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nts dans toutes les formes élaborées, — éthiques,
politiques
, artistiques… C’est ainsi que j’ai cherché dans les œuvres d’un Goeth
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’ailleurs, ce mot d’un bon observateur des choses
politiques
, William Martin : « Les masses seraient volontiers internationalistes
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a jamais à « utiliser » Kierkegaard pour des fins
politiques
et temporelles. Il se dresse au seuil de l’époque, comme la plus radi
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er, s’habiller, s’endormir — car pour l’amour, la
politique
, etc., il ne doit pas, bien entendu, rester la moindre place dans une
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façons, n’étant pas même révolutionnaire, au sens
politique
de ce terme, parce qu’il est vraiment radical76. Et ce n’est pas qu’i
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’usure des mots, aggravés par la presse et par la
politique
, ont peu à peu fait passer pour communes des significations qui à vra
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dans son essence, m’apparaît comme un romantisme
politique
. Et je ne dis pas du tout que les écrits d’un Novalis ou d’un Jean Pa
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raité qui nous accusent, toutes ces règles du jeu
politique
inventées par des rationalistes, alors que nous voulons une passion n
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lui présente une opinion juste… D’ailleurs notre
politique
est une politique d’artistes. Le Führer est un artiste de la politiqu
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opinion juste… D’ailleurs notre politique est une
politique
d’artistes. Le Führer est un artiste de la politique. Les autres homm
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itique d’artistes. Le Führer est un artiste de la
politique
. Les autres hommes d’État sont seulement des manœuvres. Son État à lu
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est le produit d’une imagination géniale »92. Une
politique
« d’artistes », une politique de romantisme collectif, mais à l’usage
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on géniale »92. Une politique « d’artistes », une
politique
de romantisme collectif, mais à l’usage des philistins, voilà le cauc
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h somnambulique. Maladie religieuse bien plus que
politique
, et dont les causes doivent être recherchées au plus secret de la con