1 lles œuvres littéraires. Mais elle porte un nom «  politique  ». Je la retrouve, étrangement identique, aux origines profondes d’un

2 ntômes envahissent les domaines les plus divers : politique , lutte des classes, sentiment national, tout devient prétexte à « pas

3 ndes conséquences pour la morale, l’éducation, la politique . Un fort gros livre ne serait pas de trop pour en démêler les aspects

4 la conduite même des batailles, et jusque dans la politique . Le formalisme militaire revêt à cette époque une valeur d’absolu rel

5 cette même main avec sa parole. » Quant aux idées politiques inspirées au Moyen Âge par la conception chevaleresque, ce sont essen

6 français. Que de grands diplomates, que de grands politiques sans nom, plus habiles que Dubois, plus insinuants que Bernis, parmi

7 évolution, phénomène beaucoup plus passionnel que politique , au sens strict du terme196. Longtemps contenue dans les formes class

8 astration ». 11.La passion transportée dans la politique Chassée du champ de la guerre chevaleresque, lorsque ce champ cess

9 Et le premier qui s’est offert, c’est le théâtre politique . La politique de masses, telle qu’on l’a pratiquée depuis 1917, n’est

10 qui s’est offert, c’est le théâtre politique. La politique de masses, telle qu’on l’a pratiquée depuis 1917, n’est que la contin

11 totale anéantit toute possibilité de passion, la politique ne fait que transposer les passions individuelles au niveau de l’être

12 r les preuves de ce nouveau parallélisme entre la politique et la passion. L’ascèse collectivisée, ce sont les restrictions que l

13 étourdir de paroles flatteuses : ainsi nos hommes politiques quand ils courtisent une assemblée électorale. Hitler est plus brutal

14 loppée par tous les moyens techniques, et parfois politiques , en sorte que le choix d’un type de femme échappe de plus en plus au

15 ps francs dans les pays baltes, les crimes dits «  politiques  » exécutés par des ligues de jeunes gens, certaines formes de naturis