1
tiens qu’entre les mêmes dates, l’école de pensée
politique
la plus radicalement hostile à toutes les formes totalitaires d’État-
2
, tout indépendamment des réalités économiques et
politiques
, l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il reste qu’un Empédo
3
ient de guérir par des moyens appropriés, par une
politique
ou par une morale. D’une part l’on tient la déficience pour essentiel
4
epuis la chute de Bismarck, coupées de tous liens
politiques
avec une Europe bourgeoise, résignées à « laisser ce monde aux Juifs
5
ceux qu’on envoyait à l’armée, font parfois de la
politique
: le mouvement national-socialiste les flatte mais ne vainc pas souve
6
magnat, beaucoup de gens comprendraient mieux sa
politique
. Les coussins Rothermere Le nationalisme de la plupart des État
7
sentiel. Rien n’est grave, que le sentiment, — en
politique
comme ailleurs. Songez à ce qui forme l’opinion, cet ensemble de myth
8
rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la
politique
des peuples ressemble à celle des individus, pour ce qui est du moins
9
’y suis allé avec des camarades de petits groupes
politiques
en formation. J’ai dormi dans le filet à bagages d’un wagon de troisi
10
er, non sans références à Calvin pour la doctrine
politique
, que je définirai dès le premier numéro comme une « politique de pess
11
ue je définirai dès le premier numéro comme une «
politique
de pessimisme actif ». Quant à l’attitude que veut signifier notre ti
12
ce de mes options théologiques, philosophiques et
politiques
. Et elle me permettait surtout de ne pas me laisser emprisonner dans
13
s et de nos certitudes nouvelles des conséquences
politiques
et sociales, et ceci me ramenait vers les deux autres groupes. Ma pos
14
ésignent-ils la notion de personne ! — aux forces
politiques
et historiques qui, selon eux, déterminent entièrement le devenir rév
15
, le fascisme, leurs mystiques et leurs créations
politiques
, condamnation de l’individu, de la « pensée » bourgeoise (la pensée s
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vains : je ne connaissais apparemment aucun homme
politique
notable. Voici quelques exemples : Paul Desjardins : grand intérêt, é
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joué par de jeunes intellectuels sans expérience
politique
. On peut y lire que Nizan sera durement écœuré quelques années plus t
18
e l’individu des libéraux, mais aussi du « soldat
politique
» des totalitaires devint bientôt le pont aux ânes des discussions po
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ique, le social et l’économique, le civisme et la
politique
: souci « totalitaire » au seul sens acceptable. Mais dans l’argument
20
tatisme totalitaire, nous opposons le fédéralisme
politique
et économique, seul régime capable de sauvegarder les libertés et de
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prévenir les guerres totales. x. — Dans l’ordre
politique
, le fédéralisme ne peut se constituer que sur la base des communes au
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leurs lectures, les journaux qu’ils achètent, la
politique
, ou la religion qu’ils suivent, ils se taisent bien vite, ou se remet
23
peuple à ne pouvoir se libérer des charlataneries
politiques
autrement que par des violences maladroites, dont il ne sera pas le d
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t-il ? D’ailleurs on n’en a jamais vu. Quant à la
politique
, c’est tout à fait autre chose. C’est un certain nombre de phrases qu
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qui ne m’a pas empêché jusqu’ici de m’occuper de
politique
par exemple… Mais déjà je me sens moins assuré dans ma bonne conscien
26
un signe de surdité spirituelle totale. Seule la
politique
est encore capable de pousser les hommes à des violences. L’héroïsme
27
ns de contemporains. D’autant plus que des partis
politiques
« dangereux » prennent soin de vous le rappeler avec une insistance i
