n’y atteindra jamais que par une politique établie dès le départ à ce niveau. 9. Jean-Richard Bloch, parlant d
24 oyable de la définition humaine. » (Offrande à la politique , p. 255.) Ignorance héritée, si l’on peut dire, par les adversaires d
5 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
25 fs peuvent très bien revêtir les apparences d’une politique supérieure, et comme tels se voir adoptés par des clercs même incroya
26 l’économie de mes « raisons » d’agir sur le plan politique , si d’une part toute foi est action, s’il est vrai d’autre part qu’un
27 à cette espèce d’équivoque ? Dès qu’il fait de la politique , il est bien obligé de parler le langage du monde, et cependant il l’
28 tre « l’ordre établi » ; il dit pis que pendre la politique , et il voudrait que la Pensée s’en mêle. Il nous parle de la personne
29 plus grand qu’on ne le croirait à lire des essais politiques . Aux heures où l’on y plonge, la vanité des passions politiques appar
30 x heures où l’on y plonge, la vanité des passions politiques apparaît sous un jour nouveau : on voit bien qu’elles sont sans rappo
31 e de son sort personnel. Dans ce sens, toutes les politiques ne sont que politique d’autruche. On se passionne pour des moyens, et
32 . Dans ce sens, toutes les politiques ne sont que politique d’autruche. On se passionne pour des moyens, et c’est pour oublier le
33 our oublier les fins dernières. Pourtant la seule politique vraie serait celle dont tous les moyens seraient vraiment ordonnés au
34 tique. J’estime que seuls ont droit à faire de la politique ceux pour qui nul moyen ne saurait être utilisé, qui ne porte en lui-
35 leurs à de rigoureux développements. C’est que la politique , redisons-le, n’est pas un art : toute forme pure lui échappe. Elle e
36 r un style indépendant de leur objet. Faire de la politique , ce n’est pas là mon choix, c’est une obligation à quoi je me résous
6 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
37 e inconciliables et contradictoires ? Sur le plan politique tout au moins, ils paraissent s’opposer avec une certaine violence ;
38 comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiques seraient sans force, les luttes sociales perdraient beaucoup de leur
39 pourrais encore vous montrer quelles conséquences politiques commande une telle attitude et quelles révolutions, enfin réelles, el
40 och intitula Destin du siècle un recueil d’essais politiques dont le retentissement fut grand. Ce n’est pas ici le titre de M. Blo
7 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
41 e que le tout. Ce qui revient à dire, sur le plan politique , que les droits de l’État priment ceux du citoyen. Voilà ce qui décou
42 re ou n’est pas. Cela revient à dire, sur le plan politique , que l’État n’est rien d’autre qu’une machine destinée à subvenir à l
43 dotée d’une police minime. Une autre conséquence politique du personnalisme, qui marque bien l’opposition de ce système à ceux q
44 qu’ils sont moins étendus. Peut-être ces exemples politiques seront-ils plus probants que les définitions d’un philosophe ? Je tie
8 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
45 ment, que s’il n’y a pas à la base d’une doctrine politique un principe d’actualité, nulle « période de transition » ne sera capa
9 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
46 ni droite23 (Fondements théologiques d’une action politique ) En dépit de la vieille polémique des bien-pensants, il n’existe pl
47 ’est la conception réactionnaire, ou statique, la politique de la contrainte armée, de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarc
48 ciale imposée. C’est une doctrine pessimiste, une politique de la camisole de force. Tel qu’il devrait être : c’est la conceptio
49 t la conception révolutionnaire, ou dynamique, la politique du devenir et de l’évolution fatale. C’est une doctrine optimiste, do
50 e présent injuste, mais dans le futur libérateur. Politique millénariste. À droite, on dit que l’homme est une bête, que c’est là
51 xe essentiel, et non ailleurs, peut se fonder une politique qui mérite le nom de chrétienne. Je la vois caractérisée par deux tra
52 ici le malentendu qui s’institue partout entre la politique et notre foi : la politique s’occupe des moyens, et néglige bientôt l
53 itue partout entre la politique et notre foi : la politique s’occupe des moyens, et néglige bientôt les fins, ou prend les moyens
54 i de sous-estimer les moyens. Ou encore : pour le politique pur, il s’agit toujours d’un ordre établi ou d’un ordre à établir. Po
55 s l’instant, hic et nunc ; l’ordre imposé par une politique est dans l’évolution, dans la durée. Mais il faut que l’ordre reçu s’
56 e chrétien prenne position en présence des partis politiques . S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau
57 la promesse d’être sauvés de son empire. L’action politique nous est nécessaire, comme manger, travailler et penser, mais jamais
58 ger, travailler et penser, mais jamais un système politique ni aucune synthèse humaine n’aura de droit sur nous en tant que perso
59 en tant que vocations. Surtout, jamais un succès politique ne pourra, pour nous, se confondre avec un progrès du salut. Principe
60 onfondre avec un progrès du salut. Principe d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkegaard résume, à mon sens, le
61 fondement et la seule direction possible de toute politique chrétienne : « L’homme seul (devant Dieu) est au-dessus de la collect
62 et devra collaborer avec tous les « mouvements » politiques qui revendiquent les droits supérieurs de la personne par rapport à l
63  voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en politique  : une révolution sans illusions. 23. Réponse à une enquête de la Re
64 sociaux et culturels du temps. 24. Illustration politique  : à tout système qui tend à l’anarchie par excès de confiance dans l’
65 § 4, quelques précisions sur la portée proprement politique de cette formule.
