1 nous met en demeure de formuler et de vouloir une politique , au sens le plus large du terme, qui est aussi le sens originel : l’a

2 y croyons, et si nous adoptons en conséquence une politique globale, au double sens de l’adjectif. La question, pour une entrepri

3 sommes socialisés par le danger commun. La seule politique impossible serait alors de n’en pas avoir, c’est-à-dire de renoncer à

4 notre grand dilemme : ou bien nous formulons une politique globale, ou bien le pire deviendra sûr. Mais formuler, « avoir » une

5 pire deviendra sûr. Mais formuler, « avoir » une politique , cela suppose : poser les grandes finalités de la cité puis y adapter

6 c’est-à-dire dans la traduction financière d’une politique , que se révèlent les vraies finalités que l’on entend servir ; et plu

7 délimité, le champ clos de la bataille proprement politique  ! Or, des choix politiques de cet ordre, nous aurons à en faire de pl

8 la bataille proprement politique ! Or, des choix politiques de cet ordre, nous aurons à en faire de plus en plus dans l’industrie

9 , remplaçant les détergents nocifs ; et que cette politique impliquerait la fermeture d’importantes industries et coûterait au mo

10 Service, Équilibre d’autre part, qui est le choix politique par excellence, nous découvrons maintenant qu’il se confond avec le c

11 el passent toutes les options fondamentales de la politique , au sens large de stratégie de l’espèce humaine. Tous les grands dile

12 rand de Jouvenel, qu’il « faudrait que l’économie politique devienne l’écologie politique ». Ce qui revient, à mon sens, à prendr

13 rait que l’économie politique devienne l’écologie politique  ». Ce qui revient, à mon sens, à prendre l’écologie — et non plus l’é

14 lus l’économie — comme indicateur principal d’une politique de Progrès réel, je veux dire : global. Une des leçons capitales que

15 les que nous enseigne l’écologie, dans le domaine politique traditionnel, celui de l’État et des institutions, c’est ce que je no

16 mondial ou même continental capable d’imposer une politique , il reste à élaborer et à faire connaître des modèles de conduite, à

17 roblèmes spécifiques d’exécution, au niveau où la politique préconisée peut et doit être mise en œuvre. J’ai voulu poser le probl

18 ’ai voulu poser le problème de la nécessité d’une politique , donc d’une démarche prospective impliquant le dépôt et la déclaratio

19 le salut de l’Europe est dans la recherche d’une politique d’équilibre dynamique entre l’Homme, la cité et la Nature, enfin subs

20 atérielle à tout prix, qui est le contraire d’une politique . D. de R. Avril 1972 P.P.S. : Sur l’incident de la tasse de thé te