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mpitoyable. Alors on se rabat sur des discussions
politiques
, ou sur la philanthropie. On parle du péril social créé par le chômag
29
socialistes, ils se bornent à utiliser l’argument
politique
du chômage, soit enfin qu’une gêne assez compréhensible les retienne
30
même. (Double « censure » opérée par les passions
politiques
et par les croyances morales.) Voici donc le dilemme : ou bien l’on e
31
) tiennent presque toute la place. Abîme entre la
politique
des amis du peuple, et la réalité du peuple : rien ne le rend plus se
32
ur les noms des notables et sur le jeu des partis
politiques
. Et que dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une résurrection d
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ou des revues à l’essai mais c’est toujours de la
politique
. Quand j’étais jeune, j’ai beaucoup lu Anatole France, c’est à cause
34
éressant à lire ? — Vous ne lisez pas de journaux
politiques
? — Ce n’est pas ce qu’on cherche. Il faudrait en lire deux au moins
35
qu’il n’y aurait pas moyen de faire un mouvement
politique
en dehors des partis et de voir une fois ce qu’il y aurait à changer
36
les libérer de l’ancien ; et l’alibi d’une action
politique
à laquelle ils n’entendent goutte. Je ne sais plus quel poète a écrit
37
ison. Mais alors il importe de trouver des moyens
politiques
qui empêchent cette santé, ce goût du risque, de se transformer mécan
38
gle le jeu des relations humaines et les opinions
politiques
). Le marxisme traite tout cela de nuances vaines, d’illusions, voire
39
rale, un art et une métaphysique ! Problème de la
politique
actuelle : sera-t-elle l’affaire du meilleur statisticien, ou, au con
40
menait. Pendant tout l’entretien — littérature et
politique
— il avait l’air furieux, cet air qu’on a, je crois, très facilement
41
role au Cercle d’hommes, citent des livres sur la
politique
… 12 novembre 1934 J’ai relevé quelques chiffres dans un ouvrage
42
ous savez, tout y est, c’est attrapé, le curé, la
politique
et tout38 !… » Les éditeurs s’efforcent de répondre à la demande du p
43
arlé avec plusieurs jeunes gens. Quelles opinions
politiques
, dans ce cercle ? — Il y a de tout. Le quincaillier est royaliste, un
44
es de pasteurs. Je me suis initié à la géographie
politique
et même spirituelle du département. J’ai vu plusieurs presbytères. J’
45
croit plus ni à Dieu ni à diable et à peine à la
politique
, l’hiver est « pourri », la « pulmonie » fait des ravages, et ces coc
46
ent, à entrer à l’Académie, voire à jouer un rôle
politique
: pour faire figure, pour acquérir une situation bien définie dans le
47
moi, c’est un fasciste ! » Toutes nos confusions
politiques
résumées dans cette petite phrase ! Je me dis : C’est bien ma faute.
48
une prudence qui est le fondement même de toute «
politique
». Et si j’avoue et légitime la réalité de mes superstitions, il faut
49
tre aussi les droits du général. Qu’est-ce que la
politique
, sinon le général en tant qu’il s’oppose au réel, lequel est fait de
50
la société dans l’anarchie la plus sanglante. La
politique
ne doit jamais partir de la réalité irrationnelle de l’homme : d’aill
51
à leur bien le plus précieux !) Au contraire, la
politique
doit aller à l’encontre de la réalité individuelle, et c’est pour ell
52
lentendu en soutenant à plusieurs reprises que la
politique
idéale devrait partir de la personne. Elle doit tenir compte de la pe
53
: pédagogique. Il est de l’essence de toute saine
politique
de s’opposer à la personne, de limiter son expansion, de combattre en
54
e en définitive le réel que nous incarnons. Toute
politique
est normative, mais seulement de l’extérieur. Une politique saine ne
55
est normative, mais seulement de l’extérieur. Une
politique
saine ne saurait donc partir de la personne, mais au contraire de l’i
56
sciplines.) Ainsi le but final, le télos de toute
politique
, c’est la suppression de l’État, la libération des personnes au momen
57
