1
écoraient les églises, illustraient des croyances
populaires
, citaient les gens qui faisaient l’ordre dans la cité, étaient eux au
2
aines ou progressistes, éveilleraient peu d’échos
populaires
si elles ne se trouvaient coïncider avec un sentiment diffus, presque
3
r la moindre manifestation spontanée du sentiment
populaire
, pour peu qu’il ne lui soit pas inconditionnellement favorable. Les c
4
ubadours au romantisme allemand, puis à la poésie
populaire
des romans et des chansons, parlent d’« âme sœur », de « fusion des â
5
inérant, Robert d’Arbrissel (né vers 1050), rendu
populaire
par ses diatribes passionnées contre le luxe et la luxure, fonde en 1
6
nalystes ont accrédité malgré eux l’idée, devenue
populaire
, qu’il est moins dangereux pour la société de libérer l’instinct sexu
7
ra dire devant un parlement ou dans une assemblée
populaire
que c’est cela qu’il veut, ni qu’il complote vicieusement en vue de p
8
ue l’idée européenne soit malgré tout cela si peu
populaire
? Rien n’est moins sûr. Il y a quelques années, j’ai mêmeag écrit un
9
rope unie n’a jamais cessé de hanter l’imagerieah
populaire
. Et, de nos jours, c’est encore plus sensible car, qu’on le veuille o
10
nts centraux de plus en plus éloignés de réalités
populaires
, entraîne la tentation de chercher dans des campagnes militaires un d
11
voquez, dans votre livre, les nombreux mouvements
populaires
qui se sont créés au cours de ces dernières années. Vous les considér
12
si l’oratorio Nicolas de Flüe « n’est pas devenu
populaire
» c’est que « ce pacifiste était inopportun en un moment où il s’agis
13
s’il adhère en 1931 au jeune Parti des démocrates
populaires
— qui sera le MRP de la Libération —, n’est-ce pas surtout parce que
14
le veut, et reçoit délégation de la souveraineté
populaire
une fois pour toutes, d’une manière irréversible, et le pouvoir que n