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der à se familiariser avec une attitude de pensée
politique
dont il faut bien reconnaître qu’elle rencontre encore la résistance
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rapporteur principal, soit l’un des responsables
politiques
ou intellectuels. Ma situation devait être bien différente dans les c
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cours des manifestations culturelles à incidences
politiques
— ou l’inverse — comme celles dont le Forum d’Alpbach fut l’un des pr
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é préalable sur quoi bâtir. Il faut faire l’union
politique
pour préserver ce mode de vie et cette culture qui sont les raisons d
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aurer l’unité culturelle si l’on veut que l’union
politique
devienne possible. Les deux actions sont les aspects d’un seul et mêm
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nalisation de la recherche scientifique ; censure
politique
; étatisation de la vie intellectuelle dans un tiers des pays de l’Eu
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? À mon avis, pour deux raisons : 1. La mentalité
politique
des Européens, celle des gouvernants et celle des peuples, n’a pas ét
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les masses, ni dans les élites intellectuelles et
politiques
. 2. La culture créatrice, spontanée, non liée à la conjoncture politi
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vorise plutôt le désengagement que l’intervention
politique
des jeunes. Le structuralisme enfin, dans les années 1960 à 1970, av
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ropéen. Les renouveaux de la culture et de la vie
politique
en Europe sont produits par l’action imprévue de facteurs extérieurs
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train de bouleverser la conjoncture culturelle et
politique
, c’est la crise de l’environnement et de l’énergie, qui s’est déclaré
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sionnelles et culturelles, ethniques mais surtout
politiques
, et donc déterminées par l’avenir plus que par le passé. Et d’abord,
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ns d’action concrète, culturelles tout autant que
politiques
, et l’inverse. 1. Les Anglais ont gagné leurs batailles sur les prair
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ige national. 3. Enfin, je demande que la science
politique
se consacre à la critique de l’État-nation, origine des pires maux du
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ditation sur la mesure et les limites de l’action
politique
. Le soir, feux d’artifices, danses au village, « revue » très bien en
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uelles bases d’unité culturelle édifier son union
politique
? La deuxième table ronde, que nous inaugurons, se demande plutôt : o
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nt on croyait qu’elle devait entraîner des effets
politiques
, mais c’est l’inverse qui s’est produit. Celle d’aujourd’hui veut aff
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la carence totale de réalisations de notre union
politique
. Or, la cause de cette carence est en interaction précise avec les ca
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sance illimitée. La crise mondiale, et la carence
politique
des Européens s’originent l’une et l’autre dans nos attitudes devant
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éens qui ont sans doute orienté l’action d’hommes
politiques
tels que De Gasperi, Robert Schuman, Paul-Henri Spaak, pour ne citer
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rope a fait un acte qui mérite d’être qualifié de
politique
, au sens du terme le plus éminent, le plus large et aussi le plus pré
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en de moins, dans cette affaire, que de fonder la
politique
européenne, et de la fonder, comme il se doit, beaucoup moins sur les
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rrester ou Meadows. L’équivalent moral, social et
politique
du célèbre Rapport sur « Les Limites à la croissance » (matérielle) r
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hématiques. Et c’est aussi, au plan de la théorie
politique
, le modèle du fédéralisme, c’est-à-dire de la coexistence en perpétue
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oyons maintenant se constituer les éléments d’une
politique
communautaire. Morale et politique, soulignons-le, qui se déduisent i
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éléments d’une politique communautaire. Morale et
politique
, soulignons-le, qui se déduisent immédiatement de la structure bipola
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responsabilité. Or, il se trouve que toute vraie
politique
de la personne appelle la création de petites communautés qui, pour d
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nquerait pas de déclencher une série de processus
politiques
nécessairement « irréversibles »… La table ronde qui se termine aujou
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mie, et non pas individualisme égoïste, fanatisme
politique
, passion égalitaire et besoin « sécurisant » d’être mené. Pour amorce
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’échelle du globe n’a la moindre chance de succès
politique
» ; et à constater qu’une science libre, non asservie aux buts de pui
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encore gouvernable ? A-t-elle encore une volonté
politique
générale, face à l’émiettement en groupes d’intérêts égoïstes ? Il ne
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il n’accorde plus aucune confiance aux structures
politiques
actuelles, et ne voit d’autre espoir que dans la décentralisation des
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lus problématique, plus empêtré dans les inerties
politiques
, donc plus difficilement conforme à son modèle. On nous l’a présenté
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rsonne de réaliser sa vocation. Toute la question
politique
du xxe siècle se ramène alors à ceci : — Voulons-nous par priorité,
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s ne me paraît avoir dégagé les suites proprement
politiques
du second rapport. J’écoute les exposés, d’une sagesse véhémente, des
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ns plusieurs grands pays de l’Europe, le seul but
politique
clairement défini, et commun à tous les partis, reste « l’indépendanc
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frontières, et qui place au principe de toute sa
politique
ce que l’on nomme « l’indépendance nationale », s’oppose diamétraleme
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ur la simple raison que la langue, les frontières
politiques
et l’économie ont des rythmes de fluctuation ou de déplacement dans l
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re un prestige immédiat à ses auteurs, la science
politique
officielle, capitaliste, libérale ou marxiste, s’en tient aux recette
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é possible, comme le proclament beaucoup d’hommes
politiques
de droite et de gauche avec l’appoint d’André Malraux, l’État-nation
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iques autant que culturels, et d’une souveraineté
politique
qui serait aussi jalouse, sinon plus, que celle des grands États que
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rsité européenne.) Mais alors, comment assurer la
politique
générale au niveau de la région, c’est-à-dire les priorités, l’équili
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onnés sur tous les continents pour leurs opinions
politiques
, et qu’il faut essayer d’aider, ou sinon eux, du moins leurs familles
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mes très loin, dans nos débats, des affrontements
politiques
officiels. Plutôt soucieux d’oppositions qui se manifestent dans la r
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l’Europe de demain. Régions contre centralisation
politique
: la Yougoslavie se compose de six républiques et de deux provinces a