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1.L’engagement
politique
J’ai, pour la politique, une espèce d’aversion naturelle. L’aveu pa
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1.L’engagement politique J’ai, pour la
politique
, une espèce d’aversion naturelle. L’aveu paraîtra maladroit au seuil
3
d’adresse au jour le jour qui tient lieu de vertu
politique
à ce siècle débile et fiévreux ? On se demande alors de quoi je me mê
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logique dans l’application du système. L’État, sa
politique
, ses décrets, ses brimades, représentent dans notre siècle un monstru
5
n me fait sur le territoire ennemi. Je fais de la
politique
pour qu’on n’en fasse plus, ou plutôt pour qu’un jour des hommes comm
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ence. Ou plus exactement encore, si je fais de la
politique
, c’est bien moins pour sauver le monde que pour accomplir les devoirs
7
oncret, — et découvre bientôt qu’il est social ou
politique
. Ce n’était pas ce qu’elle cherchait, elle avait cru voir autre chose
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sque de s’y dégrader. J’ai préféré ce risque à la
politique
de l’autruche. L’issue fût-elle désespérée. Et peut-être ne l’est-ell
9
bourgeoise aboutit à la conception brutale d’une
politique
stalinienne ou fasciste, qui ne connaît plus d’autre autorité que la
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ls qu’il appartient de l’exercer dans le désordre
politique
. Pratiquement et spirituellement, il n’y a pas pour nous de tâche plu
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ses destins. Ils constatent que, dans la réalité
politique
, ce sont encore des hommes qui agissent, et non pas du tout ces faux
12
du niveau proprement humain. Cela éclate dans sa
politique
: elle affirme la Paix, le Droit, l’Humanité ; elle ne respecte en fa
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4.Pour une
politique
à hauteur d’homme Toute la question est de savoir à quel niveau l’o
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le définition de l’homme est impliquée dans telle
politique
qu’on défend. C’est cette question qu’on a cessé de poser dans le mon
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sé de poser dans le monde des politiciens ! Si la
Politique
est l’art de gouverner les hommes, il ne saurait être indifférent à c
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our respecter en lui sa raison d’être. Les partis
politiques
ne possèdent, il est vrai, ni à gauche ni à droite, aucune définition
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des « milieux » dirigeants, pour toute cette vie
politique
sans rapports organiques avec la vie réelle du pays. Elle affirme la
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gauches. Changeons de plan ! Reposons la question
politique
dans une perspective humaine, et non plus dans « l’optique parlementa
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et non plus dans « l’optique parlementaire ». Une
politique
à hauteur d’homme, c’est une politique dont le principe de cohérence
20
ire ». Une politique à hauteur d’homme, c’est une
politique
dont le principe de cohérence s’appelle la responsabilité de la perso
21
a personne humaine. En d’autres termes, c’est une
politique
dont chaque temps et chaque but se trouvent subordonnés à la défense
22
odule universel de toutes les institutions. Cette
politique
s’oppose au gigantisme américain, soviétique et capitaliste ; elle s’
23
la personne. On n’y atteindra jamais que par une
politique
établie dès le départ à ce niveau. 9. Jean-Richard Bloch, parlant d
24
oyable de la définition humaine. » (Offrande à la
politique
, p. 255.) Ignorance héritée, si l’on peut dire, par les adversaires d
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fs peuvent très bien revêtir les apparences d’une
politique
supérieure, et comme tels se voir adoptés par des clercs même incroya
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l’économie de mes « raisons » d’agir sur le plan
politique
, si d’une part toute foi est action, s’il est vrai d’autre part qu’un
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à cette espèce d’équivoque ? Dès qu’il fait de la
politique
, il est bien obligé de parler le langage du monde, et cependant il l’
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tre « l’ordre établi » ; il dit pis que pendre la
politique
, et il voudrait que la Pensée s’en mêle. Il nous parle de la personne
29
plus grand qu’on ne le croirait à lire des essais
politiques
. Aux heures où l’on y plonge, la vanité des passions politiques appar
30
x heures où l’on y plonge, la vanité des passions
politiques
apparaît sous un jour nouveau : on voit bien qu’elles sont sans rappo
31
e de son sort personnel. Dans ce sens, toutes les
politiques
ne sont que politique d’autruche. On se passionne pour des moyens, et
32
. Dans ce sens, toutes les politiques ne sont que
politique
d’autruche. On se passionne pour des moyens, et c’est pour oublier le
33