10 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
66 nous ne sommes pas du monde. » Toute construction politique qui ne prend pas au sérieux ce qu’impliquent les deux termes de l’ant
67 . Ainsi se trouvent définies les trois « hérésies politiques  ». 1° L’hérésie pessimiste abandonne à lui-même un monde qui ne saura
68 l prend au sérieux sa foi, participer à un effort politique quelconque ? Ayons le courage de l’affirmer ; il n’est pas de réponse
69 es exigences absolues), tandis qu’au contraire la politique est l’art d’accommoder les relations dans le sens de la plus grande f
70 ens de la plus grande facilité de réalisation. La politique est un art de synthèses pratiques ; son office est de résoudre dans l
71 ales. Doit-on conclure au refus de toute activité politique  ? Ce serait admettre que les deux termes de l’antinomie s’équivalent
72 ls qu’ils sont, — des hommes qui ont besoin d’une politique pour suppléer à leur faiblesse, qui ont besoin tout autant qu’on leur
73 . Telle est, dans son principe, la seule attitude politique que puisse adopter le chrétien : la politique du pessimisme actif, — 
74 ude politique que puisse adopter le chrétien : la politique du pessimisme actif, — ou si l’on veut de l’activisme sans illusions.
75 est peut-être vis-à-vis d’eux seulement que notre politique pourra se fixer un programme : la devise de Guillaume d’Orange est l’
76 urs les bénéfices provisoires qu’il dispense. Une politique chrétienne doit d’abord condamner toutes les « solutions » que nous a
77 ’abri des touches fulgurantes du Saint-Esprit. La politique romaine est la recherche d’une harmonie statique des relations humain
11 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
78 juge toute tentative transformatrice. Il n’est de politique que celle qui réussit. Vous avez tort de vous mettre en souci pour le
79 oses les plus douloureusement incertaines ; de la politique par exemple. J’insiste sur l’aspect humoristique de cette phrase, — s
80 pas de même pour l’incroyant qui joue tout sur la politique , et se voit de la sorte contraint d’accorder une valeur absolue à des
12 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
81 a rupture que nous voulons n’aura de conséquences politiques que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa d
82 dans tout programme prétendu chrétien, dans toute politique humaine organisée — fût-ce à la gloire de Dieu ! — qui poursuivrait s
83 alité ils rendaient à César. Entraînée dans cette politique , la théologie se fait servante de la chose publique. Et que voit-on d
84 contre une force de même ordre. Assez de cette «  politique chrétienne » où l’on embarque une prétendue foi dans les plus discuta
85 je ne puis engager que moi-même, hic et nunc. La politique est affaire de systèmes ; mais l’ordre, pour le chrétien, sera toujou
13 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
86 , qui désigne une conception générale de la vie —  politique , économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par
87 e n’ait pas ses doctrines, et même une expression politique cohérente. Qu’il me suffise de rappeler les écrits de MM. Fernandez41
14 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
88 ion de l’histoire ; sa dialectique ; ses méthodes politiques et sociales. Je puis leur reconnaître une part importante de vérité,
15 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
89 e est-elle devenue rapidement une espèce d’injure politique , un synonyme de méchant homme, d’ennemi du peuple, de bourgeois bruta
90 par les antifascistes va leur dicter une attitude politique , et leur carence doctrinale les empêchera de remarquer que cette atti
91 ale les empêchera de remarquer que cette attitude politique est précisément le fascisme. Je simplifie à l’excès ? Mais nous voyon
92 rminations guère plus complexes que celles-là. La politique devient terriblement primaire dès qu’elle se fait par la radio. Et co
93 s ce livre où je cherche à juger les moyens de la politique du point de vue de ses fins humaines, et ces fins à leur tour du poin
94 our s’établir. Cherchons plutôt à quel niveau une politique donnée entend réaliser ses objectifs ; en d’autres termes, par quelle
95 ’empare des peuples fatigués — démoralisés par la politique  —, incertains de leur mission. Reprenons ces trois caractéristiques.
