1 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
1 Mon rôle n’est pas de proposer une nouvelle forme politique . Je me contente de vitupérer ce que je vois, qui est laid. Quand la s
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
2 sa forme actuelle, remplit suffisamment son rôle politique et social, qui est de fabriquer des électeurs (si possible radicaux,
3 ition. Après tout, peu m’importent les idéologies politiques , et peu m’importerait que l’École soit une machine à fabriquer de la
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
4 lus grave).   L’école s’est vendue à des intérêts politiques . C’était là, nous venons de le voir, son unique moyen de parvenir. El
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
5 ie et rationalisme ne sont que deux aspects, l’un politique , l’autre intellectuel, d’une même mentalité. Elle s’est développée au
6 à la folie démocratique, cette danse de Saint-Guy politique dont rien de leur temps ne pouvait offrir la moindre préfiguration ?
5 1972, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Suite des Méfaits (1972)
7 le professeur G. Vincent, de l’Institut d’études politiques de Paris, constate que l’École d’aujourd’hui « émascule l’imagination
8 juillet 1972.   17. Pierre Emmanuel, Pour une politique de la culture, Paris, Le Seuil, 1971, p. 151 à 161. 18. « Ouvrir une