our oublier les fins dernières. Pourtant la seule
politique
vraie serait celle dont tous les moyens seraient vraiment ordonnés au
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tique. J’estime que seuls ont droit à faire de la
politique
ceux pour qui nul moyen ne saurait être utilisé, qui ne porte en lui-
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leurs à de rigoureux développements. C’est que la
politique
, redisons-le, n’est pas un art : toute forme pure lui échappe. Elle e
36
r un style indépendant de leur objet. Faire de la
politique
, ce n’est pas là mon choix, c’est une obligation à quoi je me résous
37
e inconciliables et contradictoires ? Sur le plan
politique
tout au moins, ils paraissent s’opposer avec une certaine violence ;
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comprise serait impossible. Sans eux, les partis
politiques
seraient sans force, les luttes sociales perdraient beaucoup de leur
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pourrais encore vous montrer quelles conséquences
politiques
commande une telle attitude et quelles révolutions, enfin réelles, el
40
och intitula Destin du siècle un recueil d’essais
politiques
dont le retentissement fut grand. Ce n’est pas ici le titre de M. Blo
41
e que le tout. Ce qui revient à dire, sur le plan
politique
, que les droits de l’État priment ceux du citoyen. Voilà ce qui décou
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re ou n’est pas. Cela revient à dire, sur le plan
politique
, que l’État n’est rien d’autre qu’une machine destinée à subvenir à l
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dotée d’une police minime. Une autre conséquence
politique
du personnalisme, qui marque bien l’opposition de ce système à ceux q
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qu’ils sont moins étendus. Peut-être ces exemples
politiques
seront-ils plus probants que les définitions d’un philosophe ? Je tie
45
ment, que s’il n’y a pas à la base d’une doctrine
politique
un principe d’actualité, nulle « période de transition » ne sera capa
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ni droite23 (Fondements théologiques d’une action
politique
) En dépit de la vieille polémique des bien-pensants, il n’existe pl
47
’est la conception réactionnaire, ou statique, la
politique
de la contrainte armée, de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarc
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ciale imposée. C’est une doctrine pessimiste, une
politique
de la camisole de force. Tel qu’il devrait être : c’est la conceptio
49
t la conception révolutionnaire, ou dynamique, la
politique
du devenir et de l’évolution fatale. C’est une doctrine optimiste, do
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e présent injuste, mais dans le futur libérateur.
Politique
millénariste. À droite, on dit que l’homme est une bête, que c’est là
51
xe essentiel, et non ailleurs, peut se fonder une
politique
qui mérite le nom de chrétienne. Je la vois caractérisée par deux tra
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ici le malentendu qui s’institue partout entre la
politique
et notre foi : la politique s’occupe des moyens, et néglige bientôt l
53
itue partout entre la politique et notre foi : la
politique
s’occupe des moyens, et néglige bientôt les fins, ou prend les moyens
54
i de sous-estimer les moyens. Ou encore : pour le
politique
pur, il s’agit toujours d’un ordre établi ou d’un ordre à établir. Po
55
s l’instant, hic et nunc ; l’ordre imposé par une
politique
est dans l’évolution, dans la durée. Mais il faut que l’ordre reçu s’
56
e chrétien prenne position en présence des partis
politiques
. S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau
57
la promesse d’être sauvés de son empire. L’action
politique
nous est nécessaire, comme manger, travailler et penser, mais jamais
58
ger, travailler et penser, mais jamais un système
politique
ni aucune synthèse humaine n’aura de droit sur nous en tant que perso
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en tant que vocations. Surtout, jamais un succès
politique
ne pourra, pour nous, se confondre avec un progrès du salut. Principe
60
onfondre avec un progrès du salut. Principe d’une
politique
du pessimisme actif. Une phrase de Kierkegaard résume, à mon sens, le
61
fondement et la seule direction possible de toute
politique
chrétienne : « L’homme seul (devant Dieu) est au-dessus de la collect
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et devra collaborer avec tous les « mouvements »
politiques
qui revendiquent les droits supérieurs de la personne par rapport à l
63
voilà peut-être définie l’attitude chrétienne en
politique
: une révolution sans illusions. 23. Réponse à une enquête de la Re
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sociaux et culturels du temps. 24. Illustration
politique
: à tout système qui tend à l’anarchie par excès de confiance dans l’
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§ 4, quelques précisions sur la portée proprement
politique
de cette formule.