96 amais fatigué. L’État fasciste met fin aux luttes politiques  : il supprime les partis et jugule la presse. L’État fasciste enfin r
97 Cet unitarisme fasciste couvre des revendications politiques et culturelles assez contradictoires. Il satisfait d’abord les advers
98 sauvegarde le principe fédéraliste. Dans l’ordre politique , ce sont les groupes « personnalistes » qui ont résisté le plus longt
99 aisé de voir qu’il est le véritable antifascisme politique . La personne n’est jamais « au pas ». Elle est aux ordres de sa vocat
16 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
100 ésignent-ils la notion de personne ! — aux forces politiques et historiques qui selon eux déterminent entièrement le devenir révol
101 , le fascisme, leurs mystiques et leurs créations politiques (nationalisme, SDN60, etc.), condamnation de l’individu, de la « pens
17 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
102 ns d’égalité furent néanmoins d’ordre strictement politique . On voulait un système fondé sur l’homme-en-général. On se battit pou
103 citoyens eurent compris que leur égalité purement politique était fictive62 qu’ils commencèrent à soupçonner la duperie. Il leur
104 étuelle. À qui fallait-il être égal ? Sur le plan politique , la réponse était facile ; mais elle ne satisfaisait pas le besoin qu
105 liser. Telle est la formule fondamentale de notre politique . Elle entraîne immédiatement cette constatation : c’est qu’il ne s’ag
106 créatrices, sur le plan économique et sur le plan politique . (Tension organique entre la corporation ou le syndicat d’une part, l
107 rincipes qui seront à la base de l’économie et de politique nouvelles sont identiques à ceux qui seront à la base de la vie socia
108 it que l’égalité ne soit possible que sur le plan politique , bien qu’elle soit prêchée à l’école comme une valeur morale, crée un
18 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
109 ssions Je parle, dans ce livre, de philosophie politique et de doctrines sociales ; cela paraîtra sans doute un comble d’ingén
110 choix — à toutes les personnes averties de l’état politique de l’Europe ; cela ne paraîtra pas même un comble, mais sera tenu pou
111 it les peuples ? Les intérêts et les passions. La politique que vous définissez ne sert ni les uns ni les autres. Elle prétend ag
112 que chose. — Que fait-il ? — Il est dans l’action politique , dans la lutte… — Dans la lutte électorale ? — Dans la réalité pratiq
113 uels ! » Cela signifie : vous cherchez la vérité politique , et nous, nous voulons des discours, du « pratique », c’est-à-dire qu
114 rs et des revendications « excitantes ». Toute la politique qu’on leur sert, de Doumergue à Cachin, est romantisme. C’est parce q
115 Incertitude essentielle de toute considération politique Les fins qu’on veut atteindre par l’action politique peuvent être
116 que Les fins qu’on veut atteindre par l’action politique peuvent être clairement définies, mais elles restent diverses et inco
117 lle » ne se confond nullement avec la distinction politique droite-gauche. Chacun sait qu’il ne suffit pas d’être ruiné pour deve
118 iquer la primauté du spirituel. « Calligraphie politique  » Les fascistes, lorsqu’ils critiquent les plans sociaux des group
119 Folies J’ai parlé plusieurs fois de « folies » politiques . Ne l’ai-je pas fait avec plus d’indignation que de pitié ? Les homme
120 e plutôt des soins que des injures. Cruauté de la politique  : non point que les gens qui la font soient très méchants ; mais ils
121 Sobre et prodigue. Grattez un peu le conformisme politique , en Allemagne, en Russie, en Italie, vous retrouverez ce visage, cett
19 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
122 roupements personnalistes Le drame de la France politique , c’est la carence du socialisme véritable. L’esprit parlementaire a d
123 t cependant patriotes ; fédéralistes dans le plan politique européen, et personnalistes dans le plan moral, ils occupent une posi
124 i contre le préjugé le plus nocif de la mentalité politique française. C’est un volume entier qu’il faudrait consacrer à la criti
125 de base : Spirituel d’abord, Économique ensuite, Politique à leur service. Il est facile d’indiquer rapidement le principe de co
126 t d’autre part à une conception de l’organisation politique radicalement antiétatiste, fédéraliste, ou mieux communaliste. L’ass
127 au de statistiques et de répartition ; les tâches politiques étant confiées à la fédération des « petites patries régionales ».  
20 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
128 d’humain en nous-mêmes : la personne. Sur le plan politique , le premier acte que nous exigeons d’un révolutionnaire, c’est un act
129 arti, en tant que formation d’action, sur le plan politique . D’où la condamnation, bien entendu, du Parlement. Le Parlement : une
130 octrine de L’Ordre nouveau  : les revendications politiques qu’elle comporte ne sont pas l’« aboutissement » de ses principes sur
131 e plan éthique et culturel, fondement sur le plan politique , des partis, considérés comme les organes indispensables de toute « r
21 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
132 tions philosophiques et leurs conclusions d’ordre politique et social. Ces conclusions ne manqueront pas d’impressionner certain
133 thèse, qui justifie en philosophie le monisme, en politique les tyrannies abstraites, Dandieu reprend l’argumentation que Proudho
134 s l’identité, à vrai dire surprenante, des thèses politiques de Proudhon et des thèses philosophiques, de Kierkegaard contre la di