1 r la brutalité de cette action, et pour la rendre populaire , on eut recours à des mots d’ordre véritablement humains, mais que ce

2 sme ». Mais à un fascisme sans mystique, pas même populaire . Jules Romains y insiste : ce plan n’est qu’un programme minimum. Mai

3 « masses », la culture se trouve isolée de la vie populaire et de la politique qui l’exploite. Mais un monde personnaliste est un

4 ystique : la lutte des « nationaux » contre les «  populaires  » ne fait que prolonger dans la rue l’opposition stérile et périmée d

5  parasites ». Enfin, le fascisme est un mouvement populaire , révolutionnaire, alors que le mouvement des Croix-de-Feu, tel que le

6 s loups de dévorer les brebis. Mais dira-t-on, le Populaire n’a-t-il pas proposé de nationaliser les banques ? Et l’Humanité, de

7 end à la pauvreté dont elle a su tirer des sujets populaires . Donc, jusqu’à ces dernières années, l’écrivain doit se battre sur de

8 tive d’instaurer le référendum, la « consultation populaire  », sera en réalité une tentative de plébiscite, et donc une négation

9 allemande : celle de la race. Mais pour la rendre populaire , il faut la lier à des passions que l’on puisse exciter immédiatement

10 ion indispensable, en instituant d’immenses fêtes populaires  : culte de la Raison, des Vertus, de la Patrie, sous Robespierre ; fê

11 économie de faire vivre par le travail « le mulet populaire  » (Richelieu), et de faire entrer dans le pays le plus d’or et d’arge