1 ococo des sentiments qu’à l’hypocrite gravité des politiques . Ce projet, d’autre part, flattait un certain goût du graphique et de

2 , tout indépendamment des réalités économiques et politiques , l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il reste qu’un Empédo

3 ient de guérir par des moyens appropriés, par une politique ou par une morale. D’une part l’on tient la déficience pour essentiel

4 magnat, beaucoup de gens comprendraient mieux sa politique . Les coussins Rothermere Le nationalisme de la plupart des État

5 sentiel. Rien n’est grave, que le sentiment, — en politique comme ailleurs. Songez à ce qui forme l’opinion, cet ensemble de myth

6 rembouche mon cor. Macrocosme et microcosme : la politique des peuples ressemble à celle des individus, pour ce qui est du moins

7 epuis la chute de Bismarck, coupées de tous liens politiques avec une Europe bourgeoise, résignée à « laisser ce monde aux Juifs »

8 ceux qu’on envoyait à l’armée, font parfois de la politique  : Hitler essaie de les flatterb mais ne vainc pas souvent leurs méfia

9 t cela dans la vie quotidienne autant que dans la politique . Ces vertus, cette prudence avare, s’explique sans doute par les dime

10 e, voyageur anglais, auteur de Lettres sur l’état politique , civil et naturel de la Suisse, écrit en 1776 : « La constitution de

11 mais là encore les traditions intellectuelles et politiques restent les plus marquées. François-Antoine III, mon quadrisaïeul, ép

12 uit, en d’autres temps, vers une carrière d’homme politique ou d’homme de loi, dans un style dignified à l’anglaise. Le ministère