66
nous ne sommes pas du monde. » Toute construction
politique
qui ne prend pas au sérieux ce qu’impliquent les deux termes de l’ant
67
. Ainsi se trouvent définies les trois « hérésies
politiques
». 1° L’hérésie pessimiste abandonne à lui-même un monde qui ne saura
68
l prend au sérieux sa foi, participer à un effort
politique
quelconque ? Ayons le courage de l’affirmer ; il n’est pas de réponse
69
es exigences absolues), tandis qu’au contraire la
politique
est l’art d’accommoder les relations dans le sens de la plus grande f
70
ens de la plus grande facilité de réalisation. La
politique
est un art de synthèses pratiques ; son office est de résoudre dans l
71
ales. Doit-on conclure au refus de toute activité
politique
? Ce serait admettre que les deux termes de l’antinomie s’équivalent
72
ls qu’ils sont, — des hommes qui ont besoin d’une
politique
pour suppléer à leur faiblesse, qui ont besoin tout autant qu’on leur
73
. Telle est, dans son principe, la seule attitude
politique
que puisse adopter le chrétien : la politique du pessimisme actif, —
74
ude politique que puisse adopter le chrétien : la
politique
du pessimisme actif, — ou si l’on veut de l’activisme sans illusions.
75
est peut-être vis-à-vis d’eux seulement que notre
politique
pourra se fixer un programme : la devise de Guillaume d’Orange est l’
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urs les bénéfices provisoires qu’il dispense. Une
politique
chrétienne doit d’abord condamner toutes les « solutions » que nous a
77
’abri des touches fulgurantes du Saint-Esprit. La
politique
romaine est la recherche d’une harmonie statique des relations humain
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juge toute tentative transformatrice. Il n’est de
politique
que celle qui réussit. Vous avez tort de vous mettre en souci pour le
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oses les plus douloureusement incertaines ; de la
politique
par exemple. J’insiste sur l’aspect humoristique de cette phrase, — s
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pas de même pour l’incroyant qui joue tout sur la
politique
, et se voit de la sorte contraint d’accorder une valeur absolue à des
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a rupture que nous voulons n’aura de conséquences
politiques
que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa d
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dans tout programme prétendu chrétien, dans toute
politique
humaine organisée — fût-ce à la gloire de Dieu ! — qui poursuivrait s
83
alité ils rendaient à César. Entraînée dans cette
politique
, la théologie se fait servante de la chose publique. Et que voit-on d
84
contre une force de même ordre. Assez de cette «
politique
chrétienne » où l’on embarque une prétendue foi dans les plus discuta
85
je ne puis engager que moi-même, hic et nunc. La
politique
est affaire de systèmes ; mais l’ordre, pour le chrétien, sera toujou
86
, qui désigne une conception générale de la vie —
politique
, économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par
87
e n’ait pas ses doctrines, et même une expression
politique
cohérente. Qu’il me suffise de rappeler les écrits de MM. Fernandez41
88
ion de l’histoire ; sa dialectique ; ses méthodes
politiques
et sociales. Je puis leur reconnaître une part importante de vérité,
89
e est-elle devenue rapidement une espèce d’injure
politique
, un synonyme de méchant homme, d’ennemi du peuple, de bourgeois bruta
90
par les antifascistes va leur dicter une attitude
politique
, et leur carence doctrinale les empêchera de remarquer que cette atti
91
ale les empêchera de remarquer que cette attitude
politique
est précisément le fascisme. Je simplifie à l’excès ? Mais nous voyon
92
rminations guère plus complexes que celles-là. La
politique
devient terriblement primaire dès qu’elle se fait par la radio. Et co
93
s ce livre où je cherche à juger les moyens de la
politique
du point de vue de ses fins humaines, et ces fins à leur tour du poin
94
our s’établir. Cherchons plutôt à quel niveau une
politique
donnée entend réaliser ses objectifs ; en d’autres termes, par quelle
95
’empare des peuples fatigués — démoralisés par la
politique
—, incertains de leur mission. Reprenons ces trois caractéristiques.
