1 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). L’anxiété de l’homme moderne
1 au patriotisme local et instinctif ; les passions politiques ont remplacé les convictions traditionnelles. Mais le nationalisme et
2 le pays, bons pour acheter un billet, certificats politiques , etc., qui sont, comme chacun sait, nécessaires pour voyager ? » Il f
2 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
3 e sortir de ses frontières, sauf pour des raisons politiques . La liberté de circuler, quoique imparfaite, paraît donc « défendable
4 dans son coin), le droit d’opposition dans la vie politique , le droit d’avoir trop de journaux et trop de partis, et même le droi
3 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
5 les dictatures, les troupes de choc militaires et politiques , ou simplement l’anonymat collectiviste. D’autres, habitués jusqu’à l
6 e succès des publicités, propagandes et mystiques politiques . Mais il me semble au contraire qu’il renaît dans les plus jeunes gén
7 nous dotant d’instruments modernes et puissants ( politiques , scientifiques, économiques, sociaux) au service de la vocation commu