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e7 (ce très lucide antichrétien) et nos principes
politiques
en dérivent. Or notre idée de la science et nos principes d’égalité,
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ut le début de l’expansion séculaire, économique,
politique
et religieuse, d’un petit cap de l’Asie rongé de mers et de Turcs, qu
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uête militaire, la prise du pouvoir économique ou
politique
, enfin la colonisation. De siècle en siècle, les continents découvert
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plus tard, Aristote reprend ce parallèle dans sa
Politique
, livre VII, chapitre 6, et ajoute que « la race des Grecs », parce qu
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ient entre 480 et 750 millions, selon la tendance
politique
des démographes. L’Europe de l’Ouest (Finlande et Yougoslavie incluse
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e sociale d’un village. Elle y joue un grand rôle
politique
et civique. Mais c’est peut-être aux dépens de la rigueur d’une doctr
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n URSS, et l’inexistence des cafés littéraires et
politiques
aux États-Unis, ne sont pas seulement déplorées par quelques voyageur
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seulement à ses problèmes — éducatifs, sociaux et
politiques
— mais aussi aux nouvelles tâches mondiales que lui impose la diffusi
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ités en divisions rigides et morbides — divisions
politiques
, puis économiques, et qui finissent par s’attaquer même à cette base
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édération, sortirait de mon propos, qui n’est pas
politique
, et du cadre de ces leçons. Il me paraît en revanche indispensable de
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et de grands philosophes et quelques fortes têtes
politiques
, de Dante à Victor Hugo en passant par Goethe, de Sully à Churchill e
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st en réalité, à l’origine, qu’un projet purement
politique
de pacte supranational des princes protestants et catholiques contre
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iastiques ou « Consistoire », et celui des hommes
politiques
, ou « Cour de justice ». Et citons cette phrase mémorable : « La lumi
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e un message aussi précis, un message d’ingénieur
politique
. L’âge industriel, inauguré par l’espérance libertaire des démocrates
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euxième Guerre mondiale que s’organise une action
politique
, économique et culturelle, bien décidée à transformer en réalités imm
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ésignent les buts moraux, sociaux, économiques et
politiques
d’une union de leurs pays et ils déclarent : Ces buts ne peuvent êtr
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ralistes ou unionistes, de quelques grands hommes
politiques
, et de plus de 800 députés, dirigeants syndicalistes, intellectuels e
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eprésentés en fait par ses trois commissions : la
politique
, l’économique et la culturelle, c’est-à-dire la paix par la fédératio
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) Voici donc ce qui s’est réalisé. La commission
politique
de La Haye avait demandé l’institution d’un Conseil de l’Europe, doté
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cet élan doive trouver sous peu son couronnement
politique
, dans quelque forme d’association, d’intégration ou de fédération. En
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ssembler les peuples de l’Europe en un seul corps
politique
, en conservant à chacun son indépendance nationale, Paris, 1814. 35.
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apporteurs des trois commissions étaient, pour la
politique
Paul Ramadier, René Courtin et R. W. G. Mackay ; pour l’économique Pa
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osent encore quand il s’agit d’en venir à l’union
politique
. Celle de l’alliance des États, celle de l’intégration totale, et cel
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s, et l’autre par la mise en place d’institutions
politiques
communes. Coïncidence très remarquable, et qui mériterait de susciter
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aradoxal, qui domine notre situation : le retrait
politique
de l’Europe coïncide avec l’adoption accélérée de notre civilisation
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grable hors du contexte de ses origines raciales,
politiques
et religieuses. Nous savons tous aussi comment s’est opérée sa diffus
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les plus diverses : missionnaires, commerciales,
politiques
, ou simplement aventurières, les Européens, en désordre, et sans le m
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e les Anglais n’avaient jamais touché. Les partis
politiques
prolifèrent, l’industrie lourde se développe, le contrôle des naissan
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que soit décrétée l’adoption immédiate de mesures
politiques
et sociales, hygiéniques, urbanistes, techniques, industrielles, tout
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a Hayek, l’adoration de la puissance militaire et
politique
, une bureaucratie qu’on ne pourra plus extirper, la multiplication de
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dans son ensemble et vue de loin, des agitateurs
politiques
, des commerçants incultes et nos plus mauvais films. Nous exportons p
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te notre faute, car nous n’avons jamais conçu une
politique
de civilisation répondant à l’ampleur des exigences du siècle et de n
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histoire chaque fois qu’il s’agit de justifier la
politique
du souverain ou du parti au pouvoir56 ; à quoi s’ajoute 50 % du marxi
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piques des débats philosophiques, théologiques et
politiques
qui définissent l’esprit européen au xixe siècle. Ce sont donc des v
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té ; entre diversité et unité dans l’organisation
politique
; et tout d’abord mais aussi finalement : entre la passion et l’avent
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s du chauvinisme, et à des mesures économiques ou
politiques
visiblement indéfendables du point de vue de leurs propres intérêts,
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nt, si nous prenons résolument l’initiative d’une
politique
mondiale de civilisation. Les vraies chances de l’Europe ne dépendent
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trouvera de bons exemples de ces processus, tant
politiques
qu’économiques, cités et commentés notamment par le professeur Ibrahi
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er de l’état d’arriération économique, sociale et
politique
des régions qui devinrent pour un temps colonies, et qui prennent sou