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l’inquisition policière, la dictature d’étiquette
populaire
, les liquidations collectives calculées sur la base de statistiques d
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s représentatifs, et un dernier élan, une poussée
populaire
, forçant la main aux gouvernements. Souhaitons que cet élan soit spon
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roits des peuples à disposer d’eux-mêmes, volonté
populaire
, antifascisme, presse libre, opinion unanime, etc., par les totalitai
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rs électeurs communistes. Là encore, l’adjectif «
populaire
» dont on a décoré leurs républiques est une captieuse figure de lang
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e de langage. Entendons bien que ces régimes sont
populaires
comme les lois juives de Vichy étaient juives, comme les bagnes d’enf
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ves, comme les bagnes d’enfants sont enfantins. «
Populaires
», oui, pour ceux qui appellent un chat l’absence d’un chat, et Stali
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er. » Or cette puissance, les républiques dites «
populaires
», pas plus que la Finlande, ne pouvaient la trouver, jusqu’ici, aill
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parti. Hier encore, M. Léon Blum écrivait dans Le
Populaire
: « On ne fera donc pas les États-Unis d’Europe sans nous. Mais, en r
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ments d’enseignement scolaires, universitaires et
populaires
; 2. D’offrir un lieu de rencontre aux représentants de la culture, a