elle sort du domaine personnel et déborde dans la
politique
. On devine peut-être pourquoi. C’est qu’elle forme la composante prop
58
e perversion, elle se met à jouer au profit de la
politique
et des doctrines d’État qui doivent justement la combattre, le désord
59
obisme antibourgeois ou prolétarien, de méfiances
politiques
, d’arrière-sentiments religieux, de rancunes, de souvenirs… On ne peu
60
e aux vieux ! » À la prochaine enquête sur l’état
politique
de la France, je me promets de répondre ceci : « La France est un pay
61
nsées, toutes nos actions, tous nos systèmes… Une
politique
, une éthique, une idée qui ne peuvent être rapportées à la situation
62
s — bourgeois ou intellectuels — qui détestent la
politique
et la combine électorale. Au lieu de quoi, on pervertit les révoltes
63
ce, une absolue disponibilité.) 2 mai 1935
Politique
et réalité. — Je sors d’une réunion populaire qui s’est tenue dans la
64
hie. Et cela finit toujours par une discussion de
politique
générale. Ils connaissent tous quelques moyens très simples qui empêc
65
de poigne d’imposer à ce peuple déprimé un cadre
politique
nouveau, qui lui permette de se refaire des racines, de travailler et
66
un peu partout dans la province. Et puis « leur »
politique
, parlez-moi de « leurs combines », il n’y a rien à y comprendre. Dans
68
es cortèges du 14 juillet 1935 Scepticisme et
politique
. — « J’entends crier de toutes parts à l’impiété. Le chrétien est imp
69
urd’hui si l’on s’avisait de le diriger contre la
politique
, notre superstition. « J’entends crier de toutes parts au mauvais cit
70
la suppression totale des libertés culturelles et
politiques
, etc. Ils me répondent que tout cela n’est rien, ou n’est que proviso
71
st chargé des relations du NSDAP avec les milieux
politiques
et intellectuels en France. — Vous avez écrit des choses très dures s
72
in, dans les quinze jours. — À quelles conditions
politiques
? — Aucune autre que de publier après votre retour vos impressions. S
73
amoureuses, il décrit des relations sociales, ou
politiques
, ou religieuses : une affectivité plus vaste, aux manifestations non
74
rieusement ignorées des sociologues et des hommes
politiques
. De même que le roman psychologique, centré sur des héros individuels
75
le mouvement personnaliste, ce soir, à la réunion
politique
des SA. — Que pensez-vous de ce livre ? — C’est très bien pour la Fr
76
as en Europe de classe plus indifférente à la vie
politique
, plus passive vis-à-vis de l’État, plus lâche devant le fait accompli
77
où le didactisme pesant des innombrables discours
politiques
et des leaders de la presse mise au pas. Certes, les Allemands ont to
78
geant la même chambre. Nous suivions des cours de
politique
et d’économie. Nous chantions ensemble. On nous interrogeait. La plup
79
nous donne ça, Hitler ou un autre, ça suffira. La
politique
n’intéresse pas les ouvriers quand ils ont de quoi manger et travaill
80
posait naguère au social-démocrate. Nous parlons
politique
, sujet banni chez les bourgeois de l’opposition. Notre hôte discute b
81
e pouvez pas nier que le Führer fait de la grande
politique
! » Je lui pose la question de l’Anschluss. (Tout le monde ici répète
82
er deux fois par semaine : gymnastique et culture
politique
. De plus, elle a la charge de trouver des places pour ses subordonnée
83
celui que composent les agences et les rédacteurs
politiques
. Or un journal allemand : 1° ne contient pas de récits de crimes ; 2°
84
donne de fausses nouvelles que dans une intention
politique
clairement définie, connue de tous, et constituant par là même une cl
85
les articles de journaux, dans tous les discours
politiques
, à tout propos. J’admire votre « Secours d’hiver », mais je remarque
86
nomique et culturel, contre une masse de préjugés
politiques
antédiluviens qui encombrent la vie publique et qui empoisonnent la p
87
r 1936 Ana. — L’avocat me questionnait sur la
politique
extérieure de la France. Le pacte avec les Soviets l’irrite vivement.