96
amais fatigué. L’État fasciste met fin aux luttes
politiques
: il supprime les partis et jugule la presse. L’État fasciste enfin r
97
Cet unitarisme fasciste couvre des revendications
politiques
et culturelles assez contradictoires. Il satisfait d’abord les advers
98
sauvegarde le principe fédéraliste. Dans l’ordre
politique
, ce sont les groupes « personnalistes » qui ont résisté le plus longt
99
aisé de voir qu’il est le véritable antifascisme
politique
. La personne n’est jamais « au pas ». Elle est aux ordres de sa vocat
100
ésignent-ils la notion de personne ! — aux forces
politiques
et historiques qui selon eux déterminent entièrement le devenir révol
101
, le fascisme, leurs mystiques et leurs créations
politiques
(nationalisme, SDN60, etc.), condamnation de l’individu, de la « pens
102
ns d’égalité furent néanmoins d’ordre strictement
politique
. On voulait un système fondé sur l’homme-en-général. On se battit pou
103
citoyens eurent compris que leur égalité purement
politique
était fictive62 qu’ils commencèrent à soupçonner la duperie. Il leur
104
étuelle. À qui fallait-il être égal ? Sur le plan
politique
, la réponse était facile ; mais elle ne satisfaisait pas le besoin qu
105
liser. Telle est la formule fondamentale de notre
politique
. Elle entraîne immédiatement cette constatation : c’est qu’il ne s’ag
106
créatrices, sur le plan économique et sur le plan
politique
. (Tension organique entre la corporation ou le syndicat d’une part, l
107
rincipes qui seront à la base de l’économie et de
politique
nouvelles sont identiques à ceux qui seront à la base de la vie socia
108
it que l’égalité ne soit possible que sur le plan
politique
, bien qu’elle soit prêchée à l’école comme une valeur morale, crée un
109
ssions Je parle, dans ce livre, de philosophie
politique
et de doctrines sociales ; cela paraîtra sans doute un comble d’ingén
110
choix — à toutes les personnes averties de l’état
politique
de l’Europe ; cela ne paraîtra pas même un comble, mais sera tenu pou
111
it les peuples ? Les intérêts et les passions. La
politique
que vous définissez ne sert ni les uns ni les autres. Elle prétend ag
112
que chose. — Que fait-il ? — Il est dans l’action
politique
, dans la lutte… — Dans la lutte électorale ? — Dans la réalité pratiq
113
uels ! » Cela signifie : vous cherchez la vérité
politique
, et nous, nous voulons des discours, du « pratique », c’est-à-dire qu
114
rs et des revendications « excitantes ». Toute la
politique
qu’on leur sert, de Doumergue à Cachin, est romantisme. C’est parce q
115
Incertitude essentielle de toute considération
politique
Les fins qu’on veut atteindre par l’action politique peuvent être
116
que Les fins qu’on veut atteindre par l’action
politique
peuvent être clairement définies, mais elles restent diverses et inco
117
lle » ne se confond nullement avec la distinction
politique
droite-gauche. Chacun sait qu’il ne suffit pas d’être ruiné pour deve
118
iquer la primauté du spirituel. « Calligraphie
politique
» Les fascistes, lorsqu’ils critiquent les plans sociaux des group
119
Folies J’ai parlé plusieurs fois de « folies »
politiques
. Ne l’ai-je pas fait avec plus d’indignation que de pitié ? Les homme
120
e plutôt des soins que des injures. Cruauté de la
politique
: non point que les gens qui la font soient très méchants ; mais ils
121
Sobre et prodigue. Grattez un peu le conformisme
politique
, en Allemagne, en Russie, en Italie, vous retrouverez ce visage, cett
122
roupements personnalistes Le drame de la France
politique
, c’est la carence du socialisme véritable. L’esprit parlementaire a d
123
t cependant patriotes ; fédéralistes dans le plan
politique
européen, et personnalistes dans le plan moral, ils occupent une posi
124
i contre le préjugé le plus nocif de la mentalité
politique
française. C’est un volume entier qu’il faudrait consacrer à la criti
125
de base : Spirituel d’abord, Économique ensuite,
Politique
à leur service. Il est facile d’indiquer rapidement le principe de co
126
t d’autre part à une conception de l’organisation
politique
radicalement antiétatiste, fédéraliste, ou mieux communaliste. L’ass
127
au de statistiques et de répartition ; les tâches
politiques
étant confiées à la fédération des « petites patries régionales ».
128
d’humain en nous-mêmes : la personne. Sur le plan
politique
, le premier acte que nous exigeons d’un révolutionnaire, c’est un act
129
arti, en tant que formation d’action, sur le plan
politique
. D’où la condamnation, bien entendu, du Parlement. Le Parlement : une
130
octrine de L’Ordre nouveau : les revendications
politiques
qu’elle comporte ne sont pas l’« aboutissement » de ses principes sur
131
e plan éthique et culturel, fondement sur le plan
politique
, des partis, considérés comme les organes indispensables de toute « r
132
tions philosophiques et leurs conclusions d’ordre
politique
et social. Ces conclusions ne manqueront pas d’impressionner certain
133
thèse, qui justifie en philosophie le monisme, en
politique
les tyrannies abstraites, Dandieu reprend l’argumentation que Proudho
134
s l’identité, à vrai dire surprenante, des thèses
politiques
de Proudhon et des thèses philosophiques, de Kierkegaard contre la di