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noch verstehen ? » — « Les Neuf divisés sur leur
politique
énergétique » — « Conseil européen : l’enlisement » — « Les Neuf ont
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Neuf ont étalé divergences et absence de volonté
politique
» — « Fallito del vertico europeo » — « L’anarchie de la CEE » — « Eu
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nt associés à Bruxelles en vue d’harmoniser leurs
politiques
industrielles et commerciales. On situera d’abord l’Europe d’aujourd’
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SA de ne jamais abuser de cet avantage à des fins
politiques
, d’autant que l’URSS restera peut-être le client le plus important po
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faut donc s’attendre que le pouvoir économique et
politique
des USA devienne toujours plus dominant. En Europe aussi, la détérior
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conomie était devenue vulnérable à des événements
politiques
lointains sur lesquels nous n’exerçons plus de contrôle, et qui nous
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ns aucun plan de premiers secours mutuels, aucune
politique
commune à moyen et à long terme, et très peu de volonté solidaire, pe
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existence économique d’abord, puis d’indépendance
politique
, et finalement de survie pure et simple. Car il est clair qu’aucun de
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formes diverses d’asservissement économique, puis
politique
; crise de civilisation laissant prévoir des désastres désormais calc
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uste place » réservée selon Lénine à l’opposition
politique
, à savoir la prison. La première Europe a créé et nourri les idées de
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seul moyen de résister à l’emprise économique ou
politique
des Super-Grands. C.Évolution des motifs d’union Dépasser les souv
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es militants de toutes classes — hommes et femmes
politiques
, économistes, syndicalistes et industriels — préconisent des mesures
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ué la première défaite de l’idée européenne comme
politique
de civilisation, au-delà des stéréotypes idéologiques et partisans hé
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mes et la Croissance illimitée de tout. Cet échec
politique
a provoqué une vive réaction de « relance de la constitution européen
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bré et Marchais dénoncent aujourd’hui le « danger
politique
de l’axe Paris-Bonn », ou celui, pire encore, de l’« Europe germano-a
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ur tardive qu’elle soit, n’est qu’une suite de la
politique
européenne des années 1950, soucieuse de ne porter aucune atteinte au
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ûr, la formation d’une opinion européenne. Cette
politique
est actuellement bloquée tant à Bruxelles qu’à Strasbourg, par les so
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ures prises pour y répondre au niveau des actions
politiques
gouvernementales ou privées ? Le premier organisme européen, créé sur
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e résigné à n’être qu’un forum d’échanges d’idées
politiques
ou sociales, rôle qu’il n’a cessé de tenir avec distinction mais sans
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marché commun. Elle nécessite la mise en œuvre de
politiques
communes aux neuf pays membres, et ce n’est pas là tâche aisée. Dès s
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ébuts, la Communauté européenne s’est dotée d’une
politique
agricole commune. Elle est certes controversée, et sans nul doute dev
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fois de lourdes amendes, elle mène une vigoureuse
politique
« antitrusts » de défense des consommateurs. Cependant, des difficult
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t apparues lorsqu’il s’est agi de bâtir une vraie
politique
industrielle, notamment dans les secteurs de pointe : en dépit de tou
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es efforts, il n’existe pas encore aujourd’hui de
politique
européenne de l’information, de l’aéronautique ou des télécommunicati
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a Communauté ainsi constituée a pu développer une
politique
commune à l’égard des pays qui n’en font pas partie. Elle parle désor
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ur la scène mondiale se double d’un certain poids
politique
. Force est cependant de constater que les Neuf, qui parlent d’une seu
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pas la même unanimité lorsqu’il s’agit d’affaires
politiques
. Et cela s’explique à partir de la doctrine même sur laquelle la CECA
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dans le domaine économique entraîneraient l’unité
politique
des Européens. « Le Marché commun était un moyen, je dirais presque u
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la doctrine économiste : on a vu que les passions
politiques
pouvaient passer avant les réalités économiques, et le prestige natio
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onales. « Ils avaient été conçus dans une optique
politique
bien précise, celle du développement d’une Europe fédérale, dit encor
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de confier à la CEE des « compétences élargies »,
politiques
, sociales, culturelles. C’est oublier que la CEE se trouverait ainsi
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un but raisonnable, accessible, et qu’aucun homme
politique
ne se risquerait plus à contester ouvertement. Tel est le résultat me
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des peuples et de leurs élites intellectuelles et
politiques
. Une guerre franco-allemande n’est pas plus imaginable aujourd’hui qu
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a là un élément radicalement nouveau de la pensée
politique
en Europe. Le vieil idéal d’une Paix perpétuelle entre nos nations, r
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les Neuf du Marché commun, d’une part, et l’union
politique
de toute l’Europe, qui reste à faire, d’autre part, sont très couramm
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aux crises énergétiques comme celle de 1973 ; ni
politique
commune contre l’inflation sans augmenter le chômage, et vice versa.
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contraire prometteur dès qu’on passe sur le plan
politique
, c’est-à-dire dès qu’on passe des « nécessités » alléguées aux object
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Congrès économique de Westminster, 1948. Congrès
politique
de Bruxelles, 1949. Conférence européenne de la culture, Lausanne, dé