88
ographie d’une femme de bien… — Est-ce un ouvrage
politique
? me demande l’employé. — Comment voulez-vous que je le sache ? Donne
89
us répondrai dans huit jours. D’ailleurs tout est
politique
chez vous, même les biographies de sœurs d’hôpital, je pense. L’insol
90
? Ou bien sont-ils ce que l’on nommera la vérité
politique
de ce temps, celle qui s’impose déjà à la moitié de l’Europe, et qui
91
espèce d’acte sexuel, au moins autant qu’un acte
politique
. Comment expliquer autrement cette euphorie bizarre qui est dans l’ai
92
s à un meeting de masses, à quelque manifestation
politique
. Mais c’est leur culte qu’ils célèbrent ! Et c’est une liturgie qui s
93
et l’on ne me parle que d’économie, de technique
politique
et de droit. Lorsque j’essaie d’évoquer ce discours qui m’a révélé «
94
rces en présence, il ferait mieux de s’occuper de
politique
. Or ceux qui parlent pour ou contre Hitler, en France, parlent en réa
95
identité d’attitude ne concerne pas seulement la
politique
: dans l’un et l’autre cas, l’on est totalitaire. La religion doit y
96
sionnés, qui avaient cru mener un combat purement
politique
. Ils auront à se décider ! Certains cercles protestants, ajoute-t-il
97
’agit de Paysan du Danube , paru en 1932, et de
Politique
de la personne , paru en 1934. 47. Voir plus haut L’Automne 1932.
98
aussi vieille que, l’Europe, et qui est sa P. G.
politique
. Ainsi l’État devient l’expression unique (plus encore que le synonym
99
rtis et des classes avant 1933, les circonstances
politiques
de l’Europe, le traité de Versailles, la décomposition des gauches, l
100
. Et ce n’est pas la soif d’une tyrannie, au sens
politique
et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du Führer. Mais c’est l
101
ultiplient et s’entredéchirent au hasard d’un jeu
politique
de surface ; où les élites parlent un langage que les masses sont en
102
us ou moins « habiles », ou « rationnelles » ou «
politiques
» ? Ne voit-on pas que cet ordre est simplement la suppression brutal
103
e des minorités en 1938. « 1. Caractérisez l’état
politique
de l’Europe en 1938. — Les démocraties de l’Ouest avaient fondé leur
104
furent les premiers à s’apercevoir de ce paradoxe
politique
. Ils eurent l’habileté de fonder leurs revendications à la fois sur l
105
qu’il s’agit actuellement d’un mouvement purement
politique
. Cependant, après avoir déclaré qu’ « entre cette conception du monde
106
oir déclaré qu’ « entre cette conception du monde
politique
… et une religion au vrai sens du mot, il y a un pas ! », il ajoute :
107
rendrait à notre peuple son unité spirituelle et
politique
, et, par l’adjonction d’un élément métaphysique, élèverait la notion
108
ourd’hui un seul but : la cohésion spirituelle et
politique
de la communauté allemande, à l’intérieur comme devant l’extérieur. P
109
des égards, de maturation. Mais cette communauté
politique
est cependant aussi bien fondée, religieusement, qu’une communauté re
110
au contraire, embrasse tout à la fois le domaine
politique
, le domaine spirituel et le domaine éthique. » Il résulte de ces préc
111
ion, comme je l’affirmais, mais qu’il n’est pas «
politique
» de l’avouer avant que cette religion ait réussi à s’affirmer avec u
112
cabulaire. Car la force principale d’un mouvement
politique
n’est pas la vérité de sa doctrine, mais l’opportunité de sa propagan
113
conflit accidentel, c’est encore moins un conflit
politique
qu’il faut chercher à l’origine réelle des persécutions hitlériennes
114
Il semble que les premières tâches soient d’ordre
politique
et social. Je n’ai pas de conseil à donner aux ministres, et peu d’en
115
de l’autarcie. À tel point que ce terme résume la
politique
et la religion d’Hitler. Or l’autarcie n’est à tout prendre qu’une tr
116
le fédéralisme est propre à recréer, sur le plan
politique
, une commune mesure des nations, un droit et des coutumes viables, un
117
alorisation de toutes les frontières économiques,
politiques
, militaires ; création d’entreprises communes à plusieurs nations ; m
118
que le système des frontières administratives et
politiques
, doublées de cordons policiers et douaniers, ne répond nulle part aux
119
oses. Toute tentative d’interprétation « purement
politique
», ou économiste, ou marxiste, me semblait condamnée à demeurer au ni
120
ges, que nous y retrouvons parfois, aime à parler
politique
à voix très haute, pour manifester sa liberté d’esprit. Un soir, il d
121
ée de parler du sens religieux, ou historique, ou
politique
, ou même helvétique de l’œuvre. Nous n’avons discuté que de problèmes
122
ns Penser avec les mains , analyse du romantisme
politique
au Ve livre de L’Amour et l’Occident , essai final des Personnes du
123
ètes, ces nœuds d’histoire, expliquent la couleur
politique
autant que religieuse, sociale ou culturelle de la notion que j’avais
124
ohérence… » Deux ans plus tard, l’introduction à
Politique
de la personne a pour premier sous-titre « L’engagement politique »
125
ersonne a pour premier sous-titre « L’engagement
politique
» et pour deuxième « Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage »,
126
nt le titre d’un livre de Léon Blum) : « Pour une
politique
à hauteur d’homme. » En 1936, Penser avec les mains traite tout au
127
conséquences culturelles du véritable engagement
politique
, mais aussi du refus de s’engager sous prétexte de science objective.
128
inalités alléguées qu’aux réalités de l’existence
politique
et sociale ; elle jouait au jeu des « prises de position » de droite
129
ût cherché le moindre souci d’invention de formes
politiques
, ou des modèles nouveaux de relations civiques. Hors des mouvements p
130
de l’esclavage d’une mode à celui d’une tactique
politique
. Ce n’est pas du tout devenir esclave d’une doctrine, mais au contrai
131
lle se met « au service » d’une doctrine de lutte
politique
. Faire la révolution, cela demande un effort un peu plus grand, et d’
132
pour un temps dans les voies de « l’engagement »
politique
, et faisant amende honorable. Ils étaient en rupture de bercail. Main
133
psychologique du fait munichois, dont la réalité
politique
allait se révéler si funeste. 70. Baudelaire voulait que la critique
135
peut douter qu’Hitler ait beaucoup d’imagination
politique
. S’il surprend à tout coup les chancelleries, c’est simplement qu’il
136
à un débat au cercle des Nouveaux Cahiers sur la
politique
commerciale de la France. Tandis que des experts échangent leurs vues
137
vre. Mais je découvre qu’aujourd’hui, dans la vie
politique
ou intellectuelle, plus personne n’est vraiment d’aplomb. Nervosité,
138
ur plus justifiée, à cause des crises sociales et
politiques
. Et pourtant nous vivons ! Et notre vie, loin de se replier dans la c
139
paix… 19 juin 1939 « Notre Führer fait une
politique
d’artiste ! », a proclamé le Dr Goebbels. Voilà qui définit l’idée de
140
se contre les illusions bourgeoises et la naïveté
politique
qui trop souvent caractérisent notre opinion. Début de mars 1940
141
t qu’il ne s’agit pas simplement d’une « nouvelle
politique
» ou d’un « renversement dialectique » ? C’est qu’on en a vu d’autres
142
ts organisés en Suisse, mais en dehors des partis
politiques
… — Oui, dit-il, c’est une idée. (Et pendant une seconde je n’ai pas s
143
partisanes. Venus de tous les points de l’horizon
politique
, décidés à faire converger nos efforts, nous fondons la Ligue du Goth
144
acheté une page entière. (Formule de la publicité
politique
ou philanthropique aux États-Unis.) Frais payés sur la somme que nous
145
ier, discours de Pilet-Golaz, chef du Département
politique
fédéral. À propos du cessez-le-feu en France, il a parlé de notre « s
146
s sans précédent dans l’histoire des conjurations
politiques
. Trois de ses membres, conduits par le professeur Theo Spoerri, ont s
147
près une heure. Le chef ad interim du Département
politique
les a reçus avec beaucoup de calme, a pris note de leur déclaration p
148
istance civique, et le jeu des forces sociales et
politiques
qu’il s’agit de coordonner, neutraliser ou utiliser. Mon immobilité f
149
d’entraide sociale et de rénovation économique et
politique
. Elle avait au départ formé le noyau du premier mouvement de Résistan
150
foyer culturel moyennant une certaine régression
politique
préalable (moralisme d’État) de quelques années. Je n’y ai plus ma pl
151
. Peu d’esprit offensif, trop de freins moraux et
politiques
. Peu d’argent ; moyens d’en gagner conférences et articles mais pour
152
ent donc relégués dans une opposition sans portée
politique
, spectateurs irrités de la vie américaine, disciples réticents de nos
153
enu, et j’exprime le souhait de l’entendre sur la
politique
du pays, et la campagne antifasciste qu’il mène avec un beau courage.
154
cet optimisme sceptique des vieux routiers de la
politique
, qui les a perdus en Espagne, en Italie, en Allemagne, et en France.
155
e pourra les restaurer que simultanément. Au plan
politique
, l’urgence apparaît cependant plus grande. Le gigantisme comme cause
156
rire des textes d’information et des commentaires
politiques
, diffusés par ondes courtes vers la France et retransmis de Londres p
157
té à faire des arts, des armes et des lois, de la
politique
, des robes et une littérature, plus quelques âmes de climat dur, de P
158
chefs d’État eux-mêmes. Peu ou point de discours
politiques
qui révèlent une compréhension vraiment poignante des problèmes bruta
159
rique de la vie quotidienne, comme celle du mythe
politique
et planétaire, est un immense glissement à travers le temps et l’espa
160
l’Europe et la guerre… Été 1943 Intermède
politique
. — Situation du monde : le conflit militaire qu’a provoqué la crise m
161
ait bien désigné l’État-nation comme une psychose
politique
. Elle sévit aujourd’hui des deux côtés. Les Alliés occupent l’Afrique
162
esure que la victoire des Alliés se précise, leur
politique
m’inquiète davantage. Expliquer chaque jour aux Français une attitude
163
s aurons peu pensé, pendant la guerre. Les hommes
politiques
de ce temps ne sont pas plus hardis que leurs prédécesseurs ; ils le
164
’ont qu’un délai de grâce. L’engagement sera plus
politique
, moins mystique (selon le vocabulaire de Péguy). 29 avril 1945
165
bien son petit-fils. Roi du pays et chef de tribu
politique
, il possède la plupart des maisons riveraines, dont celle où je suis,
166
e, se sont battus dans le Pacifique. Les disputes
politiques
, à la table des T…, semblent passées depuis longtemps au rang de taqu
167
e qui sert le peuple allemand ». Plan d’éducation
politique
pour les nouvelles générations allemandes : leur inculquer dès la plu
168
t cela dans la vie quotidienne autant que dans la
politique
. Ces vertus, cette prudence avare, s’explique sans doute par les dime
169
our longtemps, tyrannise les Européens, la police
politique
traque les hommes libres sans que personne ose dire pour quoi ni prot